HISTOIRES DE FANTÔMES

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HISTOIRES DE FANTÔMES.

Vers minuit, à la lueur de la chandelle, monsieur Henry Dickson, devant l'âtre où brûle des bûches d'érables et de vieux parchemins, se penche sur son écritoire. Tout est tranquille dans la grande maison, tout semble dormir et, soudain,
il y a ce bruit.

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22.1.13

327.23. TOUS LES JOURS DES CHOSES INCOMPRÉHENSIBLES SE PRODUISENT, DOIT- ON ESSAYER DE LES COMPRENDRE?

Henry Dickson aiguisait sa hache.

À la radio, la voix d'un prédicateur inspiré résonnait:

Et si ton oeil droit est pour toi une occasion de péché, arrache-le et jette-le loin de toi.
Car il  il vaut mieux n'avoir qu'un seul œil que 2 yeux et ainsi éviter que ton corps entier ne soit jeté dans la géhenne.
Si l’œil qui te reste t’amène à voir, à lire et à apprendre des choses dangereuses qui rendront fou ton esprit, le rempliront d'orgeuil, le feront douter des sages enseignements et de la loi, il vaut mieux que tu sois aveugle.
Prend une tige de fer et crève l’œil qui te reste.
Et si ta main droite est pour toi une occasion de péché, coupe-la et jette-la loin de toi.
Car il vaut mieux pour toi qu'un seul de tes membres périsse que ton corps entier n'aille pas dans la géhenne.
Car il vaut mieux n’avoir qu’une seule main que 2 inutiles, nuisibles et dangereuses
Si ta langue te scandalise, coupe-là.
Si ta sœur, ta femme, ta mère, ta fille te scandalise et amène le scandale et le péché dans ta maison, il vaut mieux qu’elle soit chassée et périsse afin que sa mort serve d’exemple aux vierges folles avec leurs lampes éteintes.
Comme on coupe le bois.
Comme on fauche les blés et l'herbe folle.
Ainsi l'homme inquiet se doutait que sa femme le trompait. Elle n'attendait que son départ pour faire entrer des hommes étrangers dans sa maison et se moquer de lui. Il avait eu beau l'épier, la surveiller, tendre l'oreille pour suivre ses conversations avec ses amies, demander aux voisins et aux gens du village s'ils avaient su que des étrangers allaient dans sa maison quand il n'y était plus, personne ne voulait lui répondre franchement. Car lui savait la vérité. On lui mentait effrontément. Tous dans le village savaient ce que faisait sa femme quand il partait.

Il avait eu beau retarder son départ, prolonger son séjour à la maison, pendant ces périodes, il n'y avait jamais rien d'inhabituel. Rien qui pouvait éveiller sa méfiance, ce qui le rendait d'autant plus méfiant et soupçonneux.

Elle cachait bien son jeu.

Il la regardait, l'épiait, notait ses allées et venues. Demandait au médecin du village qu'elle allait voir si elle lui avait déjà parlé d'avortement. Car si lui ne pouvait plus avoir d'enfants malgré tous ses essais, un homme plus jeune et plus vigoureux le pouvait.

À moins qu'elle ne lui demande des informations sur les moyens et les herbes contraceptives, ce qui était illégal, de même que l'avortement était criminel. Et il prévenait le médecin que s'il apprenait quelque chose, il le déoncerait et il irait en prison. Tout médecin qu'il était.

Il alla voir le curé pour lui demander ce que sa femme qui allait régulièrement à la messe et se confessait tout aussi souvent - il l'avait vu- pouvait bien dire. Et qu'avait-elle à se confesser aussi souvent, elle qui sortait peu, selon son dire, elle qui recevait peu, du moins ce qu'elle affirmait; mais qu'avait-elle à s'accuser autant.

Le curé lui dit qu'il savait comme tous les autres habitants du village à qui il avait enseigné ce qu'était le secret de la confession.

Mais s'il savait, il serait délivré, soulagé.

