STEN GUN
Mitraillette Sten Gun Mark II
Calibre 9mm Parabellum
Modèles
STEN Mk. I, II, IIS, III, IV, V, VI
Calibre 9x19mm
Poids à vide. 6.5 livres à 7.1 livres
Poids chargé. 8.4 livres
Longueur : 30 à 35.3 pouces
Longueur du canon 7.7 pouces ( 90 mm à 196 mm)
Rafale: De 450 à 600 coups par minute
Chargeur de 32 balles
Distance en tir automatique ou au coup par coup 640 pieds (efficace à 100)
Les inventeurs Shepherd et Turpin. Qui donnèrent les 2 premières lettres du non ST. EN vient du nom de la fabrique Enfield.
La première mitraillette construite au Canada sous brevet Britannique. L’armée Anglaise devait remplacer les armes abandonnées lors de la fuite (évacuation) de Dunkerque. Lorsque Hitler avait laissé fuir les soldats au lieu de les capturer ce qui aurait mis à genoux l'Angleterre. Il espérait alors un pacte avec ce pays en qui il voyait une souche Saxonne commune. L'Angleterre aurait le choix de rester neutre ou de s'unir dans la construction de la grande Europe et son combat contre le Bolchévisme.
Utilisé pour la première fois par l’armée Canadienne à Dieppe 19 août 1942. Et lors du jour J (D-Day) jusqu’à la fin de la guerre et même de nouveau en Corée.
Inventé pour être construit rapidement possible au coût par unité le plus bas (au prix d’aujourd’hui : 0.35 ¢) avec le moins de pièces possibles (47). On passa de 4 opérations à 2. Peu d’usinage ce qui demande des technicien spécialisés (métal embouti et quelques soudures). Assemblé en 5 heures.
On cessa de le fabriquer au Canada en 1944 et il fut remplacé par le Mark V.2 Une arme plus précise mais plus longue à fabriquer. 12 heures pour un exemplaire.
Inévitablement des utilisateurs s’en plaignirent. D’autant plus qu’il fallait aux soldats parfois limer et réajuster les pièces qui ne rentraient pas les unes dans les autres. Et à cause de la faiblesse du ressort du chargeur, on recommandait de ne pas trop le remplir pour ne pas le fatiguer. 30 balles au lieu des 32. Et l'ouverture du chargeur fait de métal mince pouvait crochir s'il n'était pas manipulé par des épouses aimantes.
On leur répondait que l’arme était du genre jetable (après utilisation). Ou de préférence avant.
Ce qui ne résolvait en rien les dangereuses mises à feu et décharges accidentelles parfois même d’un chargeur entier de cartouches. Il fallait éviter de le secouer, de le frapper sur quelque chose ou de la faire tomber. Si on laissait tomber l’arme au sol, le pire pouvait arriver. Il est arrivé qu’en échappant l’arme, le coup parte, pire, ce qui faisait recharger le mécanisme, d’où un autre coup au sol, pire, ce qui recharge encore l’arme et, avec l’effet de recul, elle se met à tourner sur elle-même comme une hélice en tirant tout autour. Vidant le chargeur de 30 coups.
D’autres fois, les cartouches du chargeur se coinçaient et on ne pouvait pas tirer. L’arme avait la réputation d’avoir des humeurs. Elle pouvait tirer subitement en automatique malgré qu’on l’ait réglée en tir unique. Ou le contraire. Ou on pouvait se faire couper le doigt par le mécanisme. Plusieurs soldats Canadiens furent blessés et tués lors de l’entraînement ou au combat.
27 mai 1942. Agonie. Mort 4 juin 1942.
Les Sten avaient la réputation de coincer à tout moment, surtout au plus mauvais moment. L’un de ces pires moments fut lors de l’assassinat de Reinhard Heydrich, SS-Gruppenführer, Protecteur du Reich en Bohême-Moravie. Numéro 2 de la SS. Adjoint Heinrich Himmler, chef de la SS. Surnommé l'Ange de la Mort.
