HISTOIRES DE FANTÔMES

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HISTOIRES DE FANTÔMES.

Vers minuit, à la lueur de la chandelle, monsieur Henry Dickson, devant l'âtre où brûle des bûches d'érables et de vieux parchemins, se penche sur son écritoire. Tout est tranquille dans la grande maison, tout semble dormir et, soudain,
il y a ce bruit.

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8.7.12

169. UN FANTÔME. DEUX FANTÔMES. TROIS FANTÔMES.

Henry Dickson écoutait la radio AM sur son perron en prenant une bière Heineken. Le chat gourmet mange délicatement à côté de lui.

_ Un autre appel
_ J'offre toutes mes condoléances à la famille de la petite. 12 ans c'est trop jeune pour s'enlever la vie

_ Un autre appel

_ 16

_ Un autre appel

_ 15
_ Un autre appel
_ Ça commence à la maison. Toute l'éducation d'un enfant débute chez ses parents. Le parent du petit ou de la petite tortionnaire. J'ai déjà tenté de discuter calmement avec un au sujet de son rejeton, considéré comme une plaie dans la cour d'école; il m'a envoyé  chier. Discuté ensuite avec la direction, tout ce qu'ils ont pu arriver à penser c'est on va lui faire dessiner une carte d'excuse. C'est qu'il s'agissait de taxage et de violence à répétition sur plusieurs! Bref, on a reçu un gribouilli avec s'cuze! dessus.
_ Un autre appel
_ Si comme parent, vous n'allumez pas quand votre enfant rentre tous les jours avec des objets ou de l'$, hum! Prêté ou donné. D'où vient son nouveau jeu video, son nouveau téléphone? Et son $ ? Si sa chambre est remplie de trucs que vous ne lui avez pas acheté e qu'il n'a pas les moyens de se payer, d'où ça vient? Il se peut qu'il ne fasse pas de taxage à l'école mais combriole les voisons ou leurs autos ou vendent de la drogue ou se prostitue. Si vous n'avez aucune idée de ce qu'il ou elle raconte sur le web, de ce qui se discute entre amis. Connaissez-vous votre enfant? Vous saviez qui c'était lorsqu'il avait 4 ans et qu'il passait tout son temps chez vous. Mais depuis qu'il passe la majorité de son temps dehors, à l'école et chez ses amis, savez vous ce qu'il est devenu? Le connaissez-vous encore? Il serait peut-être temps de délaisser la TV ou le 5 à 7 et d'y voir un peu. Si vous n'êtes pas capable de décoder le visage de votre ado. S'il ne veut pous vous parler. Si vous êtes incapable de communiquer avec lui, allez voir des experts, consultez, informez-vous. N'attendez pas l'irréparable! On parle de la pauvre fille qui s’est pendue. Mon fils est en prison parce qu’il ne pouvait plus se contrôler. Lui, c’était un harceleur. Il a commencé par voler des gâteaux, des sandwichs, des lunchs. L’argent du lunch. Des souliers. Mais ce n’était pas assez amusant. C’est si facile de battre les plus petits. Ceux qui ne peuvent pas se défendre. Ça devient irrésistible. Il était attiré par eux comme un aimant. Jusqu’à ce qu’il cogne trop fort. Il s’est ramassé en centre, les prisons pour jeune. Mais ce n’était pas assez. Là, il a fait de mauvaises rencontres. Devenu adulte, on l’a mis dehors. Il a fait sa première gaffe le jour même. Volé un dépanneur et tué le commis. Il est en prison pour 15 ans. Je ne vais pas le voir. C’est un étranger et je n’ai rien à lui dire et il n’a rien à me dire.

_ Un autre appel
_ On sent que c'est inacceptable dans notre société. A dit la ministre. Et concrètement, que faite vous pour contrer ce fléau? De la sensibilisation, de l'information, des comités de concertation, des affiches? Bien d'accord! Mais il faut aussi des actions. Les baveux n'ont plus peur des adultes ni des autorités, ils savent que nous ne ferons que du bla, bla, bla de sciences humaines. Les milieux scolaires sont des lieux malsains, ils ont peu à voir avec l'éducation maintenant. C'est un champs de mines. C'est la guerre. Il faudra un changement de culture, sinon rien ne changera, trop de gens ferment les yeux pour ne pas avoir de problèmes. Particulièrement les adultes et les directions. Par peur!
_ Un autre appel
_ La nouvelle valeur ici au Québec est que l'on ne peut plus accuser les agresseurs, ils sont, selon certains, victimes eux mêmes ou ne savent ce qu'ils font. Il faut donc seulement parler avec eux. Les amener à comprendre que ce qu'ils font est inacceptable. Comme s'ils étaient stupides et ne comprenaient pas. Comme si on était stupide et qu'on ne comprenait pas. La joue gauche. La joue droite. Non merci. 
_ Un autre appel
_ Tout comme au hockey, les écoles sont devenus des zones de non droit où tout est permis
_ Un autre appel

_ La grosse brute arrive tout droit sur toi pour te mettre en échec ou te grimper sur la bande. Tant pis pour toi. C'est le jeu.

_ Un autre appel
_ Imaginez la souffrance de cette jeune fille qui semblait pleine d'avenir, prétendre que sa place n'est pas sur la terre, mais... là-haut!
_ Un autre appel
_ Nous on placote et, une fois le mal fait, il y en a même parmi nous qui défendons les agresseurs. Et quand, enfin, quelqu'un fait quelque chose, on accuse de vengeance la punition pour un crime. Si la plupart des gens ne font rien, si les gens dont c'est le métier de faire quelque chose ne font rien, ce sera aux gens qui trouvent que c'est intolérable et que parce que c'est intolérable, ça doit cesser, de faire les choses qui doivent être faites. Ce ne sera pas élégant.  
_ Un autre appel

_ Bien content de ne plus avoir à être dans ces établissements de possédés aujourd'hui. Pauvres jeunes.
_ Un autre appel
_ Dans nos écoles publiques, peu ou pas du tout de prévention, ça n'apporte pas de budget. L'estime de soi détruite par des étiquetages hâtifs d'adultes méconnaissants. Du harcèlement et de l'intimidation de la part d'adultes pour avoir le dessus sur l'autre : directeur, employé, syndiqué, élève, parent. Des échecs et la souffrance intérieure banalisés. Le décrochage qui s'amplifie malgré des statistiques manipulées pour le cacher. Combien finissent le secondaire 5 à 16 ans sur la totalité qui a commencé en maternelle à 5 ans? Voilà la vraie statistique. Et ceux qui toffent jusqu'au bout, combien on 60% ?

_ Un autre appel

_ Il y a le chemin droit. Et les autres chemins: le désespoir, la folie, la drogue, la prostitution, le suicide. Tout ce qui détruit la vie de nos jeunes. Toutes les formes du suicide radical, définitif ou graduel.
_ Un autre appel
_ Que les anges te protègent pauvre petite. Le suicide c'est une alternative, mais ce n'est pas la solution. Vous avez le droit d'y penser, mais svp ne le faites pas. Criez le plus souvent possible votre souffrance et un moment donné, une oreille vous entendra.
_ Un autre appel
_ Servez-vous de vos souffrances pour grandir
_ Un autre appel
_ Laissez le temps vous montrer qu’une fois la tempête passée, le soleil revient toujours plus brillant qu’avant.
_ Un autre appel
_ Le Québec est décidément une société très malade, masochiste, dépendante et schizophrène. Nous ne sommes pas sortis de l'auberge. Pauvre enfant morte par la faute d'un système où personne n'est en charge de rien. Une société de déresponsabilisés. Oui, ça fait dur! Et pas à peu près!
_ Un autre appel

_ C'est le matriarcat. La féminisation des hommes. L'impuissance générale.

_  Un autre appel
_ Avez-vous remarqué qu'il y a de plus en plus de juifs? Où que j'aille, il y a des juifs.
_ Un autre appel

_ Avec tous ces étrangers, moi, je vous le dit, un jour, quelqu'un va réagir, ce ne sera pas beau. Non, ce ne sera pas beau.

_ Un autre appel
_ Je suis enseignante au primaire et depuis 2 ans, nous avons mis en place une boite comme pour les suggestions mais avec un système de dénonciation contre l'intimidation et le harcèlement. Sur un papier confidentiel, les enfants nous signalent en cochant un rond sur une phrase décrivant leur situation: Tout va bien ou Ça va mal. Ils nous signalent qu'ils ont un problème avec une ou plusieurs personnes qu'ils peuvent nommer. Suite à ça, un premier suivi est fait par l'enseignant et si nécessaire, l'éducatrice spécialisée ou la direction poursuivent le travail. Nous avons la chance d'avoir des intervenants qui travaillent conjointement avec l'équipe école pour venir en aide aux enfants. Le programme Au coeur de l'harmonie est implanté progressivement chez nous et je peux confirmer que, peu à peu, les enfants saisissent cette problématique qu'est l'intimidation et sont de plus ne plus conscients des conséquences. Je sais que c'est un travail à long terme et je suis heureuse de voir que ça s'améliore malgré le fait qu'il reste encore bien du travail à faire. Il faut prendre le temps de jaser avec nos jeunes. Même avec les plus petits du primaire! J'ai espoir qu'un jour nous oserons tous intervenir lorsque nous serons témoins d'intimidation; à l'école, dans nos familles, nos entreprises et sur la place publique!
_ Un autre appel
_ Une boîte? Wow. Désolé, mais c'est de la grosse paresse! Ne me dites pas que vous ne voyez pas les dynamiques de groupes, ceux qui se font intimidés. Au secondaire, la personne, il y a toujours un, qui se faisait écoeurer : injurier, lancer des objets, tasser, tabasser dans les corridors, la salle des casiers- était connue de tous, enseignants compris! Quand on est adolescent, nous n'avons pas la maturité pour la défendre et de s’opposer à ces actions malfaisantes. Je me demande si vous, adulte, avez cette maturité avec votre belle boîte! Et le gars qui se faisaient écoeurer, on l'a perdu de vue et on a pensé à autre chose. Ce n'est que des années après que je me suis souvenu de lui. On en parlait dans les journaux. Le même nom. Pas la même face. Il avait changé bien sûr. Il avait pris un fusil et était entré dans notre vieille école et était allé dans sa vieille salle de classe et avait tiré sur des enfants. Puis, il s'est fait sauter la tête avec sa dernière balle.
_ Un autre appel
_ Se conscientiser est la première étape pour nous et pour les ados. Le bouleversement intérieur provoqué par le harcèlement doit être discuté en classe et ne plus être toléré d'aucune façon. Un professeur devrait être tenu criminellement responsable de négligence en laissant faire du harcèlement. Il y a des lois qui protège des employés contre le toutes formes de harcèlement alors nos jeunes ont les protège comment d'eux même et de leur manque de maturité. Cette semaine, y à de quoi être choqué : Harcèlement, suicide et dans un autre coin des jeunes imbibent d'essence une jeune fille. Et veulent pousser un handicapé dans un escalier. Faut que ça cesse.
_ Un autre appel
_ La mère raconte être intervenue plusieurs fois auprès de l'école pour dénoncer les actes dont sa fille était victime. Des jeunes ont été suspendus, mais l'intimidation n'a jamais cessé. On donnes des punitions bidon a des gens qui détruisent des vies. Ca prend des gestes plus frappants. Beaucoup, beaucoup d'avertissements à ceux qui oseraient essayer de détruire la vie des autres, mais au premier harcèlement, exclusion de l'école. Et inscription dans une autre. Il est ensuite très difficile de récidiver lorsque vous êtes le nouveau dans une école ou vous êtes seul, sans amis. Mais j'insiste sur les avertissements presque incessants envers les jeunes sur les conséquences du harcèlement, autant les conséquences à leur cibles que les conséquences que eux mêmes devront subir. Et pourquoi pas un comité, semblable a un jury, formé de membre de la direction, de professeurs de parents et d'élèves qui verront a juger des situations de harcèlement.
_ Un autre appel
_ Je trouve cette histoire triste et inquiétante. J'ai une fille de 3 ans. J'ai déjà des craintes face a ce qui peux arriver à l'école dans le futur
_ Un autre appel
_ Vous avez bien raison d’avoir peur!
_ Un autre appel
_ C'est vraiment très triste. L'intimidation est probablement la chose qui m'a le plus marqué dans ma vie. Encore maintenant à 25 ans, une grande partie de qui je suis est en lien avec cette époque de mon enfance et mon adolescence. Celle où chaque jour d'école est synonyme de souffrance, de peur, de solitude et de colère. J'ai longtemps voulu tourner la page et oublier tous ce temps là. J'ai essayé. C'est impossible. On ne peut que l'accepter. Et encore ça, c'est presque impossible. Encore aujourd'hui, mes relations amoureuses, d'amitié et sociales sont profondément imprégnées de cette peur d'être rejeté, peur d'être blessé par l'autre.
_ Un autre appel
_ Demandez vous si vous n'avez jamais ridiculisé d'autres ou ri lorsqu'ils étaient intimidés. Demandez-vous si vous vous êtes approché pour les défendre ?
_ Un autre appel
_ L'intimidation ne passe jamais, elle reste et se fait un nid dans le coeur des jeunes où elle grandit toujours plus jusqu'à exploser. Trop de victimes, bien des paroles, peu de gestes. Combien de mort devons-nous avoir ?
_ Un autre appel
_ J'ai lu le titre : La classe politique sous le choc", quel choc?
_ Un autre appel
_ Ce n'est pas parce que les enfants savent manger et se laver seul qu'ils n'ont plus besoin de nous. Le premier support qu'ils peuvent trouver est à la maison, mais dans bien des cas, il faudrait d'abord que le jeune le sache! Parent d'ados moi-même, je déplore que dans bien des familles de mon entourage, le contact soit pratiquement inexistant; "Tu restes à coucher chez ton amie, tiens, v'là un 20! Bye! Je le répète: tout commence à la maison. Et tout finit à la maison. Tant que notre enfant est sous notre toit. En tant que parent, on peut certainement faire mieux dans l'éducation de nos jeunes.
_ Un autre appel
_ Étant un intervenant social auprès des adolescents, je sais que cette nouvelle aura un grand impact sur ceux-ci. Cette nouvelle est un triste rappel de la réalité que vivent plusieurs adolescents au quotidien. L'intimidation, ce n'est pas une blague, ça tue. Ayant été moi-même intimidé au secondaire, je comprends parfaitement que le système scolaire, de un, ne parvient pas à répondre à toutes les difficultés rencontrées par les élèves, de deux, que ce n'est pas la faute des victimes et que, de trois, il leur est difficile d'en parler. Il ne faut pas arrêter la sensibilisation. Des témoins, des victimes, des agresseurs, de leurs parents. Et de l'école.
_ Un autre appel
_ Je voudrais suggérer une solution aux harcèleurs dans les écoles. Ce serait que le jeune ou la jeune qui se fait harceler, devrait appeler la police et tout expliquer. C'est alors que la police va chercher ceux qui font du mal aux jeunes sans défense, les amènent au poste de police ou en prison pour plusieurs jours, juste pour les faire prendre conscience de leurs actes méchants. Il verrait ce que leur avenir sera
_ Un autre appel
_ Afin d'éviter ce genre de tragédie, une forte campagne de sensibilisation doit se faire auprès des élèves dans les milieux scolaires. Mais pour ça, ça prend les budgets et les ressources nécessaires. Mais nos institutions souffrent d’un sous-financement chronique
_ Un autre appel

_ Il n'y a plus de respect ni d'éducation. Les filles s'habillent comme des putes, normal qu'elles se fasse violer.

_ Un autre appel
_ L'intimidation ne devrait même pas exister! C’est tout ce que j’avais à dire.
_ Un autre appel

_ Savez-vous que les filles portent des bracelets de couleurs selon le nombre de fellations faites à des garçons. Elles commencent par les embrasser et si le malheureux se laisse faire, elle l'entraîne malgré lui dans la salle des toilettes. C'est dégoûtant.

_ Une autre appel
_ Croyez vous vraiment que l'argent protège du harcèlement? Que ce soit au public ou au privé le harcèlement existe, de la maternelle jusqu'a l'entreprise et au foyer de retraite, le harcèlement empoisonne la vie des gens.

