Lisait le journal gratuit du métro qui s'appelait Métro pour éviter qu'on l'oublie. Il y avait une petite nouvelle rapportée par un éditorialiste qui rappelait une nouvelle plus grosse mais pas si importante qu'il avait lu dans l'hebdo régional s'appellant Le Régional fourni gratuitement dans le Publi-Sac, sac de plastique contenant des brochures publicitaires de tout ce qu'il y avait de commerces (qui avait les moyens de publier dans ce sac) dans la région. Épiceries (surtout), grandes chaînes, quincaillerie, festival régional, ouplà!
On le retrouvait toutes les semaines pendus à votre poignée de porte.
On parlait du lock-out survenue à l'abattoir régional (cochons) qui donnait des jobs à près de 500 personnes. Ce qui n'est pas rien dans des endroits où on produit d'avantage de chômeurs - ils ont le droit de se reproduire- que de salariés.
Cette fois, ce n'est pas le syndicat qui demandait quelque chose mais les patrons. On voulait revenir sur le dernier contrat de travail, où le syndicat avait déjà fait des concessions, demandant ou exigeant plus de souplesse de la part des travailleurs.
Le mot souplesse dans la bouche d'un patron a la même signification que dans celle d'un voyeur sadique devant une ballerine masochiste de 10 ans.
Baisse de leur salaire et condition de travail pour...
Explication: que l'entreprise soit plus concurrentielle dans l'environnement de travail moderne mondialisé. Fin de l'explication.
On ne demandait pas des conditions de travail similaire à celles des travailleurs Chinois (vivant sous une dictature communiste ayant succédé à un empire millénaire sans grand changement) ou au beau temps de la Révolution Industrielle lorsque le patronat a découvert en salivant l'esclavage modernisé sous forme de millions de pauvres campagnards à exploiter. Et bien moins cher que pour l'escalavage des nègres, d'ailleurs interdit car devenu trop coûteux.
Un nègre ou sa négresse était une propriété ce qu'on trouve scandaleux avec nos mentalité sensibles modernes mais ce bien il fallait en prendre soin, le nourrir. Ne pas trop l'endommager. Mais rien ne vous obligeait à faire ainsi avec les travailleurs salariés. Ils étaient «libres». Il suffisait de faire semblant de les payer et de les laisser retourner à leurs taudis. Quand ils avaient assez faim, ils revenaient supplier qu'on les embaûche.
Cette nostalgie virale est resté dans l'esprit des générations d'entrepreneurs souvants qui soupirent en rêvassant à cette époque bénie.
C'est ainsi que se sont bâtis des empires financiers comme s'en étaient bâtis d'autres pendant les millénaires de l'esclavage ancien.
Les actuels champions de la morale et des droits de l'homme ont kidnappé 100 millions d'Africains en les condamnant au travaux forcés pour le reste de leur jour en les fouettant s'ils manquaient de motivation ou les torturant s'ils essayaient de s'enfuir.
Et c'est ainsi que les empereurs financiers régnaient dans leurs immenses châteaux de sucre d'orge sur des camps de concentration où étaient libre de se faire arracher un bras n'importe quel enfant.
Bref, les patrons demandait. Et comme on prenait trop de temps pour étudier leurs demandes, on a foutu tout le monde dehors.
Pour augmenter les moyens de pression, on annonça qu'on était en pourparler avec l'ambassade du Pakistan pour faire venir un cargo pleins de travailleurs bien contents de faire le même job pour rien ou presque rien. Ce qui était bien moins que ce que toucherait les ex-travailleurs lorsqu'ils accepteraient de revenir ramper à l'usine à viande.
Le député local avertit le ministre du Travail qui ne voulait pas se mêler des affaires internes des entreprise (il était pro capitaliste) mais le ministre de l'Immigration et celui des Affaires Étrangères bondirent de leur lazy-boy en affirmant que ce n'était pas aux entreprises d'entreprendre des pourparlers avec une puissance étrangères.
La vision de centaines de petits Pakistanais venant envahir les villages des environs rendit furieux quelques résidents qui commencèrent à envoyer des oeufs puis de vieux bidons de peintures dans les fenêtres des cadres de l'entreprises qui comprirent qu'ils avaient fait quelques erreurs de communication.