Son esprit était inquiet, fiévreux, ne dormait plus. Il pouvait s'il ne voulait pas tout lui dire au moins répondre par oui ou non à cette question: est-ce qu'elle le trompait?

Le curé s'en allait en lui disant qu'il allait prier pour lui.

Encore à ce moment, elle était dans la cuisine à préparer à manger. Elle chantait. Mais qu'est-ce qui la rendait si heureuse? Parce qu'elle était seule? Parce que, lorsqu'il arrivait, elle prenait un air inquiet, comme si elle avait quelque chose à se reprocher ou comme si elle avait peur de lui.

Parce qu'elle avait quelque chose à se reprocher.

Parce qu'elle avait fait quelque chose qui pouvait lui mériter une punition. Comme un enfant que l'on éduque fortement pourqu'il ne recommence plus.

Il évitait donc de l'approcher se contentant de suivre ses mouvements à distance.

Tout avait l'air normal, ce qui n'était pas normal.

Comment pouvait-on se conduire ainsi, avoir un tel passé et pousser l'effronterie à chanter comme se de rien n'était?

Il ne quittait plus la maison, prétextant une nouvelle maladie.

Dans son bureau, il laissait la porte entre-ouverte et laissant son oreille surprendre tous les sons. On ne pouvait aller nulle part sur tout ce bois sans que quelque chose craque ou grince. Aucune porte ne pouvait s'ouvrir ou se fermer, aucun tiroir glisser sans que le vieux bois sec même ciré à la cire à chandelle ne fasse quelques bruits qu'il attendait, surveillait.

Un meuble. Un tiroir.

Un secret.

Sa mère lui avait défendu de tenir un journal personnel ce qui ne faisait qu'exaspérer les filles qui ne sont jamais satisfaites de rien. Les soeurs avaient interdit aux collégiennes et pensionnaires tout écrit personnel et intime car la prière suffisait pour les moments où il n'y avait pas de devoirs et de leçons. L'encre était rare comme le papier, on ne pouvait laisser ces instruments précieux et chers servir à la vanité des fillettes.

Mais il soupçonnait qu'elle avait un cahier caché où elle notait les noms et les heures de visite de ses amants.

Quand elle sortait pour aller étendre le linge à la corde à linge, il allait vérifier ses tiroirs. Pas seulement une fois mais aussi souvent qu'il le pouvait au cas où il aurait manqué un détail. Que le cachier interdit bien caché les fois précédentes ne soit revenu et oublié.

Puis c'étaient ses armoires.

Et son linge.

À la recherche de sang.

Quand elle montait à la première dans la chambre parce qu'elle était fatiguée, il attendait un peu puis la suivait dans les marches, après avoir enlevé ses souliers, de façon à ne pas faire de bruit. Il la voyait à la lueur de la chandelle, en robe de chambre, à genoux près du lit en train de faire ses prières.

Qui priait-elle?

Et quelle était le motif de ses prières?

Il croyait se rappeler que le curé avait l'intention de lui révéler quelque chose avant que l'inquiétude ne lui prenne. Priait-elle pour la santé de ses enfants, sa santé à lui ou celle de ses amants?

Mais il n'entendait pas ses mots.

Quand elle était couché dans le vieux lit, à côté de lui, il se forçait à ne pas dormir afin de surprendre ses rêves.

Dirait-elle un nom?

Quand elle ne disait pas qu'elle était fatiguée et consentait à faire son devoir conjugal, la prérogative de son époux, il lui faisait mal afin qu'elle échappe un nom.

Mais elle ne disait rien.

Ou parlait.

Disait ce qu'il fallait dire.

Combien d'homme était allé dans son ventre?

Tous ces secrets l'obsédaient.

Ses enfants étaient-ils de lui? Ils étaient d'elle, le médecin l'avait affirmé mais s'il ne pouvait plus en faire maintenant peut-être n'avait-il jamais été capable d'en faire avant. Et un autre homme ou plusieurs ou tous les hommes du village avaient défilé à tour de rôle dans ce ventre.