_ Un autre appel

_ Je ne comprend pas pourquoi les politiciens n'interviennent pas. Les politiciens sont aussi bien placés que n'importe qui pour comprendre la douleur de cette jeune femme; je dirais même que le profil psychologique et académique des politiciens fait en sorte que la plupart ont personnellement vécu le harcèlement.
_ Un autre appel
_ C'est bien beau critiquer nos élus mais je crois que chacun d'eux demeure humain.
_ Un autre appel
_ Les intimidateurs finissent très souvent sur l'aide sociale ou bien en prison quand ils sont rendus adulte. Je me suis fait déjà intimidé à l'école et croyez-moi je souhaite vraiment les rencontrer 15 ans après. J'aurais une très bonne discussion avec ces gens. Mais je suis pas sûr que ces petites personnes me comprendraient !
_ Un autre appel

_ Vous discuturiez! Moi, je ne discuterais pas. Je les rembourserait en 1 minute de toute la merde qu'ils m'ont donné en 10 ans.

_ Un autre appel
_ Que font ces dirigeants d'école? S'assoir le cul sur leur chaise et regarder le temps passer payé à rien faire? En attendant les vacances et la retraite? Cette jeune fille avait demandée a être changée de classe, mais c'était un caprice selon la directrice. De plus ils ont menacés la mère de la DPJ. Es-ce normal ça? Est-ce normal de se fermer les yeux à ce point? Est-ce normal de pas essayer de cerner le problème de la jeune fille?
_ Un autre appel
_ 15 ans c'est jeune pour mourir.  Et qui va porter le blâme de cette mort inutile? La directrice. Auront-ils bonne conscience vu leur grave manquement de jugement. Ont –ils bien dormi depuis cette mort?
_ Un autre appel

_ Vous ne connaissez pas les bureaucrates. Ils ont très bien dormi.

_ Un autre appel
_ Et c'est pas la prière fois que ça arrive, pensez au jeune homme qui a disparu et qu'on a jamais retrouvé la trace et tout les autres dont nous avons oublié les noms.
_ Un autre appel
_ Mes plus sincères sympathies au proches éprouvés par cette terrible épreuve. C’est un très/trop triste évènement! Pourtant, une belle fille, une belle âme qui ne demandait que d'être heureuse. Elle a fait son choix. Le choix d'une âme distortionnée par des évènements hors de son contrôle, avec comme conséquence, la triste et compréhensible dévastation des proches, déchirés par l'incompréhension du geste. Un évènement qui n'aurait jamais dû se produire et pourtant, se reproduit à une cadence déconcertante sur toute la planète. Fragilité de la victime? Inconscience des agresseurs? Inaction des témoins? Insouciance des responsables? Complicité. Un peu de tout!
_ Un autre appel
_ Les déclarations des victimes ne sont pas prises au sérieux en raison des trop nombreuses fausses alertes qui s'accumulent au bureau des plaintes.

_ Un autre appel

_ Les tortionnaires ne réalisent pas l'ampleur de leurs actes mais au moment du geste, la fierté d'être accepté et valorisé au sein d'un groupe cool, l'emporte sur la réalité de cette pauvre personne torturée. Les témoins, de peur de passer dans le groupe des opprimés s'ils dénoncent l'évènement, se taisent et regardent ailleurs. Ce pattern se reproduit malheureusement à tous les jours!

_ Un autre appel

_ Ce serait impensable de s'attendre à ce que les intervenants puissent intervenir à chaque plaintes. Peut-être si les victimes avaient les outils afin de démontrer efficacement et rapidement le sérieux de leurs requête. Qu'ils sont bien de véritables victimes.
_ Un autre appel
_ Cette enfant n'était probablement pas la seule à se faire traiter de la sorte. Je m'imagine qui si les victimes potentielles, après avoir averti les autorités, pourraient porter en permanence une caméra cachée similaire à celle des journalistes des émissions d'enquête, JE, La Facture, entre la maison et l'école toute la journée, jusqu'au retour au foyer, elles pourraient très rapidement aider à cerner les personnes en cause et par la même occasion, régler le problème à la source. Ce serait à mon avis plus vivable pour tous plutôt que de placer l'ensemble des milieux scolaires sous les caméras
_ Un autre appel
_ J'ai entendu dire qu'il y a une des intimidatrices qui s'est réjouie de son suicide sur FaceBook; comme quoi, on se fout royalement des conséquences de ses actes. J'aime mieux avoir vécu dans mon temps; on respectait mieux la vie.
_ Un autre appel
_ Je me demande encore, d'où peuvent bien tirer leurs forces, les parents qui ont le terrible malheur de perdre un enfant. Je crois qu'un suicide est davantage plus lourd qu'un accident ou une maladie parce que les parents n'en finissent plus de se questionner.
_ Un autre appel
_ J'ai toujours soutenu que l'école est un sanctuaire, un endroit sacré, un lieu de paix. Les adultes ont l'immense devoir d'en faire un milieu exceptionnel de sérénité si nécessaire au bon apprentissage.
_ Un autre appel
_ Au fil des ans, j'ai suivi comme père et comme grand-père tout ce qui se dit au sujet de la violence verbale et physique dans les établissements scolaires. Ça fait trop longtemps que cela dure. La réaction de certaines directions m'a trop souvent déconcerté. Des dirigeants, fort bien payés, n'osent pas intervenir afin de régler les problèmes. Ils préfèrent de loin le laisser-aller de peur de perdre leur emploi. Ce qui fait la faiblesse de notre société que l'on dit aujourd'hui malade, c'est que nous avons fait trop de place aux incompétents que l'on rencontre malheureusement presque partout. Il est devenu difficile, voire impossible de s'en défaire. Dans le monde scolaire comme dans le monde municipal, nombreux sont ceux qui sont attachés, boulonnés aux murs de l'institution.

_ Un autre appel

_ Le principe de Peter

_ Un autre appel
_ Les parents ne doivent pas non-plus faire preuve de mollesse. Les parents dont les enfants souffrent à l'école doivent se manifester à temps, recourir à une sainte colère si jamais l'occasion les y oblige.
_ Un autre appel

_ L'immigration voilà la cause
_ Un autre appel
_ Les agresseurs vont jusqu'à la limite, ils sont intelligents, ils sont fourbes, ils font les pires conneries, ils s'amusent mais ils ne se rendent pas compte de toutes les implications. Les victimes sont absolument sans défense et sans aide. Les témoins n'ont pas la maturité et l'emphatie pour devenir des leaders positifs; ils sont sous le joug des intimidateurs.
_ Un autre appel
_ J'éprouve une grande tristesse pour cette jeune fille et sa famille. Et tellement de colère contre cette école qui n'a pas su la protéger. J'ai moi-même subi de l'intimidation à la Polyvalente dans les années 80. Ca été l'enfer, j'étais complètement détruite en sortant de cet enfer. Je n'ai rien fait pour me défendre et les profs fermaient les yeux. Je n'oublierai jamais. Je suis d'accord avec l'idée de porter plainte à la police et de poursuivre l'école. Le personnel des écoles ne devrait jamais minimiser ce genre de situation et adopter une tolérence zéro à ce sujet.
_ Un autre appel

_ Il en aurait une solution mais il font la sourde oreille, à la vraie solution, Haille! On ne peut pas ci. On ne peut pas ça! La charte ben oui? A en règle ben des choses la charte. Et a en met ben des affaires dans marde aussi. Tu vas dans la plupart des commerces, c'est plein de caméras et personnes n'en fait une maladie. Et pourquoi pas partout dans les écoles, partout, vous seriez gagnant. Et personnes ne tomberait malade. Quand on n'a rien à se reprocher c'est comme du bonbon. Les caméras tu les regardes pas, tu les vois plus. Et les petits anges cornus, deviendrais moins cornus. Mais non ça serais trop facile de voir tout se qui se passe. Réveillez vous les autorités.
_ Un autre appel
_ Je mettrais les parents en prison avec eux. J'ai subis du harcèlement à l'école. Je n'aurais peut-être pas pensé comme ça si mes parents et les parents des harceleurs auraient été mis en face de la réalité du vrai visage de ce chien sale. Il est très important que les parents du harceleur soient mis dans marde

_ Un autre appel
_ Manque d'écoute des adultes qui sont censés protéger les enfants au niveau scolaire. On banalise, on étouffe, on veut préserver son image. Je dis ça parce que ce n'est pas la première fois qu'on soulève le problème et je connais entre autre un jeune enfant de secondaire 3 qui se fait actuellement intimider à répétition depuis 3 ans et l'école le sait. Mais ils font tout pour préserver l'image de l'institution et pas grand chose pour l'enfant qui souffre jour après jour, semaine après semaine, mois après mois. On banalise, on rend presque coupable la victime. Encore une fois, manque d'écoute et hésitation à aller au fond des choses car ça demande des efforts et on a peur de prendre des décisions, des actions contre l'agresseur. Malheureusement pour la victime, qui sera dans bien des cas marquées pour des années. Ou le reste de ses jours.
_ Un autre appel
_ Ton départ me chagrine profondément, petite inconnue. Tu me fais réaliser que, malgré les années, je ne suis pas devenu aigrie au point d'être insensible à la souffrance des miens. Tu auras fait ça pour moi. Dors bien ma puce.
_ Un autre appel
_ Je trouve que c'est se déresponsabiliser que de déléguer la faute à la télé, aux jeux videos et aux mauvaises fréquentations. Comme une vaste partie de la population, j'ai côtoyé des personnes à éviter et, malgré tout, c'est en partie grâce à elles que j'ai appris de la vie. Le problème n'est pas là, mais plutôt de l'inaction des personnes qui auraient dû intervenir au moment opportun, avant qu'il soit trop tard. Ce n'est pas une suspension de quelques jours de l'école qui va faire comprendre que l'intimidation nous ne tolérons pas ça. J'ai tendance à croire que les choses auraient été différentes si les policiers étaient intervenus, je ne parle pas forcément d'arrestation, pour faire comprendre que les menaces verbales ou physiques, c'est inacceptable dans notre société
_ Un autre appel

_ Et pourquoi pas des arrestations?

_ Un autre appel
_ Le retour au vouvoiement et à l'uniforme serait un commencement.
_ Un autre appel

_ Pour certains, l'école sert à devenir criminel. Des bébés-bandits.

_ Un autre appel
_ Les penchants réactionnaires de certains ne sont pas à prendre à la légère non plus. Une éducation comme nos parents donnaient il y a 50 ans. My God! Pensez ça est déjà un acte grave en soi. Ne pas évoluer avec son temps, c'est se faire bouffer. Dans le cas de cette jeune fille, pensez au nombre qui se sont fait écraser dans les années 50/60, et réfléchissez aux conséquences d'une éducation du type: Garde la bouche fermée, encaisse les brimades, et soit une bonne femme au foyer! Dans notre monde actuel? Laissez-moi rire.
_ Un autre appel

_ Ces petits monstres ne comprennent pas les mots. Ça les faire rire. Ils vous prennent pour des lâches. Ce qu'ils comprennent bien c'est les coups. Autant que nécessaire pour que la sagesse entre.

_ Un autre appel
_ Acceptez l'idée que notre société d'hyper consommation n'a strictement rien changé au concept de l'instinct prédateur humain. Et à l'instinct grégaire. Bien au contraire, les obligations de compétitivité les ont exacerbées tout en les transformant pour les intégrer à notre mode de vie. À partir de ce moment, la position de chacun est rapidement prise. Tu es un prédateur, ou tu es une proie. Mais je ne suis pas un psychopathe, comme certain auditeurs aimeraient à le penser, simplement une personne sensée, qui sait que le combat physique pour la domination des temps anciens, s'est transformée, en même temps que notre société, pour devenir un combat psychologique, d'où seul les plus forts/plus malins se sortent indemne.
_ Un autre appel
_ Malheur aux vaincus. Rien de nouveau.
_ Un autre appel
_ Et que font les vaincus? Ils se pendent? Ou prennent un fusil?
_ Un autre appel
_ Le harcèlement qu'un enfant subit ne vient pas toujours des autres enfants! C'est l'histoire d'un jeune garçon de 6 ans qui entre en première année. Il a déjà fait la pré-maternelle et la maternelle. En première année, le voilà avec un professeur qui est enceinte et fatiguée. Mais qui a une classe de garçons. Il y en a 3 sur qui elle a toujours quelque chose à leur reprocher. Celui dont je parle, c'est un gaucher! Il fonctionne avec sa main gauche. Autre chose: elle trouve qu'il a de grosses mains. Le pédiatre dit qu'il va mesurer plus de six pieds. alors ca lui prend des mains et des pieds qui vont aller avec le reste du corps. Elle trouve qu'il a de trop grosse main. Elle fait part qu'il laisse trop d'espace entre chaque lettre. Une fois, il a demandé pour aller à la toilette d'urgence: pas de permission. Il a uriné dans son pantalon. Il a fallu obtenir l'intervention de la directrice pour quelle cesse ses petits manèges auprès des 3 enfants qu'elle harcelait! Et elle est parti accoucher.
_ Un autre appel
_ L'habituer jeune à vous raconter comment s'est passé ses journées à la garderie, le primaire et au secondaire, l'amener à continuer à vous confier ce qui se passe! Et être à l'écoute de son enfant!
_ Un autre appel
_ Je suis une personne atteinte d'une forme légère d'autisme et j'ai subi énormément de violence physique et verbale à l'école. En fait, je ne connais pas un seul autiste qui n'ait pas été victime de brutalité en milieu scolaire. L'année dernière je suis venu en aide à une adolescente qui a aussi un désordre neurologique d'une nature différente. Elle aussi subissait un incroyable rejet à l'école. Elle s'est réfugiée dans la drogue et l'alcool. Mais le plus incroyable dans tout ça c'est que la mère de cette jeune fille m'a dit qu'elle trouvait ça normal, compte tenu de son comportement, que cette jeune femme subisse de la violence en milieu scolaire. Éventuellement, cette adolescente est devenue complètement écoeurée de la vie et elle se drogue 
_ Un autre appel

_ Être rejet. Tout le monde sait ce que c'est et qui l'est. C'est le premier stade. Pecking Order. L'ordre de picossage. La poule blessée sera piquée à coups de becs jusqu'à ce qu'elle ne meure.

_ Un autre appel

_ Dans la vie, il n'y a que la force. Tu l'apprends un jour et tu en tires les conséquences.
_ Un autre appel
_ Quelle douleur ! Une malheureuse victime qui dit le harcèlement qu'elle a subi, qui dénonce... enfin. Combien de victimes n'ont pu parler ? Combien de victimes sont mortes dans le silence ? Combien de harceleurs peuvent continuer impunément leurs crimes?
_ Un autre appel
_ Si l'intimidatrice n'a aucun regret de ce qu'elle a fait, elle devrait être mise sous surveillance car elle pourrait être un danger une fois adulte. Une autre Karla Homolka ?
_ Un autre appel
_ J'entendais la ministre bonbon à la télévision hier soir. Les agresseurs, il faut des mesures pour les soutenir, de l’aide, comme s'ils étaient des victimes. Je n'ai rien entendu pour les victimes. Comment peuvent-elles être protégées dans ces lieux douteux que sont devenus les écoles publiques?
_ Un autre appel
_ Intimidation, harcèlement. Appelons cela comme on veut, mais ici, il y a eu mort. Et on va former des comités à l'école pour discuter?
_ Un autre appel
_ Pourtant, il y a une solution à l'éducation, et c'est: abolir les écoles mixtes. Le problème, c'est que les élèves sont en compétition sexuelle les uns envers les autres. Les intimidateurs veulent  constamment améliorer leur statut social afin d'accroître, leur pouvoir de séduction chez le sexe opposé. Et il y a la jolousie féminine. C'est ce qui explique que les filles auront une forte tendance à s'intimider entres-elles et les garçons, à s'intimider entres-eux. Ils veulent améliorer leur probabilité à plaire aux autres, en abaissant les plus faibles afin de se remonter dans la hiérarchie sociale scolaire. En gros, le fait que nous ayons des écoles mixtes explique l'intimidation à l'école. Le phénomène s'est accru parce que la discipline parentale et scolaire est, bien moindre qu'autrefois. Mais la racine du problème est là, c'est le fait que les écoles primaires et secondaires soient mixtes.
_ Un autre appel
_ Cette histoire me répugne. Moi-même quand j'étais au primaire, j'ai été victime d'intimidation par des garçons. Pourtant, rien dans mon apparence ou mes habitudes ne me distinguaient des autres, j'ai été élevée par des parents aimants et j'ai toujours reçu de très bonnes remarques de la part des professeurs. Selon moi, le gros problème, ce sont les parents des enfants intimidateurs. Quand on leur transmet des valeurs sociales ou culturelles comme la domination, le machisme ou l'importance de l'apparence physique, c'est ça ce qui arrive. Et un parent ne doit pas se boucher les oreilles quand un professeur lui apprend que son enfant agresse un autre. Dans mon cas, les garçons qui m'intimidaient ont été élevés dans une culture parentale où on valorise la virilité masculine. Et je trouve dégoûtant qu'il existe encore aujourd'hui des parents qui continuent malgré tout à les conditionner de cette manière avec les conséquences : racisme, homophobie, harcèlement sexuel.
_ Un autre appel
_ Avez-vous entendu un politicien ou un bien pensant ou un média dire que le suicide est la pire chose à faire ? Que le suicide est un geste condamnable ? Ou est-ce que le suicide de cette jeune fille a été seulement récupéré pour des fins politiques? Oui, l'intimidation est grave, mais le suicide est bien pire. Quand une personne se suicide, c'est terminé, c'est fini, on ne peut plus rien régler. J'aurais aimé entendre les politiciens dire qu'ils allaient s'attaquer aux problèmes de suicide au lieu de tourner le drame en récupération politique.
_ Un autre appel

_ Le suicide est un crime. C'est le meutre de soi-même. Le suicidaire est un assassin.