On engagea donc une entreprise de relation publique. Il fallait au plus vite trouver le mensonge adéquat.
Ils allèrent voir les maires et leur démontrèrent avec Photo-Shop et projeteur et de jolis graphique en couleur l'importance de l'entreprise dans leur communauté. Les emplois directs et indirects qu'ils repésentaient. Les matériaux qu'ils achetaient. Les taxes qu'ils payaient. Toutes ces choses qu'ils ne feraient plus si l'entreprise était délocalisée (déménageait) dans le comté voisin parce qu'on y trouverait un environnement plus serain et plus propice aux entreprises.
L'entreprise faisait des profits avait affirmé le journaliste local ce qui était un intrusion dans leur vie privée mais ils en feraient moins plus le temps passerait à cause de la (mystérieuse concurrence) étrangère et ils n'étaient pas aussi gros que le chiffre avancé par le journaliste et qui l'avait scandalisé.
Si on tenait compte des dépenses dont les salaires. Et des taxes que la municipalité où était implantée l'usine perdraient.
Et si on demandait des coupes de 25% dans les salaires des employés (10% lors de la demande précédente), les cadres et les patrons ne pensaient pas réduire les leurs ayant conscience de mériter de la nation et de la porcherie. Même si, selon eux, la survie de l'entreprise était en jeu. Si sacrifice, il devait y avoir, il ne pouvait provenir que du personnel. Eux ayant déjà fait tous les sacrifices possibles en ouvrant leur coeur au public.
L'animateur radio local après avoir été invité chez le patron commença sa semaine en aboyant comme ile le faisait toujours, laissant croire que les travailleurs étaient des gâtés pourris, des paresseux et que si on les payait c'était déjà trop.
Il finit dans la rivière après que sa Jeep Wrangler ait fait une embardée de nuit. Les chemins sont traîtres dans ces environnements primitifs.
Après des mois sans salaire, n'ayant pas droit à l'Assurance Chômage parce que ce n'était pas une véritable perte d'emploi puisque comme des enfants immatures, vicieux, indisciplinés et désobéissants, ils étaient en quelque sorte responsables de leur propre malheur, refusant d'obéir aux sages directive du patronat.
On comptait donc les avoir à l'usure. Et comme il n'y a pas de morale dans la vie, on réussit. Leurs épouses les convainquirent de marcher sur leur orgueil ce qui est plus pratique quand on rampe.
Donc, après avoir épuisé leurs économies et emprunté pour survivre, hypothéqué ou réhypothéqué leurs maisons, ils revinrent travailler dans leur enfer privé.
Une sorte de gigantesque réfrigérérateur (pour éviter la contamination) (la viande pue rapidement) où ils devaient travailler debout toute la journée dans le froid, le sang et l'humidité. La puanteur de la viande pourrie (la viande se contamine facilement). Les cris consants des bêtes terrorisées ou souffrantes - le cochon a un son particulier quand il souffre qui tient du sifflement et du coincement - qui arrivent par camion remorque entier. Parquées par étages comme au temps de bateaux négriers. Bêtes que l'on faisait descendre le plus rapidement possible le long des rampes et des corrals, que l'on parquait, piquait au dart électrique, pour accélérer le mouvement, elles allailent mourir dans un instant mais ce n'était pas assez vite. Le tri. Et que l'on dirigeait ensuite pour leur exécution. Attache des châines à leurs pieds. Suspension et égorgement afin de recueillir tous leur sang (boudin). Déplacement des dépouilles agonisées sur les rails tojours pendues à leurs pieds. Chaque chirurgien avait son rôle dans la transformation du corps en carcasse. Décapitation, ouverture, éviscération, sciage en 2.
À chacune de ses étapes, la bête rapetissait et avait moins l'apparence de ce qu'elle avait été. Jusqu'à ce qu'elle se retrouve sur le ruban infini de la chaine de démontage où on débitait les quartier.
Et, finalement, on coupait les cuisses en jambons puis en tranches fines que l'on emballait sous vide. Sous formes rondes ou carrées. Certains amateurs de sandwichs au jambon préférant des tranches rondes ou carrées.