Il cherchait sans cesse des réponses.

Il demandait une solution.

Et c'est à ce moment qu'en allant chercher des patates dans le carré aux patates de la cave qu'il buta sur la hache.

Pourtant, il était passé tant de fois sur cette terre et jamais avant il n'y avait eu quelque chose d'enfouis mais si peu et une hache une hache presque neuve comme si on venait de l'avoir fait.

Il se retrouva donc avec la hache dans la main et pour la première fois depuis longtemps se sentit rassuré apaisé.

Il monta comme un homme l'escalier de la cave et l'escalier de l'étage.

Avec une hache dans la main ou les 2 mains car elle était lourde cette hache, il était enfin ou était de nouveau un homme.

Elle était encore là, en longue robe de chambre blanche en train de prier à côté du lit confugal pour le repos de ses amants.

Elle ne le vit pas.

Mais il eut le temps de se voir lever la hache dans le petit miroir de la commode près du lit éclairé par une chandelle.

Et il abattit la hache sur le petit bonnet de coton brodé qu'elle avait sur la tête.

Jugement avait été rendu.

Les femmes adultères, dans la Bible, seront lapidées, traînées dans le désert et tuées à coups de pierre. C'est écrit.
Oui, il était écrit.
Les soeurs avaient encore une fois à se plaindre de ses fillettes. Et de leurs cheveux roux. Et de leurs ongles. Car on avait surpris l'une d'elle pendant la récréation à se couper les ongles avec un petit ciseau. Signe de luxure, d'attention désordonnée au corps qui ne peut perdre que la femme qu'elle était en germe. Et ces rognures d'ongles, ces souillures étaient tombées au sol, le contaminaient. Elles avaient cherché avec des gants et les pinces du laboratoire de chimie et les avaient fait cherché à la fillette car il était inconcevable que ces choses, ces huuuuu! car tout ce qu'on ne pouvait dire et prononcer ne pouvait être dit aussi on utilisait des sons variés, indication qu'il valait mieux ne pas écouter ni comprendre. Seule la personne concernée saurait. Car malgré les sons étranges, leur intensité et les tons graves et aigüus avec lesquels on les émettait étaient suffissant pour que celle qui avait à savoir sache. Et toutes les autres pourraient dire qu'elles n'étaient pas là et n'avaient rien entendu. Et il y a tant de choses dans la femme qui ne peuvent être dites. Il était donc bon de disposer de sons variés et d'onomatopées appropriées.

Le père était furieux.

Il avait demandé à ses filles de comparaître devant lui.

Il tenait comme un juge la lettre de la directrice du couvent l'informant de leurs fautes. Il agitait la feuille devant la lampe à l'huile pour montrer qu'il avait bien lu, qu'on avait deviné leurs pensées et désespérant de parvenir un jour à tempérer leur comportement, en désespoir de cause, on s'en remettait à lui. Le père de famille. Celui à qui Dieu avait remis son autorité terrestre.

Justice serait rendu.

Car si Dieu est bon, il est aussi juste. Et la bonté pourrait être vu comme une faiblesse si une justice inexorable n'était pas rendue promptement.

À chaque fois qu'il agitait la feuille, le petit courant d'air semblait effrayer la langue de feu dans le globe de verre de la lampe à l'huile.

Comme l'Esprit Saint veillait sur le monde et la petite salle de bois.

Toutes étaient coupables. Et si leur comportement ne changeait pas, elles seraient chassées. Il était inconcevable que leur exemple puisse être observé par les autres élèves.