_ Un autre appel
_ Aux parents : intéressez-vous à vos ados au lieu de vos téléromans plates.
_ Un autre appel
_ Ok ok! C'est la faute des intimidateurs, c'est la faute de leur parents, c'est la faute de la société, c'est la faute de la ministre et tout le gouvernement, c'est la faute des professeurs et des CPE, c'est la faute du manque de ressources et c'est la faute du système parce que nous sommes toutes et tous des victimes parce que c'est toujours de la faute des autres. Contents là?
_ Un autre appel
_ Oui, en effet c'est la faute des intimidateurs et il faut faire quelque chose comme société pour changer ça. C'est affreux! Après cela, nous serons contents, en effet!
_ Un autre appel
Les enfants aujourdhui sont mous surprotégés souvent incapable de faire face à la réalité de la vie de tous les jours.

_ Un autre appel
_ Dans les milieux de travail, on ne tolère plus le harcèlement psychologie. Alors à quand on va établir des politiques et des moyens d'action efficace contre le harcèlement psychologique et physique en milieu scolaire. Ce trou béant démontre à quel point le milieu des adultes est à des années-lumière de celui des enfants et adolescents. Même en milieu scolaire où on n'ose pas bouger pour ne rien déplacer. On voit bien que tout ce qui couve par en dessus fini par exploser en pleine face. Alors il serait temps que des comités contre le harcèlement en milieu scolaire soient établis avec des intervenants appropriés dont un délégué représentant l'association étudiante au niveau des écoles et des commissions scolaires. Il faut en venir à ce que toute situation d'intimidation soit dénoncée, anonymement, s'il le faut et qu'enquête se fasse avec les moyens permettant d'obtenir des résultats. L'harceleur comparaîtra devant ce comité et subira son jugement. Les droits des victimes doivent avoir préséance sur celui des harceleurs et des agresseurs. Quand il y aura quelques cas de traités par ce genre de structure, ça se calmera. Il faut commencer maintenant. Pas besoin d'étude de plus, on sait tout ce qu'on a besoin de savoir.
_ Un autre appel

_ Si un enfant ne peut pas supporter les petites misères que se font entre eux les enfants que lui arrivera t-il dans la vie d'adulte? Je le plains.

_ Un autre appel
_ L'intimidation ne date pas d'hier, en 1963, j'étais en 6e année, grand efflanqué timide tout en bras et jambes. Des vieux de ma classe qui avaient redoublé ad nauséam me faisaient la vie dure: me pousser dans l'escalier, moqueries, me coller la langue de force sur une clôture en plein hiver, baisser mes pantalons et j'en passe des pires. J'ai osé le dire à mon père car je n'en pouvais plus. La honte! Il a débarqué à l'école, empoigné au collet mes harceleurs et débarqué chez leurs parents. Le harcèlement physique s'est terminé, même si à partir de ce moment, on m'a traité de fils à son poupa, de fif. Je n'ai connu la paix que lorsque nous sommes déménagés au secondaire. Je suis donc très touché par ce drame parce que j'ai des enfants qui pourraient subir le même sort.

_ Un autre appel

_ Ils vont subir le même sort
_ Un autre appel
_ C'est tellement facile de harceler. J'entendais un spécialiste dire qu'il ne faut pas chercher de coupable. Pardon? Oh que oui, les harceleurs et harceleuses sont responsables! Et ce sont eux qui doivent être interpelés et accusés, je pèse mes mots, de meurtre non prémédité. Ces jeunes s'en tireront, peut-être, avec une réprimande. Comme ceux qui ont arrosé d'essence et tenté de mettre le feu à une gamine de 13 ans!
_ Un autre appel
_ Et on oublie qu'avec la féminisation de l'enseignement, c'est encore pire. Les femmes ont naturellement peur de la violence. Et dès qu'elles voient quelque chose qui y ressemble, elles punissent. Ce qui fait que celui qui est harcelé et battu ne peut se défendre. Comme pour faire exprès, les madames ne seront jamais là quand il se fera battra mais lorsqu'il aura enfin le courage de répliquer et de donner une bonne leçon à ses agresseurs, les v'là. Et la petite vermine va se plaindre. Comme elles n'auront rien vu, ce sera la parole de la victime et celle de la vermine agresseuse qui, pour une fois, est dans la peau d'une victime. Et que pense le jeune ? Il n'y a jamais personne quand il a des ennuis. Et quand il se défend, on le lui reproche. C'est de la violence!
_ Un autre appel

_ Il faut se tenir debout. J'en ai assez de cette lâcheté générale.

_ Un autre appel

_ Pire. On n'en a que pour les faibles que l'on plaint sans cesse alors que la faiblesse est méprisable.

_ Un autre appel
_ Se tenir debout? En fait, pourtant ça ne prend pas la tête à Papineau pour comprendre qu'il est impossible de se tenir debout quand on est seul et que tous sont contre nous. Que peut faire un étudiant quand il a toute la classe contre lui? Se plaindre aux profs? Cela ne donne rien!! Se plaindre à la direction? Idem. Au contraire, après un stoolage, c'est souvent encore pire! Moi, mon enfant a été victime d'intimidation. Mais lorsque j'allais m'en plaindre à la direction, le directeur me disait: "Je le sais bien monsieur, mais que voulez-vous que je fasse? Je ne peux pas changer le monde. Alors, je l'ai sorti de cet enfer. Il a fini ses études dans un autre établissement. Se tenir debout? Les Rambos et les Bruce Lee, ça c'est dans le films! Dans la réalité, il n'y en a pas de ça! Mais par contre, il y a des victimes et il y en a d'innombrables!
_ Un autre appel
_ C'est vrai que les jeunes sont élevés dans la ouate et que la vie au secondaire c’est compliqué. Mais la vie est cruelle, c’est vrai. Mais il y a pire et il faut y faire face. Je ne dis pas que l'intimidation c'est rien, au contraire c'est un désastre social. Mais il y aura pire lorsque le jeune vieillira. Oui, il vivra bien pire. S'il vit. S'il survit.
_ Un autre appel

_ Les filles au secondaire et les garçons se traitent de tous les noms. C’est quand même une pointe de l’iceberg; le respect. C’est le respect qui manque envers les autres jeunes. Et pour les plus vieux, c’est l’autorité. Sans l’un et l’autre, peu de chance de pouvoir avoir un avenir.

_ Un autre appel

_ La faute à la vie

_ Sans la politesse, c'est la loi de la jungle
_ Un autre appel
_ L'intimidation psychologique et verbale, ainsi que l'exclusion sociale, font parti intégrante de la vie.
_ Un autre appel
_ Autre point pour mettre en bouillie le fait qu'il suffit de se tenir debout pour que cesse l'intimidation. Les intimidateurs ne s'en prennent jamais au gorille de la classe car ils en mangeraient toute une et ils le savent. Alors, ils s'en prennent lâchement aux étudiants doux, vulnérables et plus petits physiquement. En somme, ils s'en prennent à ceux qui ne sont pas en mesure de répondre physiquement à leur méchanceté.
_ Un autre appel
_ Les politiciens sont trop pissou pour mettre de l'ordre, ils ont peur de perdre des votes! Ça crève les yeux et ils sont tous pareil. Pourtant sont pas là pour toute leur vie.! C’est ça qu'ils pensent. Ça fa dur, ça fa dur!
_ Un autre appel
_ Il est certain que la jeune fille a tristement décidé elle-même du résultat final mais quand une personne est harcelée au point d'en finir avec sa vie, ça ressemble vraiment au meurtre. Les personnes qui intimident jusqu'au suicide commettent un crime grave et ça devrait être prévu dans la loi. Ceux-ci devraient être traduits en justice et punis en conséquence. Eh oui, avec le système de justice que nous avons, ils recevraient sûrement qu'une toute petite tape sur la main, mais il est à espérer que la communauté les pointerait du doigt pour le reste de leur vie.
_ Un autre appel
_ Et pour ces intimideurs qui se tapent les bretelles de leurs gestes, il faut croire que le sac à cerveau était à court de marchandise lorsqu'ils sont nés.
_ Un autre appel
_ Il y a des adultes qui ne comprennent rien quand on leur explique. Imaginez, ces adultes jeunes. La seule chose qu'ils comprennent, c'est la peur. Et la douleur. Tu fais ça. Tu vas avoir mal. Sacrément mal.

_ Un autre appel
_ C est un cas d’harcèlement criminel ayant conduit a un suicide! Un point c’est tout, qu’on agisse en conséquence!
_ Un autre appel
_ Depuis des décennies on évite de parler de cas bien précis de suicides sous prétexte que cela pourrait donner des idées à d'autres, surtout chez les jeunes. Alors je me demande pourquoi maintenant les spécialistes nous encouragent en parler plus particulièrement dans les cas attribués au monde scolaire alors qu'avant on préconisait le contraire? La GRC a été blâmé récemment pour avoir exercé de l'intimidation psychologique sur des employé administratifs et on retrouve surement les mêmes problèmes dans certaines entreprises. En France on a même parlé d'une grande entreprise ou on a comptabilisé des dizaines de suicides chez leurs employés à cause de pratiques douteuses chez les dirigeants. Même à Radio-Canada, on se suicide dans les toilettes. Je crois que c'est devenu un problème de société mais ici on a décidé de parler de l'intimidation à l'école chez les jeunes et dans les écoles alors que c'est probablement le même problème chez les adultes dans les administrations et les entreprises.
_ Un autre appel
_ Un petit bout de réalité. Ma voisine est éducatrice spécialisé, elle enseigne a des jeunes provenant de l’immigration et ce de tous les pays, ces étudiants sont souvent des victimes cibles par le manque de pouvoir s'exprimer. Un jour, au printemps passé, elle croise dans un corridor de son école un petit groupe de hot, 4 gars une fille, qui coincent une jeune fille et la harcèle de mots mais aussi avec de petits attouchements genre de petites tapes sur les foufounes. En voyant ça, elle intervient et dénonce à la direction même si les jeunes se sont mis à courir pour se sauver mais elle les a reconnu. Bon! la direction appelle les parents et sont tous convoqués à l'école. Que 3 parents se présentent sur 5 et aucun des parents ne croient vraiment et tous banalisent ce qui c'est passé. Mais le directeur impose une semaine de retenue après l'école sinon ils sont expulsés. Les jeunes ont fait leurs temps mais en soirée, pendant cette semaine, ils se sont présentés chez le professeur, ma voisine, et ont désoufflé les 4 pneus de sa voiture. C'était à la noirceur, après 22h, et ma voisine n'avait aucune lumière et les jeunes ont dû penser qu'elle dormait ce qui n'était pas le cas, en entendant du bruit, elle a été voir et a saisi son appareil photo et a prise des photos des contrevenants même si elle les avait reconnu. Le lendemain elle avaient encore plus de preuve car elle demeure a coté d'un dépanneur et tous les 5 paraissaient en plus sur la vidéo de la caméra extérieure. Même avec photo et vidéo, des parents ne voulaient pas admettre que c'était leurs enfants. Elle avait porté plainte à la police. Mais les parents ont répondu que le prof n'avait qu'a poursuivre car de toute façon, la peine sera un petit minimum. Ma voisine a porté plainte, les jeunes ont passés au tribunal de la jeunesse, leurs peines une journée de bénévolat dans la communauté. Depuis à l'école les jeunes sont considérés par leurs pairs comme des vraiment hot et maintenant tous les craignent. Ma voisine ne croyait vraiment pas que la situation tournerait ainsi, les parents s'en foutaient et les jeunes ce sentent maintenant au dessus des lois. Il est où le problème, comment aurait elle du agir ? Une tranche de vie du quotidien d'un prof... enfin pour certains
_ Un autre appel
_ Mon fils avait un problème avec le fils d'un bandit, probablement fils de bandit lui-même. Même les profs avaient peur de lui. C'était le king de l'école. La police ne faisait rien, pas de témoin, pas de preuve. Comme il était en train de scraper sa vie et celle de tous ceux qu'ils recontraient, j'ai décidé de m'en occuper. Sans le dire à personne. Un jour, je l'ai attendu à la sortie des classes, il n'y avait personne. J'avais un bâton de baseball. Hop! Dans le coffre de l'auto. Et hop! Dans le fleuve. Ses parents ont eu de la peine. Ce qui prouve que même les vermines peuvent avoir des sentiments. Mais à partir de ce moment, ce fut le calme plat à l'école. Ses petits imitateurs ont pensé qu'ils pouvaient leur arriver malheur à eux-aussi. Des remords? Comme tuer un chien malade contagieux qui a la rage.
_ Un autre appel
_ Il est difficile de ne pas pointer du doigt les intimideurs. C'est l'effet de gang qui, la plupart du temps, exacerbe les actions et les paroles intimidantes. C'est un phénomène omniprésent mais dans certains milieux, les écoles en l'occurrence, ses effets sont ravageurs. Cette jeune fille ne méritait pas de telles sanctions pas plus que tout autre jeune en voie de devenir un adulte civilisé et responsable. L'éducation, l'apprentissage de la politesse, du respect de l'autre, particulièrement dans sa différence est un antidote aux agressions physiques et verbales. Mais ce ne sont pas des panacées. Derrière chaque jeune qui souffre, il y a un autre jeune qui fait souffrir. Derrière chaque jeune qui fait souffrir, il y a un jeune qui souffre et qui se déleste de sa souffrance sur un autre. Il a quelque chose à prouver aux autres. Fondamentalement, les jeunes qui ont intimidé la jolie jeune fille n'avaient aucune raison valable de l'intimider. Une pulsion inconsciente les poussait. Extérieurement, c'est une forme de théâtre, d'expression de soi mais qui fut fatale. Et s'ils sont dangereux seuls comme ils pensent n'avoir de valeur qu'en groupe, ils peuvent être extrêmement néfastes et dangereux. Il faut faire de la prévention, de la dénonciation, de l'empêchement d'agir et de l'accompagnement dans les écoles. Aux intimidés qui vivent leurs douleurs seuls et aux groupes d'intimidants

_ Un autre appel
_ Pour moi ça serait pas compliqué. Ça serait des accusations en justice pour les enfants intimideurs ainsi qu'à leur parents. Et ce n'est pas parce que l'intimidation a toujours existé qu'elle doit exister toujours et indéfiniment et qu'on doit s'écraser et ne rien faire. Les enfants qui ont intimidés cette jeune fille mérite d'avoir affaire avec la police et la justice. Point à la ligne.
_ Un autre appel
_ Vous avez raison. Un des problèmes est la difficulté qu'ont les victimes à dénoncer les agresseurs. Pourquoi? Les représailles. Parce qu'elles existent et parce qu'elles arrivent. On se frappe à un mur garnie de pointes acérées et les adultes démissionnent. Par expérience, les jeunes, malheureusement, apprennent à ne plus faire confiance aux adultes souvent pour leur lâcheté, leur banalisation des problèmes, leur volonté de les éviter étant donné le trouble qu'ils procurent, leur désintérêt auprès des jeunes moins sympathiques, voyants, dérangeants par leurs différences. Tout le monde déteste et méprise les rejets. Être à l'écoute ne veut pas toujours dire s'intéresser aux cas les plus flamboyants afin de faire du spectacle de type interventionniste, ou se gaver d'histoire crunchy afin de faire psy.