On tuait, équarissait et débitait 24 heures par jour, 7 jours par semaine. Et où on se trouve, on entendait les cris de terreur du cochon que la lame commence à égorger.
La joie de vivre.
On apprit peu de temps après par un autre journaliste bavard de la section financière d'un quotidien que l'abattoir faisait un gros profit et en ferait d'encore plus juteux cette année. Et les patrons qui disaient il y a peu avoir eu peur de la fermeture et de la faillite étaient cette fois joyeux et vantaient leur bonne gestion.
Un journal syndicaliste fit le calcul inverse et découvrit que ces chiffres miraculeux correspondaient aux salaires non versés pendant cette demi-année et aux diminutions de salaire s'en suivait.
Et que pour leur bonne gestion, les cadres et les patrons s'étaiet voté des primes et des bonus au rendement correspondant à leur niveau de responsabilité. Équivalant à 25% de leur salaire déjà 10 fois plus élevé que l'employé de base qui travaillait toute sa vie dans des bottes de caoutchouc les pieds dans le sang.
Ils invitèrent les actionnaires et les maires et les préfets qui les avaient appuyé au cours de cette épreuve à partager leur bonheur.
Et tout le monde partagea leur bonheur, y compris les députés locaux (provinciaux et fédéraux) et le ministre du Travail.
Le lendemain, on retrouva les 10 cadres, le sous-directeur et le directeur pendu par des côtes à des crochets de bouchers dans l'abattoir.
Les plus chanceux avaient été tués avant au pistolet Hess à ressort.
Une pointe de métal en forme de champignon est envoyée par air comprimé sous le principe du pistolet à clous. La pointe pénètre les os du crâne de la victime, entre dans la boite crânienne et un ressort la ramène instantanément dans le canon.
La pointe dans son voyage d'aller et retour, endommage irrémédiablement le cerveau. L’onde de choc plus large que le tunnel dans la matière cérébrale détruit les centres nerveux en augmentant la pression intracrânienne.
La victime ne meurt pas mais perd instanément conscience. Ce qui a fait conclure que c'est une méthode humaine d'abattage des animaux, des vieillards, des handicapés, des infirmes et des prisonniers.
La pointe dans son voyage d'aller et retour, endommage irrémédiablement le cerveau. L’onde de choc plus large que le tunnel dans la matière cérébrale détruit les centres nerveux en augmentant la pression intracrânienne.
La victime ne meurt pas mais perd instanément conscience. Ce qui a fait conclure que c'est une méthode humaine d'abattage des animaux, des vieillards, des handicapés, des infirmes et des prisonniers.
Du point de vue économique, comme l’influx nerveux provenant de certains centres primitifs du cerveau situés plus profondément et non touchés par la pointe, demeure, le coeur continue de fonctionner et de battre, sorte de pompe faisant circuler le sang, ce qui facilite la saignée ou l’exsanguination au site d'égorgement.
La victime suspendue par les pieds laisse involontairement s'écouler par le principe de gravité son sang qui est recueilli dans un récipient adéquat.
La victime suspendue par les pieds laisse involontairement s'écouler par le principe de gravité son sang qui est recueilli dans un récipient adéquat.
Autrefois, dans les abattoirs de campagne ou chez le fermier, on procédait à bras d’homme, par coups de masse de fer sur le crâne de l’animal jusqu’à ce qu’il tombe de lui-même.
Et on égorgeait au couteau les animaux dont on avait besoin du sang comme le porc ou le mouton. Rien ne se perdait.
Du point de vue théologique et religieux, cette méthode permettait de respecter les rites sévères de certaines sectes primitives qui interdisent à leurs adeptes d'ingérer toute viande d'animal non saigné adéquatement puisqu'ils doivent avoir pleine conscience de leur sacrifice. Ou quelque chos du genre.
Certains affirment que ces rites sont encore observés dans les nations modernes sans trop en informer les amis des animaux. Le principe supposé étant que le sang et la viande ne doivent pas être p.lus être en contact ou mélangé ce qui est tout à fait absurde puisqu'il ne peut y avoir de viande dépourvu de sang et il reste toujours donc du sang dans la viande sinon elle serait sèche inmangeable. On dira donc: tout ce trouble pour rien ou si peu. Mais comme tous les illuminés, ces fanatiques tiennent mordicus à leur phantasmes.