On le décrit avec admiration : Travailleur infatigable, bon organisateur, déterminé et ambitieux. Le doute moral ou la pitié ne faisant pas parti de son CV. Inaccessible au doute et au sentiment ou à la pitié et sans aucun sens critique. Comme tout bon Romain ou nazi, dont les préceptes sont forgés sur ceux des communistes et des Jésuites, il est d’une obéissance totale à l’égard de son supérieur Heinrich Himmler. La devise des Jésuites particulièrement inspirante était d'obéir comme un cadavre.
Selon les historiens, technocrate froid et bureaucratique qui comme tous les administrateurs n'était pas responsble de ses actes puisqu'il ne faisait qu'obéir aux ordres. Selon d'autres histoiriens, un être diabolique.
Contrairement à Himler qui était un geek nabot ou à Goebbels qui était infirme (son pied), il correspondait à l'Übermensch, l'idéal SS, le surhomme.
L'opération Anthropoid: nom de code de l'attentat de la SOE Special Operations Executive (services secrets britanniques). Le seul assassinat réussi d'un dignitaire nazi durant le Troisième Reich. Les tentatives ratées contre Hitler furent menées – maladroitement- à l’interne.
Son corps est rapatrié à Berlin et a droit à des funérailles nationales. Heinrich Himmler salue le caractère d'une rare pureté du défunt qui, du plus profond de son âme et de son sang, a compris, réalisé et matérialisé la conception du monde d'Adolf Hitler
Après le SS-Reichsführer, c'est le Führer lui-même, qui rend hommage au défunt : Il était l'un des meilleurs nationaux-socialistes, l'un des plus vaillants défenseurs de l'idée du Reich Allemand, et l'un des adversaires les plus résolus de tous les ennemis du Reich . Un homme avec un coeur de fer.
Sa veuve, nazie éplorée vécu jusqu’à la fin de la guerre, dans son château de Jungfer-Breschnan, près de Prague, qu'elle fait entretenir par des détenus du camp de concentration de Theresienstadt. Après la guerre, comme bien des personnes bien placées, elle réussit même à se sortir des procès intentés contre elle et à obtenir une pension du gouvernement comme veuve de guerre.
Un soldat de la résistance Slovaque (entraîné en Angleterre et parachuté pour cette mission), Jozef Gabčík, tire a bout portant sur Heydrich qui circule dans sa voiture décapotable. Aucun coup ne part. La malédiction du Sten.
Un autre agent du commando, Jan Kubiš, l’achève à la grenade. La lançant dans son auto. Les morceaux de tissus de crin de cheval, de rembourrage et des ressorts des banquettes qui rentrèrent dans son corps avec les Shrapnels et les débris de fonte de la grenade étaient inopérables à ce moment. La septicémie l’acheva.
Le 2 juin, après la visite de Himmler, Heydrich se réconcilia avec l’idée de son destin et récita quelques vers de l’opéra de son père:
The world is just a barrel-organ which the Lord God turns Himself.
We all have to dance to the tune which is already on the drum.
L’expression du visage de Heydrich au moment de sa mort fut décrite comme sereine, empreinte de spiritualité et d’une grande et grave beauté comme celle d’un Cardinal de la Renaissance (par Verrochio) malgré la trahison dont il avait été victime qui vous ferait réellement douter de la bonté humaine. Un timbre fut imprimé en sa mémoire. On l'y montre comme ayant un visage d'intellectuel romantique et artiste.
Il était aussi un bon violoniste et se destinait à cette carrière. Ce qui ne l'empêchait pas d'aimer le sport. Comme Hitler et tant d'autres, la Première Guerre Mondiale leur offrit des possibilités d'action insoupçonnées.
La répression fut terrible. On pratiquait alors la punition collective. Comme bien des envahisseurs du passé. L'Armée Allemande n'a rien inventé. Pour un soldat mort, on fusillait 10 otages. Pour un officier, 100. Pour Heydrich, le dauphin d'Himmler et, on disait, l'héritier d'Hitler, on n'allait pas se gêner. Il était aussi un bon violoniste et se destinait à cette carrière. Ce qui ne l'empêchait pas d'aimer le sport. Comme Hitler et tant d'autres, la Première Guerre Mondiale leur offrit des possibilités d'action insoupçonnées.