_ Un autre appel

_ Les cours d'auto-défense sont certainement une bonne idée

_ Un autre appel

_ Mais n'oubliez pas que dans le monde tordu des libertés dans lequel nous vivons, se défendre peut probablement être retourné contre vous. N'oubliez pas qu'ici on ne fait plus la différence entre un agresseur et une victime. Le monde de l'intimidation prend une plus grande ampleur que les étudiants dans les écoles, il se répand en peur chez les adultes tout autant par ces mêmes truands. On s'en prend aux automobiles des parents, aux maisons. Pour leurs enfants, ce sera l'enfer du corridor, des toilettes et du vestiaires: se faire plaquer dans les murs subtilement. Au mieux, des commentaires hostiles. Des menaces de blessures et de mort. Certains parents, par crainte de représailles envers leurs enfants pour toutes sortes de motifs ne portent pas plainte auprès des directions d'écoles. Croyez-moi! Laissez-moi vous dire que les directions d'écoles, pas tous j'espère, ne font pas grand chose en cette matière, vous seriez surpris parfois. En ce qui me concerne, aussitôt qu'une preuve tangible de pouvoir accuser ces truands se présente à moi, je porte plainte officiellement. À 12 ans, le code criminel prévoit des accusations. Il n'est pas normal d'être harcelé dans sa vie privée, à l'extérieur de l'école, alors que des évènements se produisent à l'école. Pour les mous et les autres preachers des sciences humaines qui préfèrent faire du bla, bla, pour certains ces méthodes fonctionnent lorsqu'ils sont de bonne volonté, mais pas tous. Ça, les humanistes semblent l'ignorer. Si vous avez des preuves, portez plainte à la police, vous aurez un meilleur service que les programmes qui ne sont que des prétextes à allonger du budget que pourront syphonner ces établissements.
_ Un autre appel
_ Ceux qui croient que la répression n'a pas d'impact, essayez, vous verrez. La réhabilitation après la punition pas avant! Si on ne peut prévenir qu’on punisse.
_ Un autre appel

_ Les excuses ne suffisent pas, il faut qu'ils souffrent

 _ Un autre appel
_ Lorsque j'étais très jeunes, j'avais un oncle qui était professeur dans une école de réforme, les plus vieux se rappellerons qu'a cette époque, les intimidateurs et les baveux de cours d'école ou les voyoux des rues, ceux qu'on appelle aujourdh'ui gang de rues, s'ils ne devenaient pas dociles face à l'autorité, si on les jugeait incontrôlables, s'ils traînaient dans les rue, s'y ramassaient. Et on les rééduquait. Comment ça ce passait, selon ce que j'entendais de mon oncle, 6'4" et les mains 6 po de large: c'est que si un jeune donnait un claque a un plus petit, il en prenait un plus grand du groupe et faisait sentir au fautif ce que le plus petit avait ressenti quand lui se croyait très fort contre un plus faible. Il sortait les gangs de boxe et réglez vos problèmes. Mais leur réalité était fausse et il fallait bien qu'ils comprennent un jour ce qu'est la réalité de tout le monde. Il y a toujours plus fort que soi. Il fallait bien qu'il l'apprenne un jour s'il ne l'avait pas compris avant. Et s'il ne l'avait pas appris par l'intelligence, il fallait qu'il l'apprenne par la douleur. D'une manière ou d'une autre, ça entre. Plus durement dans le second cas. Et si c'est toujours facile de s'attaquer à plus petit ou plus faible, la prochaines fois, tu y penseras 2 fois. Mais la réalité du plus fort qui se plait à frapper sur un plus faible, c'est que c'est un lâche, une vraie moumoune face à la vie. Et si son verbe ou ses poings sont fort, le reste n'est que chiffe molle qui a peur d'affronter la vie. Et souvent, trop souvent par l'absence d'éducation à la maison. Ils se sentent désorientés par le manque de valeurs qu'ils auraient pu apprendre si leurs parents leurs avaient transmis. Et si les parents n'étaient pas en prison, c'est qu'ils avaient eu plus de chance que lui.

_ Un autre appel

_ La victime a réagi en se suicidant, mais d'autres réagissent de façon plus violente. Les tueries partent souvent de là. Polytechnique?
_ Un autre appel
_ L'école, c'est comme la vie. Tu es seul. Et tu ne dois rien attendre de personne.
_ Un autre appel
_ Quand ce genre de geste d’intimidation et d’harcèlement a lieu, on demande aux victimes de l’école de quitter les lieux et de changer d'école. Et les coupables eux peuvent rester et continuer et vaquer à leurs agressions sur les autres jeunes. De peur de représailles et réactions de ces jeunes vauriens et de leurs parents qui protègent leurs progénitures à gros bras. C’est arrivé avec ma fille, et je ne vois que c’est la même situation qui arrive à ce jour aux autres jeunes et cela ne change pas, même foutaise.
_ Un autre appel
_ Le fait que vous en voulez à ce système ne m’étonne pas. Nous avons un gouvernement et des élus réactionnaires et bien loin d’être proactifs, faut pas leur en demander trop, ils ne pensent qu’a leurs enveloppes brunes, les petits copains et leurs plan du Nord. Tout pour du fric. Que le peuple prenne action par eux mêmes et arrête de se fier à ce systèmes crasseux.
_ Un autre appel
_ Toutes mes condoléances, je vous envois toutes mes onde positives et mes prières, afin de vous aidez a passez votre calvaire, je pleure avec vous madame votre situation
_ Un autre appel
_ Si tu ne peux pas te défendre toi-même personne ne le pourra pour toi.
_ Un autre appel
_ Malheureusement ce n'est qu'un début. Plus on avance dans le temps pire ce sera, vous verrez!
_ Un autre appel
_ Congédier le responsable; le directeur qui n'a rien de concret fait et qui a menacé la mère pour qu'elle renvoie sa fille a l'école malgré qu'il savait très bien que le problème restait entier. Non assistance à personne en danger c'est une loi Fédérale. Et un crime.
_ Un autre appel
_ Tout le monde à une responsabilité... les parents en premier lieu! Quand j'étais jeune, je m'avais moquée d'une fille car elle portait des lunettes pour faire rire mes amis. Ses parents avaient appelé les miens. Mon père m'avais alors obligé à appeler la fille et à m'excuser. Mon orgueil en avait prit un méchant coup et plus jamais je ne l'avais taquinée. Des fois ce ne sont que de simple geste qui font la différence. Les parents sont à la base et ont 100 fois plus d'autorité sur un enfant qu'un professeur.
_ Un autre appel
_ J’espère que nos élus vont s'assoir et trouver des solutions concrète face à l'intimidation
_ Un autre appel
_ Les gouvernements sont aux prises avec le même problème. Regardez ce que font les gros syndicats de la construction actuellement: si vous ne gardez pas le placement syndical, on enlève 30 000 travailleurs demain matin. Autrement dit, si le gouvernement ne fait pas nos volontés, on va le faire chanter. L'intimidation continue en société et les gouvernements en sont eux-mêmes victimes.

_ Un autre appel

_ Et ils intimident aussi ceux qui protestent contre eux. Ils envoient vite la police anti-émeute.

_ Un autre appel

_ Et, pire, la culture du faut pas être un stool est vénérée. L'Omerta. Comme chez les bandits ou la police.

_ Un autre appel

_ La faute est à tout le monde finalement

_ Un autre appel

_ Oui, chacun à sa part de responsabilité à tous les niveaux. De l'élève harcelé au gouvernement.

_ Un autre appel

_ Je trouve très inspirante l'idée de l'école de la région de Québec qui a mis sur pied des élèves sentinelles qui surveillent les média sociaux et qui agissent avec les intervenants scolaires. C'est comme ça qu'on avance.

_ Un autre appel

_ Il ne faut pas mettre tous les torts du même côté.

_ Un autre appel

_ Il y a les parents, les enfants, les bons et les mauvais, les éducateurs, les policiers ou les gouvernements. C'est complexe et multifactoriel. Et chaque milieu fait face à des défis qui lui sont propres.
_ Un autre appel
_ Il y a autant de sortes de harceleurs que de genres de harcelés. C'et la mosaïque humaine. Et ce n'est pas uniquement une question de gouvernement. Nous sommes tous interpelés et il est toujours facile de rejeter la faute sur les autres. Mais avant toute chose, il faut connaître le harceleur pour mieux le contrer. Et c'est valable à tous les niveaux de la société. Il y a les peureux, les poltrons à qui il suffira de flanquer une bonne frousse. Il y a les bêtes faciles à confondre. Il y a aussi des sadiques, des apprentis psychopathes en devenir ou des carrément méchants. Il n'y a donc pas de recette miracle mais une bonne connaissance de la nature humaine doit primer toute intervention. J'ai eu affaire à deux épisodes de harcèlement. Réglés tous les deux de manière fort différentes. Le premier a eu peur que soit rabaissée sa notoriété publique. Les seconds, c'était un groupe, c'étaient des couillons et une mise en demeure d'un avocat les a fait taire. Cela n'aurait eu aucun effet sur le premier. Il faut donc bien décoder à qui on a affaire avant d'agir. Mais il faut agir
_ Un autre appel
_ Vous savez, notre supposée valeur pacifique et notre mentalité à toujours vouloir acheter la paix n'est pas une réelle vertu de notre nation, mais bien un reflet et une réminiscence de notre passé politique depuis 250 ans. Vieille habitude de conquis, notre fatigue politique chronique, notre ambivalence et nos combats répétitifs pour revenir toujours au même point en sont le reflet.

_ Un autre appel

_ Savoir se défendre aujourd'hui est devenu une nécessité! Surtout pour nos jeunes qui vivent dans une période où nous ne leur avons pas laissé beaucoup d'espoir ni futur, ils auront tout ou presque à rebâtir ici au Québec, alors que le travail était fait et a été défait.
_ Un autre appel
_ Mais que deviennent ceux qui ont été terrifiés pendant toute leur enfance et leur jeunesse? Est-ce que c'est voulu?

_ Un autre appel
_ J'espère que le gouvernement investirera beaucoup pour les services sociaux dans les écoles. Je me souviens lorsque j'étais au secondaire, nous avions un agent de police présent dans l'école et de cette manière les jeunes se sentaient beaucoup plus en sécurité.

_ Un autre appel
_ C'est pareil pour l'intimidation faite aux hommes lors de séparation. La justice! Quelle justice!
_ Un autre appel
_ Tous ces étrangers inassimilables dans les écoles avec leurs moeurs barbares.
_ Un autre appel
_ Moi aussi j'ai vécu de l'intimidation. En tant que fille de parent militaire, j'ai changé d'école souvent et je me suis souvent retrouvé comme LA nouvelle. En 4e année, je ne voulais plus aller à l'école. Ma mère a dû m'y traîner de force. C'est l'accumulation de tous les jours qui devient difficile à surmonter. J'ai passé à travers, mais je suis une personne toujours sur la défensive qui fait maintenant tout ce qu'elle peut pour aider sa fille pour qu'elle soit heureuse à l'école.
_ Un autre appel

_ Bonne chance


_ Un autre appel


_ Pauvre elle


_ Un autre appel
_ L'intimidation, il y en a tous les jours et partout. Ne fermons pas les yeux et écoutons nos jeunes.
_ Un autre appel
_ Je suis certaine que d'autres ont pleurés en se souvenant de l'intimidation qu'ils ont vécue étant enfant.
_ Un autre appel
_ Certains passent à travers... d'autres pas...
_ Un autre appel
_ Quelle émission est la plus populaire juste au Québec? Ne serait-ce pas Occupation double? Loft Story. Big Brother. Quelles valeurs y sont véhiculées comme dans toutes les émissions du même genre? La tricherie, la trahison, les complots, la jalousie, le mensonge, le dénigrement, le bitchage, la volonté constante d'éliminer des gens, l'apparence, le superficiel. Faut pas mettre la faute sur Facebook uniquement. Même dans Star Académie les jeunes se font critiquer, humilier publiquement, pour ensuite être éliminés. Les faire partir ne suffit pas. Il faut les accabler. Me semble qu'on devrait avoir mieux à offrir aux jeunes
_ Un autre appel

_ On est seul comme des chiens. Et on meurt seul comme un chien.

_ Un autre appel
_ La critique, les injures, les insultes font malheureusement partie de la vie. Elles sont présentes au travail, à la maison, avec les amis, avec la famille. On se tue à préparer un bon souper pour des amis, là, il y a le type qui veut impressionner sa nouvelle conjointe et pour se remonter, se fait un honneur de détruire d'une critique soit-disant constructive tous les efforts déployés. Un peu comme l'émission Un souper presque parfait. Situation adulte où l'intimidation est toujours existante, avec un peu de décorum. Certaines personnes vont prendre ça avec un grain de sel et d'autres, ne s'en remettront jamais. Je crois que c'est ici que l'on doit intervenir. D'apprendre à savoir gérer la critique objectivement et le critique, en étant conscient de l'intention réelle de l'interlocuteur. De savoir quels gestes poser si l'intimidation nous touche ou même nous blesse. Même chose pour les jeunes à l'école.
_ Un autre appel
_ Cette pauvre petite fille n'avait pas les outils pour gérer cette situation déplorable et en rien sa mère ne peut être blâmée à ce sujet!
_ Un autre appel

_ Oui, elle doit être blâmée. Elle n'est pas entièrement responsable mais elle a sa part de responsabilité. Comme la mère du maniaque de Polytechnique.


_ Un autre appel


_ Comme la mère du cannibale homosexuel


_ Un autre appel

_ Je suis désolée mais je ne voulais pas vous contredire car je suis parfaitement d’accord avec votre commentaire. Ce qui est triste c'est qu'il semble bien que ni les parents de la morte, ni les parents de son ex petite amie, ni son ex petite amie qui s'est battue avec, ni la gang de son ex petite amie qui l'accompagnait, ni les professeurs, ni le directeur et ni la Commission Scolaire soient les coupables. Il paraît que c'est un acte isolé et que la Commission Scolaire a mis sur place un Comité de Soutien pour les personnes concernées ou peinées par cet acte et qu'ils vont revoir leur protocole!

_ Un autre appel

_ Alors comment voulez-vous que les coupables soient punis? Il y a des coupables. Ils doivent être punis

_ Un autre appel

_ D'ailleurs les adultes sont à l'image des jeunes d'aujourd'hui, y'a plus personne de coupable! Que ce soit un père qui assassine ses enfants ou 3 imbéciles qui aspergent d'essence une jeune de 12 ans puis veulent la flamber. Y'a pu personne de responsable. Et il n’y a pas que quelques actes isolés. Il y en de ces actes isolés à tous les jours.

_ Un autre appel

_ Selon mes observations lorsque je travaillais en service de garde : une des intervention utilisée était de confronter la victime au jeune qui utilise l'intimidation contre lui. Technique qui de toute évidence n'a jamais été très concluante. Car, entre vous et moi, combien acceptent de dire la vérité ? Bref de se dénoncer ? Ou d'avouer.  Ceux qui le font sont les cas les plus faciles et les plus novices dans cette pratique. Les plus récalcitrants, quant à eux, vont nier jusqu'au bout. J'en ai vu pleurer aux larmes et pourtant après coup. D'autres vont finir par s'excuser pour ensuite se venger dans un coin reculé ou subtilement entre deux cases à la pause. Si on se pose la question: Pourquoi un jeune pratique l'intimidation ? Le dénigrement ? Les menaces ?. Personne ne pose un geste de façon répété s'il n'y a une récompense au bout du chemin. Le jeune qui intimide à toujours son fan club dont il se nourrit. Maintenant, autre questionnement: qui sont ces jeunes qui admirent l'intimidateur ? Et pourquoi ?. Il existe une foule de raisons pour qu'un jeune en vienne à intimider: jalousie, provient d'un milieu violent physique ou psychologique ou verbal, besoin d'être accepté de la masse, faible estime de soi camouflée et déguisée. Mais en résumé ça demeure un gros Power Trip, avoir le pouvoir sur un autre. L'écraser. Et ça continue même lorsqu'on les met de force l'un face à l'autre. En bref, confronter la victime à son harceleur est pour moi une technique qui ne devrait plus être utilisée sauf dans des cas mineur. Chercher à tout prix à savoir qui dit vrai afin de procéder peut prendre une éternité. Avant de porter des accusations et de sanctionner il faut connaitre la vérité j'en conviens, mais avant tout, lorsqu'un jeune souffre réellement, il faut se souvenir que c'est SA réalité, point , donc il faut intervenir ra-pi-de-ment ! Ensuite une enquête sur la vérité et les sanctions pourront suivre

_ Un autre appel

_ C'est comme n'importe quel crime. On intervient après. Et la victime n'a plus que ses yeux pour pleurer. On ne peut peut-être pas empêcher les crimes d'arriver dans les villes mais dans un milieu clos comme une école où ne rentre pas qui veut et où on connaît tout le monde, il faut intervenir avant. Empêcher le crime d'arriver.
_ Un autre appel
_ Nous sommes dans un monde de chacun pour soi et d'élimination. La jeune fille a perdue et a été éliminée. Donc il reste plus pour les autres.
_ Un autre appel
_ Une des élèves de l'école, que j'ai vue à la télévision, parlait de bitchage. Une fille vraiment commune! Il y a longtemps que j'aurais exigé, accompagnée d'une amie comme témoin, une rencontre avec la direction de l'école. Pas de changement, suite à cette rencontre, alors: aux grand maux, les grands moyens!. Ce n'est ma fille qui serait rendue six pieds sous terre!
_ Un autre appel

_ Qu'entendez-vous par là? Zut! Il est parti.