C'est par ce genre de scandale que les Révolutions commencent et, un jour, on coupe la  tête d'un roi.
Et d'où venaient ces cheveux roux?
Il n'y avait personne de roux dans la famille. Ni sa femme ni lui.
Tout ceci était de ces choses qui font parler les gens.
Mais son épouse était morte avec ses secrets.
Il était donc seul à élever des filles. Ce qui l'avait amené à les inscrire comme pensionnaire. Ce qui faisait qu'elles n'étaient de retour à la maison que la semaine de Noël. Même l'été, à la fin des classes, elles demeuraient parmi le petit groupe qui avait la vocation. Les soeurs avaient cru longtemps ou espéré qu'elles en feraient de solides recrues. Des filles dociles comme il convient.
Mais la tentation féminine revenait sans cesse.
Quoiqu'on fasse, on ne pouvait les empêcher d'être des filles.
Aucune élévation qui les sortirait de ce corps gras et inutile. Propice à la naissance, certes, qui peut-être contre le seul rôle édifiant de la femme, rôle que même la vierge Marie avait accepté de l'ange Gabriel - mais inutile pour les grandes missions nécessaires à l'église pastorale et universelle.
On avait pensé les envoyer en Chine ou au Congo.
On pensait maintenant les renvoyer chez elle.
Il valait mieux les marier le plus tôt possible et qu'elles aient le moins de temps libre disponibles. Mais elles étaient trop jeunes.
Leur père se demandait quoi faire d'elle, qu'est-ce qu'il avait fait au ciel pour mériter un tel sort?
Et ce qu'il pourrait faire pour corriger leur conduite.
Les soeurs avaient tout essayé. Les réprimandes, les punitions, morales, intellectuelles et corporelles. La petite et la grande pénitence où la coupable à genoux devant la classe se dénonce à voix haute, dans la cas de la petite. Et pour la grande, c'était à genoux, accroupie, dans le réfectoire, à l'heure du dîner, devant toutes les autres élèves qu'on avouait ses fautes et demandait la punition et ensuite le pardon.

Leur père les fit agenouiller et prier.

Vérifia que leurs petites mains soient bien droites et bien réunies, posées l'une contre l'autre.

Il leur dit d'attendre, de rester là en cette position et qu'il allait revenir.

C'est alors qu'elles priaient encore qu'il arriva derrière elles.

Sa hache s'abattit sur la tête de la première et le sang rutilant et admirable de beauté se mêlà à ses cheveux roux.

Et ainsi de suite pour toutes les autres.

Il vit leur petits corps étendus sur le sol. Aucune n'avait crié. Tant la surprise avait été efficace. Elles étaient tombées sur les planches de bois et le sang au fur et à mesure qu'il était bu par les planches coulait sans s'arrêter.

Il s'était acharné sur leurs têtes dans cet organe était dangereux et nuisible pour la femme. Mais avait épargné leurs robes blanches signe de virginité.

Il avait fait ce qu'il avait à faire. En bon père. Parce qu'il ne pouvait pas faire autrement.

Mais s'il espérait retrouver enfin la paix de l'esprit ce ne fut pas le cas.

Une étrange terreur se prit à lui. Qu'il expliquait mal. Quelque chose en lui se révoltait contre ces petits corps innocents et sans vie étendus sur le plancher.

Lui aussi avait péché, car il s'était réjoui du sort qu'il leur réservait.

Il étendit sa main droite sur le bureau et abattit sa hache dessus. Puis regarda la main à terre et le poignet coupé net et sec. Étrangement, aucune goutte de sang.

On le comprendrait.
Comme on comprendrait l'époux que son épouse voulait abandonner.

L'ampoule de la lampe électrique suspendue au plafond par le fil torsadé de toile allait et venait comme un métronome implacable.