Encore récemment, en Afrique du Sud, suite à une grève des mineurs que la police réprima en tirant dans la foule faisant des morts et des blessés. 34 et 78. Le plus beau vient après. On arrêta des grévistes encore vivants les accusant de complicité collective dans la mort des mineurs. Tués par les policiers fous. Parce que toute personne arrêtée sur le site d'une fusillade impliquant la police devait être inculpée pour meurtre. Ce crime innovateur pouvait leur valoir de fortes peines de prison. Comme cette idée rappelait trop les anciennes pratiques racistes de l'Apartheid et était un peu gênante dans un pays supposé démocratique et dirigée par des noirs démocrates s'étant supposément libérés de l'oppression des blancs - mais pas de celle des compagnies minières, à ce qu'on voit- devant les critiques de la presse étrangère, on changea finalement d'idée.
On dit que Hitler envisageait l’exécution de tous les Tchèques, mais préférant la modération, il se contenta de représailles afin de ne pas nuire aux quotas de l'industrie (et aux ouvriers indispensables) et à la collaboration enthousiaste de la Tchécoslovaquie à l’effort de guerre Allemand. 13000 personnes furent arrêtées et 5000 furent exécutées.
Il fallait que la partie saine de la population comprenne la leçon.
Il fallait que la partie saine de la population comprenne la leçon.
Faisant preuve d’autant de modération, Winston Churchill ordonna que 3 villages allemands soient rasés pour chaque village Tchèque détruits par les Nazis
En ce qui concerne la répression, si l'État-Major Allié s'en désolait officiellement pour des raisons morales et esthétiques, on pensait aussi que ça donnerait une bonne leçon au peuple Tcèque, qui contrairement, à d'autres nations soumises avaient peu tendance à se rebeller et encore moins à se soulever. Devant tant d'horreur, le peuple... Mais le peuple ne fit rien. Il accepta son sort comme tous les peuples soumis à la grande joie de tous les conquérants du monde.
Selon le même faux principe, on pratiqua la politique de bombardements massifs ou carpet bombing des villes Allemandes. Et, plus tard, Japonaises. Et, encore plus tard, Coréenne, Vietnamienne, Yougoslave, Irakienne. Libanaise ou Palestinienne.
Le prétexte officiel étant qu'il y avait des industries pas loin. Et qu'on ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs. Et que les technologies de l'époque ne permettaient pas de bien viser. Et que les bombes archaïques n'étaient pas aussi intelligentes que celles d'aujourd'hui.
Comme ces superbes et coûteuses bombes, les Bunker Buster capables de se diriger d'elle-même sur sa cible et puis de pénétrer dans le sol et la terre puis, tout au fond, des mêtre de bétons pour exploser directement dans les abris souterrains. Lors de la guerre d'Irak, on en envoya dans ce qui était supposé être le bunker secret de Saddam Hussein. Ce qui était une erreur et en plus un abris pour la population bombardée. Des centaines de femmes et d'enfants furent brûlés vivants. Personne ne manifesta des sentiments excessifs.
Mais on bombarda aussi des villes non industrielles et très peuplées. Parce qu'on avait assez d'avions et de bombes pour le faire. Se disant que le peuple se révolterait en voyant que les promesses de Goebbels prétendant qu'aucune ville Allemande ne serait bombardée étaient fausses. Et que leurs malheurs avaient été provoqués par leurs mauvais dirigeants et non par les bombardiers Alliés.
Même en étant déchiquetés, en voyant leurs familles éclater en morceaux, engloutis et écrasés sous leurs immeubles ou brûlés vivants dans des océans de flammes (grâce aux nouvelles bombes incendiaires au phosphore), le peuple ne se révolta pas au grand désappointement des philosophes Alliés.
Les 7 membres du commando sont pourchassé et meurent dans les combats ou se suicident ce qui était préférable à ce qui pourrait leur arriver s'ils tombaient vivants dans les mains de la Gestapo.En ce qui concerne la répression, si l'État-Major Allié s'en désolait officiellement pour des raisons morales et esthétiques, on pensait aussi que ça donnerait une bonne leçon au peuple Tcèque, qui contrairement, à d'autres nations soumises avaient peu tendance à se rebeller et encore moins à se soulever. Devant tant d'horreur, le peuple... Mais le peuple ne fit rien. Il accepta son sort comme tous les peuples soumis à la grande joie de tous les conquérants du monde.