_ Je suis d'accord avec lui. Si l'action ne cesse pas, il faut s'en prendre à la personne qui la commet. Si le système a trop de dossiers à traiter - puisque ce ne sont que des dossiers et des numéros d'événements pour eux- les parent n'a qu'une personne à protéger. Et s'il sait quelle personne la menace. À lui d'agir.

_ Un autre appel 
_ Pour ma part, œil pour œil dent pour dent.
_ Un autre appel
_ Attendez-vous un drame plus important? J'ai vécu cette situation cette hiver, et les intervenant de l'école et même ceux du CLSC n'ont jamais rien fait pour nous aider, au contraire, ils ont tendance à banaliser la situation. Eh oui! Probablement comme la jeune fille. Si la personne concernée refuse l'aide offerte, on la laisse tomber! Et ce, sans que les parents puissent en être informés. Madame la ministre, dite moi. Que puis-je faire dans ma situation? Attendez-vous un coup d'éclat!
_ Un autre appel
_ C'est vraiment désolant ce qui arrive aujourd'hui, et d'autant plus chaque jour de l'année en moyenne 3 suicides surviennent dans toutes les tranches d'âge. Est-ce que le débat ne devra pas être d'abord sur le suicide et la croyance qu'il s'agit d'une porte de sortie. Il n'est pas acceptable qu'une personne de tout âge, et encore plus à 15 ans alors qu'on a encore rien vécu, qu'une jeune femme avec tout l'avenir devant elle, envisage le suicide comme solution à ses problèmes. Je crois qu'il y a là une question bien plus profonde que l'intimidation.
_ Un autre appel
_ Il serait faux de croire qu'elle appartient uniquement au gouvernement, à l'école, à l'intimidée, à l'intimidateur ou même la famille, la faute. Tout le monde aujourd'hui partage cette erreur et il est maintenant essentiel que nos jeunes soient préparés au vrai monde, et non pas celui en rose qu'on tente de nous faire croire qu'il existe.
_ Un autre appel
_ Il faut pardonner

_ Un autre appel
_ Cette histoire me répugne. Moi-même quand j'étais au primaire, j'ai été victime d'intimidation par des garçons. Pourtant, rien dans mon apparence ou mes habitudes ne me distinguaient des autres, j'ai été élevée par des parents aimants et j'ai toujours reçu de très bonnes remarques de la part des professeurs. Malheureusement c'est ça qui dérange beaucoup de gens malheureux! Le bonheur des uns est souvent difficile à supporter par les autres. La jalousie tue!
_ Un autre appel
_ Les bourreaux sont multiples dans cette d'histoire; les agresseurs, les enseignants qui interviennent mollement, la direction qui regarde ailleurs, la commission scolaire qui nie le problème ou le diminue, les parents des agresseurs qui angélisent leurs petits vauriens, les surveillants de l'école qui ne surveillent que l'horloge! Tout ce beau monde va nous dire qu'ils ont les mains liées, que les règlements et les lois les empêchent de sévir contre les fautifs, que les parents font pas leur job, que l'école fait sa part. Au final, ces gens acceptent de travailler dans ce système et c'est à eux qu'incombe la responsabilité de changer les choses, de trouver les solutions et surtout, de protéger nos enfants! Je travaille aussi dans un établissement d'enseignement et je n'hésiterais pas à mettre mon poste en jeu pour venir en aide à un étudiant en détresse. On travaille pour les jeunes ou on choisit autre chose comme métier! La jeune après avoir frappé à toutes les portes depuis plus de 3 ans, il était inévitable qu'elle arrive un jour devant la dernière porte.
_ Un autre appel
_ À Montréal-Nord, c'est la police municipale à qui on doit faire affaire et non la Sureté du Québec et, à Montréal, c'est normal l'intimidation, le harcèlement pour faire taire quelqu'un qui dénonce ou veut protéger son enfant ou des enfants, les menaces de mort, le parjure pour entamer des poursuites abusives qu’on abandonnera en cours de route, la fabrication de faux documents pour porter préjudice à un citoyen qui dénonce ces faits inacceptables et défend son enfant.
_ Un autre appel
_ Et les policiers refusent tout simplement de prendre les plaintes. Il faut donc passer par-dessus eux à chaque fois, ce qui est très ardu. Et si nous réussissons à avoir des accusations, il faut s'assurer d'un suivi serré, car les procureurs de la couronne vont demander automatiquement l'absolution pour tout premier délit même si l'accusée, elle niait jusqu'à l'écoute d'une preuve audio. Et au procès, s’il y a procès ce n’est pas mieux. Parce que ce ne sont pas de causes valorisantes. Et il y a déjà tant de gens à juger. Si elle a une jolie gueule, ça lui vaudra le qualificatif de personne qui dit la vérité par le juge afin de justifier sa sentence bonbon. Même si elle s'est fait prendre grâce à des preuves audio que les policiers ont tentées de dissimuler et que le procureur évitera de mentionner lors de l'audition devant le juge. Juges qui banalisent l'intimidation, les menaces et le harcèlement qu'un adulte ou un enfant peut subir à Montréal à travers des organismes communautaires comme un club de soccer ou une école primaire de quartier.
_ Un autre appel
_ Face à tous ces gens de pouvoir, l'enfant et le simple parent ne représentent absolument rien pour les policiers et nos juges. La crédibilité, l'honnêteté et l'intégrité est donné automatiquement aux gens de pouvoir. Comme si de ce fait, ça en faisait des anges! Et on appelle ça la justice. Et on appelle ces policiers des agents de la paix. C'est ironique n'est-ce pas?
_ Un autre appel
_ Que peut-on faire à Montréal si la police refuse de faire son travail et de nous protéger? Vers qui peut-on se tourner pour porter plainte comme citoyen afin d'être protégé ?
_ Un autre appel
_ Que peut-on faire quand le directeur d'une école primaire abuse de son pouvoir allègrement et porte atteinte à la réputation de l'enfant au point de le mettre en échec scolaire et porte atteinte à la réputation de ses parents pour avoir le dessus? Que peut-on faire quand le protecteur de l'élève est en fait le véritable protecteur de la Commission Scolaire? Chaque rouage du ministère s’entendant pour rouler doucement et sans grincement.
_ Un autre appel
_ Contrairement à ce que l'on dit ici, les intimidateurs ne sont pas toujours des imbéciles, ils le font souvent pour se faire accepter, c'est le principe de j'écoeure pour ne pas me faire écoeurer. Si on les interroge sur leurs comportements, ces intimidateurs vous diront que ce qu'ils font c'est pas si pire. On s’amuse.
_ Un autre appel
_ Les cas de suicide sont extrêmement rares. Disons que c’est une mauvaise phase à passer qui forge le caractère. Il faut avancer dans la vie et la société n’a pas besoin de faible. Il n’y a pas de place pour tout le monde. Il faut faire un tri.  C’est l’école qui le fait. Et hors des classes, c’est la cour de récréation. La plupart des jeunes qui se sont fait écoeurés s'en sortent très bien. Lors de notre Conventum de notre polyvalente 10 ans après, j'ai revu les petits baveux, les nerds, les granos, les sportifs du temps, pis on était tous contents de se revoir.
_ Un autre appel
_ J'ai écoeuré moi aussi, mais dans le fond c'était bien innocent et sans malice.
_ Un autre appel
_ Elle sera contente de le savoir la petite là où elle est actuellement. Que c’était juste pour la tester. Pour le fun.
_ Un autre appel
_ Sa mère aussi
_ Un autre appel
_ Elle n'aurait pas fait ce geste si on l'avait aidé à régler ce problème qui l'affectait énormément. Au lieu d'avoir de l'aide, elle à réglé elle-même ce problème en s'enlevant la vie. Rien à dire, le problème est réglé pour elle.
_ Un autre appel
_ L'intimidation est partout, pour les jeunes et pour les moins jeunes. A l'école, au boulot, au sport, sur la route, dans la rue. Pensons aux cas de rage au volant. Donc je ne vois pas vraiment. À part se dire outré. Ensuite, exprimer son point de vue et s'épancher sur ceux qui ont laissé l'intimidation prendre la place. Je ne vois pas ce que l'on peut faire concrètement pour l’empêcher dans les écoles primaires et secondaires. Et surtout je ne vois pas ce que le gouvernement va pouvoir faire réellement. J'imagine que les commissions scolaires ne vont pas manquer l'occasion de demander des $ en plus pour la prévention, ce qui m’écœure parce que c'est sur le dos de cette pauvre fille et de sa mère. Désolé pour ce pessimisme de mise, mais moi les mots creux
_ Un autre appel
_ Malheureusement tout ce que nous pouvons dire ou écrire concernant cette tragédie, la pauvre petite est morte, nous ne pourrons pas la rendre a ses parents, et elle restera dans le souvenir de ses parents pour le reste de leur vie.
_ Un autre appel
_ Je pense que toutes les situations d'intimidations doivent être déclarées. Les lâches qui font  du harcèlement, de la violence et du taxage font des crimes, font des victimes et sont des criminels. Et souvent, c’est le début d’une carrière de bandit. Qui commence ensuite par le stade voyou. Briser des vitres, crever des pneus, voler les systèmes de son des autos, vendre de la drogue à l’école, cambrioler les maisons. Et quand ils seront jetés de l’école, s’ils ne vont pas en institution pour la jeunesse, cure fermée, comme on dit, ils continueront cette carrière à plein temps en ville. Encore une fois, cambriolage, vente de drogue, vol de dépanneur, prise d'otage, envahissement de maisons et terrorisme pour les propriétaires. La prison dure cette fois. Une vie de criminel qui commence par une vie de petit délinquant.
_ Un autre appel
_ Vous vivez dans un monde désespérant.


_ Un autre appel
_ Et c’est toujours à recommencer. Quand un groupe a terminé son cycle sans trop de dégâts et qu’on a pu les civiliser, un autre groupe de sauvages arrive.

_ Un autre appel

_ Les institutions attendent qu'un drame arrive avant d'agir ou de faire une conférence, une commission d’enquête, une table de concertation.

_ Un autre appel
_ Les spécialistes des écoles, conseillers, profs, direction, voient de vrais enfants plus ou moins jeunes. Les bureaucrates hors des écoles ne voient que des feuilles de papier, des rapports.
_ Un autre appel
_ Tolérance zéro pour moi. Retirer l’agresseur de son milieu idéal, l'école, et l'envoyer dans un centre spécialisé pour modifier ses comportements en garde fermé. Le dresser. Le centre spécialisé et si ça ne marche pas l'institut jusqu'a 18 ans. Pourquoi pas une ferme o le travail des champs. Jamais ramener le jeune dans son école, c'est à lui et ses parents de changer d'école après son retour de son stage en centre spécialisés.
_ Un autre appel
_ Ça commence à faire de garder les yeux fermés. Arrêtez de mettre des millions dans des messages télé que les jeunes n'écoutent même plus de toute façon et installer des caméras dans les écoles, les corridors, les escaliers, les vestiaires, les salles de classe, dans les cours d'école, les autobus.
_ Un autre appel

_ Si une de ces jeunes crapules restent à l'école, tu lui mets un bracelet émetteur à GPS. Comme ça tu peux le suivre toute la journée. Et il ne faut jamais le perdre de vue. Comme il est trop irresponsable pour être laissé seul à gérer sa vie, on la gère sur lui. Et il ne sera jamais seul.

_ Un autre appel
_ Dac. Tu intimide ou tu agresse, bye en centre de troubles de comportement en garde fermé. Pas de tape sur les doigts, pas de punition bonbon. C'est insuffisant pour ces énergumènes bien mal parti dans la vie. Et tu restes là jusqu’à ce que tu prouves que tu as changé. Si tu es incapable de te comporter en humain au milieu d’êtres humains, tu restes là jusqu’à la fin de tes jours.
_ Un autre appel
_ Épouvantable de juste penser qu'un seul jeune s'est suicidé. Les jeunes qui veulent jouer au dur c'est eux que l'on doit écarter de la société, pas le jeune qui est obligé de se tasser pour leur faire toute la place en se pendant. Les écoles et la société ne s'en porterons que mieux.

_ Un autre appel
_ Que certains voyous meurent je n’ai pas de misère avec ça.
_ Un autre appel
_ Plus tard, en prison, ils vont dire qu’ils ont payé leur dette à la société. À 80 000 – 100 000 par an pour les garder en dedans, qui paye la dette de qui6 On les met là-dedans parce qu’ils n’étaient pas vivables. Et beaucoup ont commencé à terroriser des enfants dans des corridors, à les voler. L’école du crime. Adultes, ils sont devenus des professionnels du crime, des criminels de carrière, jusqu’à ce qu’ils fassent assez de dégâts et de victimes pour être repéré et exfiltré, comme des déchets. Et on les place hors de la société avec leurs semblables en espérant qu’ils vont penser à leur comportement, regretter. Mon œil. Cette race là devrait être éliminée à la racine. Et génétiquement. Un parent criminel risque de faire des enfants criminels, c’est un risque que je ne veux pas prendre. La carrière criminelle s’arrête avec lui. Tu as un dossier, tu n’a plus le droit d’avoir des enfants. Pour la vie.
_ Un autre appel

_ Mais ce ne sont que des enfants qui s'amusent et on les prend au sérieux
_ Un autre appel
_ Dieu merci mes enfants sont allés dans une institution privée, et la rare fois lorsqu'une situation comme celle-ci s'est produite, tous les parents concernés ont été convoqués à rencontrer le responsable du collège et tout s'est rapidement réglé.
_ Un autre appel
_ Mais tous les Québécois n'ont pas les moyens d'envoyer leurs enfants dans de tels établissements responsables...
_ Un autre appel
_ Ce n’est pas mieux au privé qu’au public. Ce ne sont pas les institutions qui sont responsables mais les gens. Les institutions qu’elles soient de briques ou de papier, ne ressentent rien. Il n’y a que des gens responsables et des gens irresponsables et, entre les 2, des peureux qui ne prennent pas leur responsabilité.
_ Un autre appel
_ Le problème dans le cas de la jeune fille, n’a pas été les parents qui voulaient garder leurs fille à la maison, dans la mesure où l’école était devenu un milieu dangereux et intimidant pour la jeune fille, mais bien l’école qui a forcé la mère à renvoyer sa fille à l’école
_ Un autre appel
_ Si elle n’était pas retourné, elle serait vivante
_ Un autre appel
_ Pourquoi que l’inverse ne serait pas possible ? Les parents devraient pouvoir appeler un groupe auter que la DPJ pour dénoncer ces cas et voir le problème réglé une fois pour toutes.
_ Un autre appel
_ Il est évidant ici que le directeur a agi comme un lâche irresponsable
_ Un autre appel
_ J'ai vécu ça. Je me suis fais casser deux bras à 10 ans par la classe entière durant la récré. Les élèves n'ont rien eu comme conséquence et leurs parents, même les miens, ont dit que je l'avais sûrement mérité. Parce qu'un jeune ne fait pas ça sans raison. Tout comme cette adolescente qui n'avait rien fait. J'étais maigre comme un clou tellement j’avais peur d'aller à l'école. Ça a même continué même à l'âge adulte.
_ Un autre appel
_ Ça n'arrête jamais.
_ Un autre appel
_ Comme de vrais criminels. Ils ont l’instinct.
_ Un autre appel
_ Et on devrait les traiter comme de vrais criminels. À la première offense, out! Dans un centre avec tes semblables. Où tu continueras l’école mais surveillé continuellement. Et si tu n’apprends rien, pas plus à bien te comporter que les matières scolaires, l’usine ou la shop.
_ Un autre appel
_ Le don d'organe entre vivant obligatoire. Tu ne te sers pas de ta vie d'un façon utile. Les morceaux de ton corps et ton sang serviront aux gens qui ont une vie utile. Malgré toi, tu sauveras d'autres enfants.