Certains affirment que ces rites sont encore observés dans les nations modernes sans trop en informer les amis des animaux. Le principe supposé étant que le sang et la viande ne doivent pas être p.lus être en contact ou mélangé ce qui est tout à fait absurde puisqu'il ne peut y avoir de viande dépourvu de sang et il reste toujours donc du sang dans la viande sinon elle serait sèche inmangeable. On dira donc: tout ce trouble pour rien ou si peu. Mais comme tous les illuminés, ces fanatiques tiennent mordicus à leur phantasmes.
Du point de vue poétique, on appelle l'utilisation de la masse ou du pistolet à ressort: étourdir l'animal.
En quels mots ces choses là sont dites. Qu' en termes galants ces choses-là sont mises aurait dit le Misanthrope de Molière.
Du point de vue théoloqique, étourdir l’animal avant de l’égorger à coups de masse ou au pistolet à ressort est considéré comme un innovation dangereuse et impie et est encore interdit par les rabbins les plus dogmatiques. Tandis que les plus accomodants acceptent que l'animal soit étourdi à coups de masse ou de pistolet à air pourvu qu'il ne meure pas. Ce qui permet de l'égorger car le sang doit étre expulsé de l'animal ce qui exige que son coeur continuer à battre. Les fanatiques cinglés et les cinglés accomodants sont aussi demeurés les uns que les autres et restent d'accord.
Les rabbins hantent les abattoirs afin de surveiller l'agonie des animaux qui ne peuvent mourir que conformément aux directives Bibliques. Et l'État les laisse faire. Sinon, les sorciers Juifs refusent de donner aux produits de ces abattoirs la certification Kasher. Sorte de permis (payé par les abattoirs) dont le logo est imprimé sur toutes les boites et amballages de produits qui ne contiennent pas nécessairement de la viande. Partageant pour une fois l’avis des prêtres et sorciers musulmans qui donnent au même produit la certification Hallal. Comme il y a de plus en plus d'immigrés musulmans on ne semble pas voir le jour où ces rites païens primitifs cesseront.
En quels mots ces choses là sont dites. Qu' en termes galants ces choses-là sont mises aurait dit le Misanthrope de Molière.
Du point de vue théoloqique, étourdir l’animal avant de l’égorger à coups de masse ou au pistolet à ressort est considéré comme un innovation dangereuse et impie et est encore interdit par les rabbins les plus dogmatiques. Tandis que les plus accomodants acceptent que l'animal soit étourdi à coups de masse ou de pistolet à air pourvu qu'il ne meure pas. Ce qui permet de l'égorger car le sang doit étre expulsé de l'animal ce qui exige que son coeur continuer à battre. Les fanatiques cinglés et les cinglés accomodants sont aussi demeurés les uns que les autres et restent d'accord.
Les rabbins hantent les abattoirs afin de surveiller l'agonie des animaux qui ne peuvent mourir que conformément aux directives Bibliques. Et l'État les laisse faire. Sinon, les sorciers Juifs refusent de donner aux produits de ces abattoirs la certification Kasher. Sorte de permis (payé par les abattoirs) dont le logo est imprimé sur toutes les boites et amballages de produits qui ne contiennent pas nécessairement de la viande. Partageant pour une fois l’avis des prêtres et sorciers musulmans qui donnent au même produit la certification Hallal. Comme il y a de plus en plus d'immigrés musulmans on ne semble pas voir le jour où ces rites païens primitifs cesseront.
En ce qui concerne le porc comme il est interdit aux adeptes des sectes Juives et Musulmanes d'en manger, on ne pratique l'étourdissement que pour faciliter l'écoulement du sang car le sang recueilli sera transformé en boudin très apprécié des gastronomes.
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MORTS. 10
Cause de la mort: Anciennes pratiques Germaniques ou Scandinaves parfois utilisées par les Nazis, par exemple lors de la mise à mort de l'amiral Wilhelm Canaris de l'Abwehr.