Des ombres jouaient dans les planches et les lambris. Si noires.
Ce n'étaient que des reproches. Comme si pendant des années, elle avait emmagasiné tout ce qui lui déplaisait pour le lui redire à ce moment, lorsqu'elle allait partir, à còté de ses valises. Le taxi étant sur le point d'arriver.
Jusqu'à ce que la mort vous sépare.
Tel était le serment prononcé à l'autel. Lui et elle avait juré.
Ceci s'était passé à l'église du village et ceci se passait dans le salon de la grande maison. Près du foyer qui brûlait. La maison dorénavant vide parce qu'il se retrouverait seul.
Jusqu'à ce la mort vous sépare.
Il ne savait que dire sauf prononcer ces mots.
Et le destin placa juste à ce moment une hache dans sa main.
Il réduisît la tête de son épouse en une bouillie. Même à terre, il continua à frapper. Son corps était comme une île au milieu d'une mer rouge de sang et d'eau alors que ses entrailles et son crâne se vidait.
Et c'est tout ce qu'il prononça par la suite. Même lorsqu'on lui enfonça un sac de coton noir sur la tête. Même lorsqu'on serra le gros noeud coulant qui allait lui briser la nuque, le cou et les os.
Voilà.
La petite blonde était couchée sur la grande table de la cuisine.
Les mains et les pieds attachés par des sangles de plastique aux pattes de bois.

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Autour d'elle, le curé, le vicaire regardait son corps vêtus d'un t-shirt de monsieur Dickson, Sears, Protocol, Bengladesh, coton 100%, noir. Se désolant.
Elle avait péché.
Depuis longtemps, elle était un objet de consternation et de scandale et, enfin, sa conduite répréhensible était révélée, connue de tous.
Le vicaire lisait un livre saint afin de chasser le démon qui l'habitait pendant que le curé priait.
Elle les regardait comme si elle ne comprenait pas.
Mais qu'elle comprenne ou non, il était inévitable que ceci arrive.
Elle regardait aussi monsieur Dickson avec sa grande hache brillante d'acier neuf.
Elle le regardait comme si elle espérait quelque chose.
Elle ne pouvait que regarder sans parler car on lui avait coupé la langue avec les ciseaux rouge et luisant qui était à côté de ses cheveux. Ciseaux de cuisine Zwilling J.A Henckels.
Et on venait de lui crever un oeil.
Toute sa vie était un scandale. Qui n'était rien comparé à celles de sa mère et de sa grand-mère mais toutes deux étaient mortes. Ayant reçu leur juste châtiment.
Et la voilà, elle, qui imitait la mort du Christ.
Scandale.
Une femme les mains et les pieds et le coeur percé comme au Vendredi Saint.
Une imitation pour se moquer comme ne peut le faire que Satan le grand imitateur.
Depuis que l'Église avait renvoyé dans l'ombre de leur caverne les anciens cultes et leurs prétresses et devineresses, les femmes avaient pendant des millénaires tenté par tous les moyens de ressurgir, de sortir de leur fosse, de dominer de nouveau.
Ceci ne serait pas.
Le prêtre dit une dernière prière comme si ceci avait la moindre importance et ordonna à monsieur Dickson de frapper.
D'un seul coup, sur la gorge, la petite tête blonde se sépara de son cou et roula sur la table puis tout au bout avant de tomber plus ou moins lourdement sur le bois. Et de rouler encore un peu.
La petite blonde avait une grosse tête mais à ce moment bien petite.
Il était temps que ce scandale cesse.


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22.23 janvier 2013. État 2
Mortes. 6
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Note 1.
Vous lisez présentement le second cycle des histoires de fantômes. Ou second roman.
Le premier cycle ou premier roman s'étant terminé au numéro 301.
Ensuite quelques commentaires, intermèdes et interludes.
Comme il y avait encore des choses à dire, on trouva le temps de les dire. Un nouveau roman – ou la suite du premier commença.
Le nouveau roman a précisément recommencé au numéro 305 puisque la numérotation originale fut conservée et simplement prolongée.
Le .1 fut ajouté pour le premier chapitre.
Donc 305.1
En attendant d'être publié sur un autre blog ou dans un «vrai» livre (mais restera-t-il des arbres?), ce qui permettrait de repartir à zéro ou 1, car il y a rarement chapitre zéro et pourquoi pas!?
On est donc, ici, arrivé au chapitre 23, de la suite des histoires palpitantes de monsieur Henry Dickson.
Soit 327.23
Et bonne lecture.
Faîtes de beaux rêves.
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Bible suite by Biblos