_ Un autre appel
_ En écoutant ce qu’on dit, j'en viens à me dire qu'il faut être pour la loi fédérale C-10, simplement pour que les jeunes criminels ne soient plus vus comme des héros ayant résisté au système.
_ Un autre appel
_ Comme ce multirécidiviste de 16 ou 17 ans de Chicoutimi qui a essayé d'immoler une fillette.
_ Un autre appel
_ En prison. Si tu es assez vieux pour agir comme un vieux bandit. Tu vas avec les vieux bandits.
_ Un autre appel
_ Nos intellos bien pensants continuent de parler de réhabilitation, sans peine significative préalable. Le ministre de la Justice du Québec a fait une crise à Ottawa en disant qu'il demandera aux avocats du gouvernement de contourner la loi! Il faut protéger nos petits criminels et non nos petites victimes.
_ Un autre appel
_ Tant qu'une sous-culture québécoise qui nie la gravité objective de la criminalité sera active et aura un poids important dans la société, la criminalité se portera bien. Tant que l'on considérera les ados comme des êtres qui sont tous bons et aimables, ce sera le paradis sur terre pour les jeunes criminels. La vérité, c'est que l'enfance et l'adolescence se caractérisent par des attitudes nombrilistes et égoiste. L'enfant et l'ado sont centrés sur leur moi et n'ont que faire du sort des autres. Voilà une réalité qui s'applique généralement. Si tous sont comme ça, tous n’ont pas de comportements criminels et ne deviennent pas criminels endurcis. Mais une telle mentalité dans un fond de crapulerie et c'est la catastrophe assurée. Parfois, une bonne frousse leur suffit. Voilà c’est ce qui va t’arriver si tu continues sur ce chemin. Ça suffit pour certains. Pour les autres, les criminels d’habitude, il ne faut pas s'empêcher de le punir comme il se doit. Et longtemps.
_ Un autre appel
_ Un criminel reste un criminel même si c'est en apparence un enfant. Au fond de lui, c'est un criminel. Un esprit criminel qui n'attend qu'à se développer et à empirer. Même si le jeune n'a que 6 ans. Ou 12, 14 ou 18 ans. Attendons pas que d’autres tentent de mettre le feu à une fillette. Le projet de loi C-10 doit poursuivre sa route.
_ Un autre appel
_ Il y a 4 catégories d'étudiants: Les prodiges, les moyens, les sous-doués et les problèmatiques. Le problème au Québec, c'est que tous ces étudiants fréquentent les mêmes écoles, prennent les mêmes autobus, dînent en même temps aux même endroits. Ailleurs dans le monde, notamment en Europe, au Japon, même en Inde, ces 4 catégories ne fréquentent même pas les mêmes écoles! Mais bon, on est au Québec et ici tout le monde est égaux et vaux la même choses que son voisin. Excusez-moi de vous parlez de ségrégation académique ou intellectuelle. Je dois être trop à droite pour la majorité d'entres-vous!
_ Un autre appel
_ Un seul mot: fasciste ! Point. La déclaration universelle des droits de l'homme, vous connaissez?
_ Un autre appel
_ On fait accroire que tous les gens sont égaux parce que c'est un souhait pour beaucoup. Si vous êtes nés dans une famille riche vous ne serez jamais l'égal de l'enfant né dans une famille pauvre et toute votre vie bifurquera à partir de ce moment. Sauf un coup de pouce du destin. La nature a fait qu'il y a des plus intelligents dans toutes les classes sociales. Le fait d'être né dans une famille pauvre ruinera toutes les chances des surdoués. Que de talens naturels gaspillés. Il faut donc les recruter. Comme faisaient les curés de l'ancien temps. Ils connaissaient les jeunes de leur village et proposaient à leurs parents une éducation gratuite à condition qu'ils fassent des prêtres ou des frères. Sinon, c'était pas d'éducation du tout, la condition de tout le monde. C'est injuste diront certains. Pourquoi donner une chance à certains plutôt qu'à d'autres sous le prétexte de talents naturels, de caractéristiques intellectuelles, biologiques, sportives ou artistiques. On fait ça et on donne une chance à ceux qui n'en avaient pas. Sinon, c'est l'adresse qui fait foi de tout. Né dans les beaux quartiers, personne ne te contestera tous tes nouveaux droits sous prétexte que c'est injuste. Né dans les quartiers de taudis ou de HLM, désolé pour toi, passe ton tour. Ce qui est curieux. C'est seulement lorsqu'on prétend niveler un peu les égalités ou équilibrer légèrement les injustices que les petits bourgeois se mettent à clamer et à bramer contre l'injustice. Sous prétexte d'un idéal d'égalité qui n'existe pas mais qu'ils voient menacés. Dans les faits, ils admettent très bien l'injustice de la richesse et l'injustice de la pauvreté. Que quelques-uns s'en sortent et que la majorité coulent. Eux sont bien au chaud dans leurs belles théories universitaires. Et dans le fait, ils font tout pour que ça continue ainsi tout en prétendant le contraire. Hypocrites.
_ Un autre appel
_ Il ne faut pas seulement relancer le débat; il faut agir. Oui agir.
_ Un autre appel
_ Messieurs et mesdames nos politiciens, voici mes humbles suggestions: Une grande campagne de publicité affirmait que toute personne qui est témoin d'intimidation et qui ne fait rien est coupable de complicité. Ne rien faire est effectivement être complice. Une publicité télé, radio, web, avec affiches partout. Dénoncer ce n'est pas être lâche, c'est aider. Sauver. Comme lorsqu'on sauve quelqu'un de l'eau alors qu'il allait se noyer. Ne rien faire c'est agir en lâche. Complice.
_ Un autre appel
_ J’ai aussi ma suggestion. Fermer immédiatement la page Facebook ou Twitter de l'intimidateur. Couper le lien internet et le branchement cellulaire de l'intimidateur. Pour au moins un an.
_ Un autre appel
_ On parle des jeunes et pas des parents. Leurs reproducteurs et leurs éducateurs. Donc, comme ils ont pas compris leur rôle et pensé qu’il leur suffisait de s’accoupler et de pondre. Formation forcées des parents sur la responsabilité parentale face aux méfaits de leurs jeunes.
_ Un autre appel
_ La simple politesse. Le vouvoiement. Parce que la personne en face de toi, même si c’est un jeune, même s’il a le même âge que toi est important et a droit au respect. Et ceci, bien sûr, avec les adultes, les professionnels qui ont étudié longuement. Ou les simples passants. Le savoir vivre. Les bonnes manières.
_ Un autre appel
_ La prison. On me dira que c'est impossible à cause de la charte des droits et libertés. Mais l'intimidateur, lui, a-t-il respecté les droits et libertés de sa victime? Non. Il a privé sa victime de ses droits, alors qu'il assume sa propre privation, à son tour.
_ Un autre appel
_ C'est mon opinion. La prison. Et si la prison coûte trop cher. Les champs de fraises à la place des Mexicains l’été. Et les serres de tomates l’hiver. Ou les entrepôts de recyclage. Comme ça, il fera un travail utile qui rapportera de l’$. Au lieu d’être une dépense infinie. Parce qu’il est incapable de se contrôler, il faudrait l’entourer de contrôleurs et de surveillants. Ou le placer dans une cellule et la cellule dans une prison de centaines de millions. Sans compter ce que coûtera sa victime qu'il faudra soigner.
_ Un autre appel
_ Ce qui m'inquiète, est que les jeunes semblent commencer à percevoir le suicide comme un moyen, non seulement de mettre fin à leur souffrance et leur désespoir, mais comme un moyen de pression, une façon de prendre la parole publiquement, une forme ultime de vanité et d’égocentrisme
_ Un autre appel
_ Non, c’est le seul moyen qui leur reste de se faire entendre et, peut-être, de faire avancer les choses. De se sacrifier pour sauver les autres. Une forme de martyre.
_ Un autre appel
_ Je suis fatigué du chantage que font les suicidaires et les suicidés même après leur mort
_ Un autre appel
_ Hypocrisie, comme si le problème venait d'apparaître suite au suicide d'une jeune fille. Il existe depuis toujours et depuis toujours des jeunes se suicident suite à ce genre d'abus. Faut avoir de la boue, pour rester poli, dans les yeux pour l'ignorer. Le problème est à tous les niveaux/âges, l'intimidation provoque des catastrophes. Y a pas seulement les jeunes qu'il faut éduquer.
_ Un autre appel
_ Faut avoir de la merde dans les yeux. Je ne suis pas aussi poli. Les prédateurs tuent leurs victimes. Ils ne peuvent pas vivre ensemble. Il faut séparer les prédateurs des victimes.
_ Un autre appel
_ Après des cas comme celui-ci, on s'étonne encore qu'il y ait des tragédies comme celle de Dawson.
_ Un autre appel
_ Oui. Tous ne se suicident pas. Certains se vengent.
_ Un autre appel
_ Polytechnique.
_ Un autre appel

_ Le dépeceur

_ Un autre appel
_ Ce sont les parents qui doivent encadrer leurs fils et filles; susciter en eux ce moi intérieur, cette capacité de croire en soi qui permet de faire face aux petits tyrans de l'enfance qui par esprit de gang créent leur groupe grégaire et alimentent une micro terreur dans la cour d'école et les cours d'éducation physique pour faire régner leur capacité d'intimidation. Parce que l'enfant fonctionne au premier degré de 5 à 16 ans, il projette ses frustrations toujours sur tous ceux qui apparaissent différents, plus solitaires, adeptes de la lecture plus que du sport. Le jeune harceleur déverse sa rage jamais contenue sur celui ou celle qui à la source est affaibli par des parents négligents, absents ou autoritaires qui n'a pu se construire une identité forte.
_ Un autre appel
_ Personne ne parle des enfants qui disparaissent. Certains se suicident. Certains fuguent et réviennent. Certains ne reviennent jamais. Personne ne les retrouve. Comme si aucun d'entre eux n'était libre de revenir. Où sont-ils? Il faut faire une enquête.
_ Un autre appel
_ Le problème de l'intimidation sur un bouc émissaire c'est aussi celui des familles qui n'aiment pas leurs enfants réellement et qui les abandonnent à eux mêmes ne leur donnant pas les moyens d'apprentissage pour se défendre.
_ Un autre appel
_ Parce qu'eux-aussi ont été incapables de se défendre eux-mêmes. Pourquoi seraient-ils soudainement capables de montrer ce qu'ils ignorent et ce qui leur a manqué. Ils ont survécu. Et le cycle recommence avec leurs enfants.
_ Un autre appel
_ Les jeunes sont spontanés, tapageurs et cruels. L'adulte doit apprendre la morale aux jeunes, ils ne la connaissent pas.
_ Un autre appel
_ Les parents non plus. Comment enseigner quelque chose qu’on ignore?
_ Un autre appel
_ Il faut apprendre aux jeunes à respecter les autres et a se défendre directement s'ils sont molestés par qui que ce soit, même leurs parents.
_ Un autre appel
_ Oui, c'est une bonne chose mais cela ne règlera jamais vraiment le problème. Les agresseurs peuvent redoubler d'ardeur, se mettre à plusieurs, et la victime demeurera une victime.
_ Un autre appel
_ Beaucoup d'éducation doit être faite afin que les adultes puissent intervenir quand la victime ne réussit pas à s'en tirer toute seule. C’est le rôle des adultes d’agir en tuteur, modèle, confident, mentor, protecteur, sauveteur.
_ Un autre appel
_ Il n'est pas facile d'obtenir des informations de la part des adolescents même quand ils ne sont pas les victimes.
_ Un autre appel
_ ll y a toujours des signes. Et les signes sont évidents pour tous ceux qui veulent voir.
_ Un autre appel

_ Oui. Tout le monde voit les signes lorsqu'il est trop tard. Bizarre, tout ce qui était flou apparaît soudainement si clair.

_ Un autre appel
_ Je pense que le débat a assez duré, il est temps de passer à l'action, et d'arrêter d'être douillet avec les responsables des agressions. J'en reviens pas d'entendre encore ce soir, ce père de famille dénoncer les agressions de ses 2 enfants. Il dit avoir même impliqué la police dans l'affaire et que la seule solution qu’on lui propose est de changer d'école ses deux enfants. Ou de déménager pour lui. Les victimes deviennent doublement victime. Que fait-on des agresseurs? Eux seront les seuls qui ne seront pas punis. Ils vont restés à leur école et dans leur ville avec leur gang et les victimes elles, doublement, triplement punies. Je ne comprends pas.
_ Un autre appel
_ Le code criminel devrait être révisé afin d'imposer des amendes aux parents dont les enfants sont les agresseurs. Fini le temps du placotage, le temps est à l'action sévère.
_ Un autre appel
_ Mon fils de 17 ans maintenant, a lui même attenté à son intégralité physique à cause de l'intimidation qui se pratique dans la même école que fréquentait la jeune fille. Ceci semble institutionnalisé dans cet établissement. Combien d’autres victimes muettes? On a dû l'interner, et il a maintenant une solide médication qui le maintient à flot. Il lui arrive cependant de faire des rechutes. Et retourner à l'école, même aux adultes, n'est pas envisageable. Je me suis impliqué profondément dans la Commission Scolaire comme Président du comité EHDAA et du comité de parents pour trouver des solutions. Et j’ai compris que le problème provient pas seulement des parents ou de la CS. Le problème c'est que les intervenants se font la guerre au lieu de collaborer, et je veux parler ici du centre jeunesse qui est clairement laxiste. Lorsque les directions demandent le retrait d'un enfant de son milieu parce qu'il compromet la sécurité des enfants ou des enseignants. Ils disent que ce n'est pas leur problème. C'est celui de l'école. Les écoles sont sans ressource, et le gouvernement leur dit d'être imaginatifs. Comment? L'intervention devrait se faire au niveau de la loi sur la protection de la jeunesse, mais les responsables s'en lavent les mains. C’est ce que j’ai appris. Mais je ne sais pas encore comment remédier à la situation.
_ Un autre appel
_ Le grand malheur dans tout ça est le fait que les petits truands continueront à être surprotégés. Ils continent sans être disciplinés. Sans que leurs gestes criminels n’entraînent de conséquences douloureuses pour eux.
_ Un autre appel
_ Moins de 18 ans, touche moé pas.
_ Un autre appel
_ Et dire qu'il y a encore des gens qui critiquent les politiques des anciennes écoles de réforme genre Bosco.
_ Un autre appel

_ Savez-vous pourquoi on les a fermées. C’était des niques de pédophiles et d’agresseurs d’enfants. Ils se retrouvaient tous là comme aumôniers ou éducateurs ou gardiens. Quand on s’en est aperçu, on a fait ça discrètement. Et comme il y en avait trop et que le scandale aurait été trop gros puisque la situation dirait depuis des décennies, on les a tous envoyés à droite et à gauche le temps de prendre leur retraite.
_ Un autre appel
_ À voir ce qui se passe, je doute très fort que la population ait grandi mentalement.
_ Un autre appel
_ Pauvre petit peuple

_ Un autre appel

_ Tout ceci est la faute de la gauche, du socialisme, du communisme ambiant. Quand la droite arrivera au pouvoir, ce sera un des problèmes qu'elle règlera.

_ Un autre appel

_Y  faut laisser aller les ti-zenfants chéris gâtés à la corde et le poupas et poumans gâtés pourris s'en crissent pas mal, me semble.
_ Un autre appel
_ Les fins de semaines, on donne un 10 ou un 20$ pis allez vous amuser parce que nous avons une réunion ou un party ou un dîner d'amoureux au resto.
_ Un autre appel
_ J'ai ai connu des gens comme ça et j'en connais encore quelques uns même s'ils ont gradués a des échelons supérieur de la société ou de leur soif du pouvoir aussi bien financièrement que politiquement les rend parfaitement sans scrupule. Bar ouvert. Le vampire à la jugulaire.
_ Un autre appel
_ Ne cherchez plus qui est responsable. Un miroir!
_ Un autre appel
 _ Reflet de notre mentalité Québécoise
_ Un autre appel

_ L'effet de nos valeurs québécoises. Le plus petit dénominateur commun

_ Un autre appel

_ Vous voulez savoir ce que ça va faire. Des fusillades comme on a vu ici et à Toronto. Noir. Pauvre. Mère seul sans père ni homme. Taudis. Accumulation de pauvres et de cas sociaux similaires au même endroit, dans le même espace. Pas d'éducation, d'instruction dans une famille qui n'existe pas ni à l'école. Un enfant agressif et frustré. Un ado agressif et frustré. Un adulte qui prend une mitraillette et tire. Sans raison. Ou pour faire le ménage dans sa rue. Initiation d'une nouvelle recrue. Guerre des gangs.

_ Un autre appel
_ Je suis d'accord avec plusieurs personnes . En fait c'est assez simple. Cette société est le résultat des enfants roi. La société a enlevé tout pouvoir aux parents d'élever leurs enfants et maintenant on se rend bien compte que les institutions, dont le gouvernement, ne peuvent éduquer les enfants totalement. Aujourd'hui, on lève on peu le ton sur les enfants. La DPJ arrive. Un enfant ca doit apprendre et on ne peut apprendre sans l'autorité. Et la punition si on n'apprend pas ou refuse d'apprendre. Et quelques claques. Et pour élever des enfants, il faut passer du temps avec eux. Le féminisme a éloigné les femmes du foyer. On place les enfants en garderie. On s'en débarrassse. Beaucoup d'homme ne prennent pas leurs responsabilités si ça chauffe! Si les hommes avaient le pouvoir d'élever leurs enfants avec un peu plus de fermeté, ils apprendraient à se comporter en société. Aujourd'hui il n'y a plus d'autorité.
_ Un autre appel
_Et les modèles sociaux qui concurrencent les parents sont souvent violents. On connait le résultat.
_ Un autre appel
_ Le vrai débat est sur comment élever nos enfants, pas chercher des coupables partout.
_ Un autre appel
_ Nous sommes tous coupables.
_ Un autre appel
_ Maintenant, prenons donc tous la bonne décision. Le retour d'un peu de discipline, de rigueur et de la validité du respect ne ferait pas de tort a notre société.
_ Un autre appel
_ Merci pour vos commentaires très pertinents. J'ai été moi-même dans cette situation en retirant mon fils de l'école. La direction m'a laissé savoir qu'il devait contacter la DPJ pour les raisons que vous avez mentionnées. Et comme tous les autres, je me suis écrasés.
_ Un autre appel
_ J'ai fait face à la même situation que vous mais moi je ne me suis pas écrasé. Lorsqu'ils voient que vous ne plierez pas devant leur menace insignifiante, ils changent de ton. Que voulez-vous qu'ils fassent? Ils sont incapables de tenir tête à un enfant, alors à un adulté décidé.
_ Un autre appel

_ Ça m'a fait réfléchir et j'ai eu la frousse! Mais ma priorité était de protéger mon fils de son intention de commettre l'irréparable. La DPJ était au courant et ne m'a jamais contacté. Ironie du sort! Le directeur m'a félicité de mon intervention. Je n'avais pas de plan B mais les solutions sont apparues et mon fils a terminé ses études secondaires et il est maintenant équipé et outillé pour faire face aux jeunes intimidateurs sans scrupules. Il entre au cegep en janvier mais les séquelles sont toujours présentes et le suivra tout au long de sa vie. Il est encore très fragile!
_ Un autre appel
_ Beaucoup de bruit aujourd'hui...mais êtes-vous prêt a changer cette société, c'est a dire élever vos enfants vous-même jusqu'a l'âge de 16 ans. Vous refilez l'éducation de vos enfants a un système qui ne fonctionne pas. Voilà le résultat. Vous avez tous été victimes d'intimidations dans votre vie. Rien de nouveau, mais quand tu apprend dans une garderie a te tenir en rang à 3 ans et a manger quand tu as pas faim, et ça sans rien dire. Ben, tu restes faibles toute ta vie. Et discipliné, sans défense.
_ Un autre appel

_ Et on va abuser de toi toute ta vie

_ Un autre appel
_ Mais tu fais un candidat parfait pour le marché du travail. Un tapis. Et pour le centre de personnes âgées où on te mettra à la fin de tes jours.
_ Un autre appel
_ Avouons-le, notre société est malade, c'est un scandale. Qui peut accepter cette fin tragique, inacceptable dans notre société, du moins celle que nous souhaitons? Et qui peut aussi admettre que les intervenants fuient leurs responsabilités, voire emploient eux-mêmes l'intimidation pour masquer leur manque de prise de responsabilités.
_ Un autre appel
_ Globlement, sans mettre tout le monde dans le même sac, on nage dans la société de l'irreposnsabilité. Celle des parents incapables d'affirmer leurs valeurs auprès des enfants. Il est tellement facile de regarder les téléréalités tout en ignorant les dérives des enfants. Tellement plus facile de ne pas se poser des questions. On va vers le plus facile. L'irresponsabilité est devenue une forme de religion. Celle du ne venez pas me déranger car cela pourrait m'obliger à fournir un effort pour dialoguer.

_ Un autre appel

_ Trop souvent dans ce qu'on appelle dialogue, on a l'impression d'entendre un feuilleton de la télévision. C'est un monologue. Les parents ou le parent parle et l'enfant attend que ça passe. Comme les messages commerciaux plates.

_ Un aure appel

_ Soyons lucides, faisons notre autocritiques, notre société a bien pâle visage. Tous avons notre part de responsabilité dans cette dérive.
_ Un autre appel
_ Qui regarde, observe ses enfants dès le plus jeune âge pour apprendre à les connaître, à comprendre qui ils sont et ce qui les différencie. Ce qui sera indispensable pour remarquer des changements inattendus. Au début, on le regarde et lorsqu'il peut parler, on lui parle. Et on l'écoute. Ce qui amènera à se poser des questions et à lui en poser. Qu'est-ce qui se passe? Et s'il est habitué au fait que vous l'écoutiez, il se confiera naturellement à vous.

_ Un autre appel

_ C'est un idéal mais on n'a plus le temps. On court tout le temps. La plupart des gens sont trop fatigués. Ils arrivent du boulot et de la route et du pont qui mène au boulot crevé. Ils se reposent et c'est déjà la course du lendemain. Aller, la route encore, porter le petit en garderie, le boulot.

_ Un autre appel

_ Si vous n'avez pas l'énergie pour élever un enfant, n'en faîtes pas. Ça ne s'élève pas tout seul.

_ Un autre appel

_ On dirait qu'il y a des gens qui se reproduisent en ayant à l'idée qu'ils font des bébés qui resteront ainsi pour le reste de leur jour. Des poupées qu'on peut habiller.
_ Un autre appel

_ Si vous n'avez pas d'$ pour vous occuper d'un enfant, n'en faites pas. Si vous avez besoin de compagnie, il y a des perruches. Ou des inséparables. Si vous avez envie de vous dévouer, faites du bénévolat.

_ Un autre appel

_ Là, vous trouverez tous ces gens qui ont fait l'erreur que vous n'avez pas faites et qui, depuis, ne savent plus comment se dépatouiller de tous leurs ennuis. Pas d'$. Malade. Pas de mari. Mais un enfant. Un deuxìème d'une deuxième donneur de sperme qui fout le camps aussitôt. Un troisième. Pris à vivre dans un taudis pas chauffé, plein de courants d'air, remplis de moisissures. Et il faut aller quêter à la banque alimentaire quand le chèque de BS est fini. Comme ils sont incapables de se débrouiller, il faut tout un entourage pour les soutenir. Les fonctionnaires du gouvernement. Et comme le budget de la province n'est pas infini,  tous les bénévoles de tous les organismes sociaux qui font ce que les fonctionnaires ne peuvent faire. Tous ces problèmes qui ne seraient jamais arrivé si la première erreur n'avait pas été faite: avoit un bébé quand on n'a pas les capacités ni les moyens.

_ Un autre appel

_ Il faudrait un permis.

_ Un autre appel
_ Sachez qu’elle est loin d’être la seule et que beaucoup de jeunes, dès la maternelle, vivent déjà ces mêmes difficultés qu'à l’école publique et eux ne peuvent malheureusement pas parler comme cette adolescente. Les jeunes enfants parlent davantage par leur comportement problématique qu’on étiquette toujours en premier lieu comme étant intrinsèque à eux-mêmes au lieu de travailler à trouver sa source qui est plus souvent qu’autrement extrinsèque à l’enfant - une situation familiale difficile, mais aussi une dynamique malsaine de groupe en garderie, à la maternelle, en classe, à la récréation et/ou au service de garde, mais aussi dans la relation avec l’enseignant, une difficulté d’adaptation à son nouveau milieu qui le perturbe au lieu de le rassurer, des besoins de bases non comblés, un trouble d'apprentissage, une maladie non déclarée. On se retrouve face à la caste fermée qu’est l’école publique. Alors le rêve d'un réel partenariat avec les parents des élèves s'évanouit. Ces derniers sont bien impuissants et démunis devant ce Goliath qui est même réuni en Association des commissions scolaires du Québec afin de se protéger. Que voulez-vous que les parents fassent lorsque l’élément déclencheur des difficultés de leur enfant se situe à la seule école publique du coin où ils ne sont pas considérés comme partenaires mais des consommateurs, des fauteurs de trouble accapareurs de budget et de ressource et des bénéficiaires de service. Et si souvent exclus qu’ils n’ont aucune protection en dehors de la fuite?
_ Un autre appel
_ Pour vrai, ceux qui s’en sortent sont ceux qui déménagent loin ou ceux qui ont les moyens d'aller à l’école privée.
_ Un autre appel
_ Loin. Les mêmes problèmes dans la petite école de village. Il n'y a pas de rêve. Il y a des catégories sociales et mentales et comportementales qui se retrouvent partout.

_ Un autre appel
_ Vous trouvez les jeunes audieux! C'est pas compliqué, on a donné du pouvoir à des enfants! Et on est surpris que ça vire en cauchemar ! A 14 ans ! Ils ont le droit de se faire avorter, d'avoir la pilule, des condoms, des informations sur la sexualité, sans que les parent le sachent. Ils ont le droit de vivre de l'intimidation, de refuser l'aide d'un psy ou tout autre aide du CLSC, et tout cela à l'insu des parents! Eh oui! les écoles tiennent confidentiels toutes ces informations qui nous permettraient de mieux connaitre et de protéger nos enfants. Et pour comble on leur apprend le mot DJP à 6 ans! À menacer leur propre parent ! Ils ont juste appris à manipuler le système ! Ils ont appris que s'il donne un coup de poing, ils sont expulsés de l'école mais traiter une fille de pute, ça passe ! Ils ont juste un avertissement ! Moi personnellement j'aimerais mieux avoir un coup de poing!
_ Un autre appel

_ Parlez pour vous! Les mots peuvent être blessants mais les poings...

_ Un autre appel
_ Le masculin est disparu des écoles comme modèle; c'est un problème, surtout au sein du multiculturalisme dans lequel nous acceptons de vivre en se fermant les yeux. Les différences culturelles y jouent pour beaucoup. Un acte criminel est un acte criminel. Tant que les adultes ne feront qu'en parler, exiger des budgets, des programmes, des processus, rien de plus n'arrivera. Il y aura des programmes, des processus, des discussions, des formulaires et des rapports d'enquête sur les tablettes.

_ Un autre appel

_ Maintenant on demande aux jeunes de prendre en charge la dénonciation des intimidants. C'est beaucoup demande à un enfant. Encore la déresponsabilisation des adultes. Et des spécialistes. Les profs, incapables d'instruire et d'éduquer. Les psychologues qui ne comprennent rien à l'esprit humain comme s'ils n'avaient rien appris ou que leurs connaissances ne leur servait à rien. Ou parce que ce qu'on leur a enseigné était faux et inutilisable.

_ Un autre appel

_ Dans les faits, plusieurs adultes banalisent ce qui arrive aux jeunes. Les adultes des directions scolaires ne font pas grand chose parce que trop occupées. Les adultes intervenants ne signalent pas les cas de jeunes qui sont problématiques parce qu'ils sont trop occupés. Tous ces adultse laissent ces jeunes dans des situations précaires. Les victimes sont isolées dans un système où les adultes du personnel sont stériles, amorphes et désabusés.
_ Un autre appel
_ Pas étonnant que par la violence générée dans ces endroits, certains jeunes dépassés par ces comportements retournent cette violence contre eux et s'enlèvent la vie.
_ Un autre appel
_ Il faut plus qu'être désolé
_ Un autre appel
_ Puisse cette jeune fille reposer en paix et que les colombes qui ont survolé le ciel le jour de ses funérailles survoler au dessus de nous tous pour ramener la paix dans nos rues et nos écoles.
_ Un autre appel
_ Il me semble que c'était assez évident pour tout le monde autour qu'elle n'allait pas bien. Un professionnel devrait savoir que quelqu'un ayant des problèmes de santé mentale ne cherchera pas nécessairement de l'aide à tout prix et ne criera pas sur tous les toits qu'elle veut se suicider. Soit que le coroner ne savait pas de quoi il parlait ou errait dans son rapport, soit que les faits ont été mal cités dans le présent reportage
_ Un autre appel
_ La problématique du suicide est très triste et c'est un fléau trop souvent tabou dans la population. C'est d'ailleurs pourquoi je m'implique activement dans cette cause et vous pouvez en faire tout autant. Pourquoi pas faire un don à votre centre de prévention du suicide le plus proche? Car c'est en effectuant de la prévention auprès de la population pour repérer et aider une personne en détresse en encourageant les personnes qui pensent au suicide à aller chercher de l'aide en leur montrant que des ressources existent pour eux qu'on réussi à redonner l'espoir aux personnes qui cessent d'y croire pendant un moment. Le centre de prévention du suicide est un service en prévention offert à tous ceux et celles qui sont touchés par la problématique du suicide; appelez. 1-866-APPELLE dans tout le Québec.
_ Un autre appel
_ Triste société où l'on ne peut rien faire si une personne malade ne demande pas elle-même les soins. Quand une personne va mal ou déraille il faut toujours son consentement sinon on ne fait rien. Quand on est vraiment mal c'est là qu'on n'a plus les capacités de demander de l'aide et qu'il faudrait agir. Mais non, on attend son accord.
_ Un autre appel
_ Notre société est malade mais elle ne veut pas être soignée.
_ Un autre appel
_ Je ne suis que partiellement d'accord avec vous. Si on regarde à l'autre extrême, il se pourrait que n'importe qui, parent, ami ou voisin, qui est dérangé par les comportements de quelqu'un puisse lui imposer d'être traité comme malade. La question est beaucoup plus délicate que votre propos ne le laisse croire.
_ Un autre appel
_ Le pire c'est qu'il est très difficile de faire dans la nuance et la complexité avec des lois
_ Un autre appel
_ Ce n'est pas tout à fait vrai. Si une personne est une menace pour sa propre vie ou celle des autres, elle peut légalement être hospitalisée contre son gré. Pour cela, il faut par contre que l'entourage prenne conscience de la gravité de l'état de la personne, qui bien souvent cache habilement ses émotions, et soit outillé pour bien réagir. Suicide Action Montréal offre une formation de 30 h à ses bénévoles, ce qui démontre que le problème est plus complexe que ce que l'on pourrait le penser.
_ Un autre appel
_ Le problème avec la santé mentale c'est que la loi dit que la personne doit être un danger pour elle-même ou pour les autres pour qu'elle soit hospitalisé. Si l'entourage ne décèle rien qui cloche alors il n'y a aucun motif pour forcer quelqu'un à se faire soigner.
_ Un autre appel
_ Malheureusement, les blessures à l'âme ne se voient pas facilement.
_ Un autre appel
_ Je trouve que nous vivons dans une société où il y a de moins en moins de politesse, de savoir-vivre. Je suis presque surprise lorsque quelqu'un agit humainement avec moi car tout le monde est trop pressé pour le faire. Il faudrait questionner plus loin que le milieu scolaire, plus loin que l'adolescence.
_ Un autre appel
_ Pour survivre, cette jeune fille aurait dû s'endurcir, pas de doutes là-dessus.
_ Un autre appel
_ Je suis d'accord qu'il y a un type de violence très particulier entre les femmes.
_ Vous faites vraisemblablement partie des gens qui considèrent que la dépression n'est pas une vraie maladie et qu'on a qu'à se botter le derrière pour s'en sortir. Que savez-vous de sa vie? De son enfance? De ses blessures?
_ Un autre appel
_J'ai un problème quand le directeur dit on n'a pas d'argent où bien les ressources pour répondre à ce besoin. C'est une belle excuse toute faite pour ne rien faire. Pourquoi qu'il n'a pas créé une cellule de crise quand la jeune fille a demandé de l'aide? Ou, lui-même, le directeur,  demandé de l'aide à d’autres directeurs si il était dépassé par les évènements. Il connaissait lui-même le problème de la jeune fille pasque déjà elle avait lancé un cri d'alarme. Il fallait trouver une solution. C'était urgent à mort et sa mort aurait pu être évitée ou elle aurait pas pu mais les chances aurait été meilleures selon moi. Beaucoup de questions sans réponses sans accusez personne. Méchant problème. Au pire, call la police. Le résultat, est morte! C'est fâchant et révoltant?
_ Un autre appel
_ Des gens à problème il y en aura toujours, des irresponsables ou simplement stupides. On ne peut compter sur eux. Mais leurs enfants font quand même du tort aux autres à l'école. C'est inacceptable autant pour les agresseurs, pour les victimes que pour les témoins complices. Ces petits jeux pervers ne peuvent que déboussoler l'esprit de ces enfants immatures. Il faut que ça se règle à l'école. Si les parents sont irresponsables alors l'école doit agir, signaler à la DPJ, isoler le problème etc. Les parents ne sont pas une excuse acceptable pour l'école.
_ Un autre appel
_ Il devrait y avoir une classe spéciale pour les intimidateurs à l'école. Ils y sont mis en punition et ils continuent leur formation. Ils peuvent y être en permanence ou y être envoyés pour un mois. Ils pourront vivre ce qu'ils font vivre aux autres. J'ai été intimidateur et intimidé et c'est important de le vivre pour savoir ce que c'est. Le plus important est qu'ils ne nuisent plus aux autres. Les retirer de leur petit cercle malsain. Changer de groupe ce serait bon pour eux.
_ Un autre appel
_ Les cours d'éthique et religions ou science morale devraient s'attaquer à cette question de front. Ils devraient présenter des vidéos et des témoignages. Des jeunes, des adultes, intimidateurs et intimidés. Des jeunes qui ont pensé au suicide.
_ Un autre appel
_ A trop mettre de millions dans l'administration et la paperasse on n'a pas de personne ressource sur le terrain en suffisance. Si chaque ado avait une personne de confiance équilibrée à qui parler, on aurait moins de suicides.
_ Un autre appel
_ L’intimidation est là pour rester, aux parents professeurs et éducateurs de la contenir dans des proportions raisonnables.
_ Un autre appel
_ La personne intimidée sera toujours reconnue par le groupe comme plus faible, à nous de lui mettre des forces mentales.
_ Un autre appel
_Tout ce travail de terrain ne peut se faire que si il y a assez de personnel de surveillance et d'aide qui manque cruellement dans nos écoles actuelles. On a coupé dans le gras en enlevant bien trop de viande. L'os est atteint. La ministre a beau se cabrer, elle ferait mieux de mettre plus de personnel pour l'aide aux élèves. Elle va sans doute dire qu'elle a mis des millions, mais à voir le résultat, c'est vraiment pas assez et combien de ces millions sont allez dans l'administration plutôt que dans l'aide sur le terrain?
_ Un autre appel
_ Quand on voit que des adultes, censés montrer l'exemple, intimident leurs semblables sur les chantiers de constructions, dans les postes de pompiers et dans différents niveaux du monde syndical et patronal. Quand on voit des adultes traiter les personnes âgées comme du bétail et leurs infliger des sévices corporels pour la seule et unique raison qu'ils ne vont pas assez vite. Ou salissent trop de couche. Quand on voit des adultes martyriser des animaux. Dans les chenils, les abattoirs, à la chasse. Quand on voit des parents, blesser ou tuer leurs enfants pour la simple et unique raisons qu'ils n’écoutent pas leurs religions. Ou que l'autre parent divorce. Quand on voit tout ça et que personne ne fait rien. Comment peut-on être surpris de voir que des jeunes font de telles choses?
_ Un autre appel
_ L'Adulte - avec un grand A - a un sérieux examen de conscience à faire, et il est urgent. Les jeunes sont le reflet de la société - malade - dans laquelle on vit.
_ Un autre appel
_ En 1997, je savais que mon ado avait des idées suicidaires. Je ne savais pas le matin si je la retrouverais morte dans sa chambre. Je ne savais pas lorsqu'elle partait avec l'air d'une condamnée si elle reviendrait. Ou si on m'appellerait pas pour m'annoncer la mauvaise nouvelle ou si la police ne viendrait pas à ma porte. Elle avait subi des moqueries, des mots d'enfants, des coups, tout le long de son primaire. La chimie du cerveau en a mangé un coup. Il en a fallu des démarches. Le mal de vivre était tellement fort.

_ Un autre appel
_ Tant et aussi longtemps que l'on va laisser des parents incompétents continuer à être incompétent et à ignorer et a négliger leur responsabilité parentale, ces choses la vont continuer. Ce n'est pas le jeune intimidateur qu'il faut cibler en toute priorité mais bien ses parents.
_ Un autre appel
_ On met des enfants dans la société puis on les laisse faire à leur guise. Je crois aussi que l'on a laissé nos politiciens jouer avec l'âge de responsabilité de nos enfants pour en faire plus de voteurs. Ce qui a causé le détachement des parents sur la plupart de leur enfants : J'ai 18 ans et je vais faire ce que je vais vouloir! Alors voila, on est encore des enfants jusqu'à l'âge de 21 ans. À 7 ans, on a l'âge de la raison, à 14 ans on fait juste commencer à devenir des hommes et des femmes. Il y a encore 7 ans à faire ou l'on est encore des enfants. Mais entre 18 ans jusqu'à 21, il y a encore un petit bout de chemin a faire avant d'être laissé a lui-même et ce petit bout de chemin devrais être encore la responsabilité de leur parent.
_ Un autre appel
_ Quel fléau! Un gâchis pour notre société, et ça commence en bas âge, même à la maternelle. Évidemment, nous pouvons mettre la faute sur des parents abrutis qui banaliseront continuellement le problème. Et nous avons raison. Par contre, rendu à l'adolescence, on est normalement capable de comparer ce qui est bien de ce qui est mal. Pour les ados qui en sont incapables, je pense que la psychothérapie s'impose.
_ Un autre appel

_ Et si ça ne donne rien. La bonne cellule de prison.

_ Un autre appel
_ Être surpris de cette nouvelle relève de l'hypocrisie pure et simple. Cet événement est une suite logique des priorités que place notre société.
_ Un autre appel
_ Il est grandement temps que l'ordre et la discipline soient réintroduit dans nos écoles remplies de petits enfants Roi
_ Un autre appel
_ À quand les policier dans nos écoles : l'intimidation, c'est du harcèlement, et le harcèlement, c'est criminel.
_ Un autre appel
_ Quand les harceleurs de la petite seront-t-il inculpés dans cette affaires ? Jamais ? Comme d'habitude. Un médecin tue ses 2 enfants et il n’est pas responsable. Médiocratie.
_ Un autre appel
_ Certains téléphoneurs voudraient que le/la/les personnes qui ont intimidé la jeune fille paient pour leur intimidation. Je suis d'accord un peu. Mais j'aimerais savoir ce que la jeune fille qui s'est enlevée la vie, ainsi que ses parents, ont fait pour que cela cesse: ont-ils averti l'école? La police? Les parents des intimidateurs? Si la jeune fille a fait 50 plaintes et que rien ne s'est amélioré, la direction de l'école, la police et les parents des intimidateurs devraient aussi payer pour leur inaction. Si elle n'a fait aucune plainte et qu'elle a vécue cela seule dans son coin, je ne crois pas qu'on puisse faire grand chose.
_ Un autre appel
_ Y a une caricature qui circule sur internet ces temps-ci. Dans la première bulle, on voit l'année, 1950, et les parents, à côté du professeur, qui crient à l'unisson vers l'enfant : C'est quoi ces résultats?! Dans la 2e bulle, on voit les parents, à côté de l'enfant, en 2011, et ils crient vers le professeur : C'est quoi ces résultats?! Ca démontre dans quelle société on vit. Je connais plusieurs enseignantes. Et c'est arrivé souvent qu'elles revenaient à la maison, le soir, épuisées, ou en larmes. 1ere raison : Les enfants n'ont plus aucun respect envers les professeurs, responsables, surveillants ou directeurs. Imaginez le respect qu'ils ont entre eux! 2e raison : Aucun support des parents. Certains enfants sont terribles, manquent de respects d'une façon inimaginable. Lorsqu'un enseignant appelle un parent pour lui en faire part, la plupart du temps, le parent ne croit pas l'enseignant. SON enfant ne ferait jamais ça. Et même, certains parents appellent par la suite la direction pour se plaindre de l'enseignante. 3e raison : Regardez la discipline que les parents font aux enfants aujourd'hui. Je suis né en 1985, pas en 1945. Mais quand j'étais jeune, je savais que si je faisais le con, ou si je manquais de respect à mes parents, c'était les tapes sur les fesses, ou carrément la règle de bois. J'ai vite appris à écouter mes parents et à les respecter. Ca s'est aussi répercuté à l'école, où j'ai appris à respecter les enseignants ou le directeur, parce que je savais que sinon, j'aurais à y faire face à la maison. Mais je savais que mes parents m'aimaient! Ils me disciplinaient, ils n'hésitaient pas à me punir, c'était pour mon bien mais ils me montraient aussi beaucoup d'amour. Ils prenaient le temps de prendre le temps avec moi. Aujourd'hui, les enfants sont élevés par la télévision, les jeux vidéos et internet, où la violence est rendue banale, voir encouragée. Les parents sont absents et n'osent plus trop discipliner les enfants comme des enfants doivent l'être pour apprendre. Puisque les enfants n'ont plus de respect pour les parents, ils n'en ont plus pour les enseignants, les autres élèves, et l'autorité en général parce qu'ils n'ont pas peur des conséquences. Voilà pourquoi aujourd'hui, il y a tant d'intimidation et que ca continue malgré les programmes, les suspensions. Les jeunes ne savent plus ce qu'est le respect, et donc, ils ne se respectent plus entre eux, et ne respectent plus l'autorité.
_ Un autre appel

_ Une salle de classe aujourd'hui. La prof qui fait son spectacle en avant au tableau et personne ne l'écoute ni ne la regarde car tous les élèves sont cachés derrière leur ordinateur en train de jouer à Internet ou de s'envoyer des courriels. Le progrès.

_ Un autre appel
_ Condoléances à la famille de cette pauvre fille.
_ Un autre appel
_ J'ai vécu et j'ai vu assez de cas. Ça fait un paquet de fois que les parents dénoncent des situations à l'école sans que la direction prenne les actions nécessaires. Je pense que les parents d'enfant intimidés devraient retirer leurs enfants de l'école. Cessez de se laisser endormir. Prendre l'initiative. Formez des groupes de support. Retirez les enfants des écoles, quitte à déranger. Les parents savent pas, les directions savent pas, forcez la discussion et forcez les autorités à cesser de discuter et à prendre position. Que les directions rendent des comptes devant les médias. Il y a des cas d'assistance à personne en danger, de noyés à sauver, il n'y a pas d'égo à ménager.
_ Un autre appel
_ Que de tristesse, faut pas seulement parler mais agir, pas de passe droit à ceux qui font de l'intimidation, qu'ils cessent d'intimider sur le champs. Une bonne discussion avec les intimideurs et leurs parents, sinon c'est dehors de l'école et on porte plaindre a la police avec tout ce qui s'en  suit coté justice, point à la ligne. Arrêtons de niaiser avec la puck.
_ Un autre appel
_ Vous voulez savoir la chose la plus révoltante. J'ai pris sur Facebook, un commentaire d'une des ados responsable de l'intimidation envers la jeune fille. Je sais pas comment c'est parvenus sur le mur d'une des mes amies mais, une des filles qui a fait l'intimidation a eu ce commentaire:  suspendue 5 jours, pas d'école, spa pire! Non mais faut être déconnecté de la réalité pour ne pas comprendre ou réaliser que tu es une des raisons qui à poussé une jeune fille à se suicider et que ton seul commentaire c'est d'être contente d'avoir des jours de congé.
_ Un autre appel
_ J'ai une jeune garçon de 4 ans, il ira bientôt a l'école. Disons que ca m'inquiète de voir ca.
_ Un autre appel
_ J’écoute les appels ici et je me rends compte que tous et chacun vous avez de belles idées et que vous avez des méthodes de punition mais ici au Québec nous avons un énorme handicap: La Charte des Droits et de la Liberté de la Personne! Et même si les parents de la jeune suicidée voudraient poursuivre le directeur ou les professeurs ou la Commission Scolaire de l'endroit qui était au courant ou les parents de celle qui s'est battue avec la jeune suicidée qui étaient au courant aussi ça ne leur servira à rien. Ils vont se défendre et là, plein d'avocats vont venir défendre au nom de la Sainte Charte!
_ Un autre appel
_ Il faut aider les parents à porter plainte contre le gouvernement et la Commission Scolaire qui avaient l'obligation de protéger cette étudiante. A l'évidence, encore une fois, ils n'ont pas fait leur travail de protection et comme d'habitude une multitude d'intervenants et de psy vont se servir de la situation pour s'en mettre plein les poches. Il fallait intervenir avant. Discuter après, c'est trop tard. Il y a une façon de régler le problème qui demande un peu de courage mais qui est rapide, peu coûteuse et très efficace. Congédier le directeur et les intervenants qui n'ont pas fait leur travail. La prochaine direction d'école va agir et vite.
_ Un autre appel

_ Si on va à la base des choses, on a souvent une mère seule incompétente et un père tout aussi incompétent, trop jeune ou trop immature qui a foutu le camp après l’insémination. Et s’il reste, c’est pire. Alcolo, drogué, petit truand. Et les spermatozoïdes infirmes pour cause de drogue ou l'acool, sans compter les neurones du cerveau. Et sa femme, la mère ou, disons, plus exactement, la génitrice, car s’il y avait une mère ou un père, ça se saurait, alcolo, droguée, pute sur le retour. Probablement folle ou névrosée ou dépressive ou suicidaire. Et c’est pire encore si l’un d’entre eux ou les 2 se mettent dans l’idée d’éduquer leur petit. Ça va cogner comme on dit. Comme si le fils n’avait pas assez de problème comme ça. Hérédité ratée, voilà qu’on lui bousille le cerveau. De par sa lourde hérédité le petit dernier ne peut pas être tenu responsable de ses agissements. C’est plus un cas de santé publique qu’autre chose. Comme un virus étranger dont il faut trouver le vaccin afin de protéger la population qui peut être attaquée et contaminée. Comme un sidatique qui s’entête à faire du barebacking et à enculer tout ce qui bouge alors que c’est pas bon pour la santé. Et comme il est contagieux et ne peut pas s’empêcher d’agir, il faut le contrôler. En ce qui concerne le jeune, c’est un enragé, avec des chromosomes défectueux, qui provoquera inévitablement une catastrophe comme s’il était programmé pour ça. Programmé pour attaquer les plus faibles. Un vrai petit nazi en pot pour bébé.
_ Un autre appel
_ Et le Bien et le Mal ?
_ Un autre appel

_ La maison de redressement, le centre de correction, l'école de réforme, les camps de rééducation, il faut les dresser. Punir autant qu'il faut. Puisqu'ils ne comprennent que la peur et la douleur. Les coups qu'on donnera maintenant seront des coups qu'on n'aura pas à donner plus tard. Et qui devront être nécessairement plus forts puisqu'il sera devenu adulte.

_ Un autre appel
_ Sympathie a la famille, c'est trop dur, j'ai lu les articles dans le journal et j'ai pleuré comme un enfant.
_ Un autre appel
_ Notre société est en sérieux déficit de respect et d'empathie. Le nombrilisme qui est l'essence même de notre mode de vie se traduit de cette façon dans les milieux scolaires. Je suis enseignant depuis 12 ans, et l'intimidation est devenue un fléau évident devant lequel on est souvent impuissant. Punir ou chercher des coupables est complètement futile tant que les intimidateurs n'auront pas les moyens de comprendre la portée de leurs gestes. Les parents absents ou eux-mêmes fortement égocentriques sont certes une cause, mais maintenant il faut voir comment les professionnels de l'éducation peuvent combler ces lacunes psychosociales chez les jeunes insouciants. N'oublions pas que la plupart des intimidateurs, même punis, ne ressentent aucun remord face à la souffrance de leurs victimes, au contraire. Ils trouvent ça très drôle. Ça les fait rire.
_ Un autre appel

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6. 19.20 juillet 2012. État 3