Selon le même faux principe, on pratiqua la politique de bombardements massifs ou carpet bombing des villes Allemandes. Et, plus tard, Japonaises. Et, encore plus tard, Coréenne, Vietnamienne, Yougoslave, Irakienne. Libanaise ou Palestinienne.
Le prétexte officiel étant qu'il y avait des industries pas loin. Et qu'on ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs. Et que les technologies de l'époque ne permettaient pas de bien viser. Et que les bombes archaïques n'étaient pas aussi intelligentes que celles d'aujourd'hui.
Comme ces superbes et coûteuses bombes, les Bunker Buster capables de se diriger d'elle-même sur sa cible et puis de pénétrer dans le sol et la terre puis, tout au fond, des mêtre de bétons pour exploser directement dans les abris souterrains. Lors de la guerre d'Irak, on en envoya dans ce qui était supposé être le bunker secret de Saddam Hussein. Ce qui était une erreur et en plus un abris pour la population bombardée. Des centaines de femmes et d'enfants furent brûlés vivants. Personne ne manifesta des sentiments excessifs.
Mais on bombarda aussi des villes non industrielles et très peuplées. Parce qu'on avait assez d'avions et de bombes pour le faire. Se disant que le peuple se révolterait en voyant que les promesses de Goebbels prétendant qu'aucune ville Allemande ne serait bombardée étaient fausses. Et que leurs malheurs avaient été provoqués par leurs mauvais dirigeants et non par les bombardiers Alliés.
Même en étant déchiquetés, en voyant leurs familles éclater en morceaux, engloutis et écrasés sous leurs immeubles ou brûlés vivants dans des océans de flammes (grâce aux nouvelles bombes incendiaires au phosphore), le peuple ne se révolta pas au grand désappointement des philosophes Alliés.
Avant de périr, 5 d’entre eux se réfugient dans l'Église Saints-Cyrille-et-Méthode à Prague et sont attaqués par 800 soldats de la SS.
Pour l’édification du peuple, la Gestapo coupe la tête des cadavres et les expose sur une étagère devant laquelle elle fait défiler parents, amis et voisins.
Pour motiver les complices des résistants/terroristes prisonniers à parler, la Gestapo les torturait (les âmes sensibles ressentiront des sentiments subtils et élégants mais de nos jours, la torture est redevenue légale) et leur montrait les têtes de leur mère, financée, ect. coupées flottant dans un aquarium rempli d’alcool.
Les soldats SS encerclent le village de Lidice qui avait caché les parachutistes. Tous les hommes adultes (au dessus de 16 ans) (199) du village sont exécutés. Les femmes sont déportées au camp de concentration de Ravensbrück. Les enfants sont déportés à Lodz et envoyé dans les chambres à gaz à Chelmno.
Les femmes enceintes furent avortés de force et envoyé ensuite aux camps.
Les femmes enceintes furent avortés de force et envoyé ensuite aux camps.
Mais quelques enfants du village, conformes physiquement aux types esthétique Aryen sont adoptés par des familles allemandes grâce au système du Lebensborn (fontaine de vie ou haras nazi).
Dans un autre village, Lezaky, 63 hommes et femmes du village sont fusillés après la découverte d’un émetteur clandestin.
Après le massacre les 2 villages sont incendiés et Lidice est rasée au buldozer jusqu’au sol.
Tous ceux qui étaient dénoncés et soupçonnés d’être complices et sympathisants du commando sont condamnés à mort. La Gestapo les torture ce qui entraîne d’autres aveux et d’autres dénonciations. Ils sont déportés à Mauthausen et liquidés à leur arrivée.
L’évêque Orthodoxe de Prague, Monseigneur Gorazd et des prêtres de l’église qui avait servi de refuge aux parachutistes sont guillotinés (ou fusillés) après procès.
Après la mort d’Heydrich, on vit tous les effets de la conférence de Wannsee qu'il avait présidé. Qui décida de la Solution Finale à la Question Juive ou du Problème Juif. L’extermination des Juifs. Le projet fut nommé Operation Reinhard en mémoire d’Heydrich.
Il y avait déjà des camps de prisonniers, des camps de concentration et des camps de travaux forcés pour les travailleurs esclaves en collaboration avec l'industrie. Avec des architectes, ingénieurs et urbanistes, on fit les plans des premiers camps de la mort conçus pour l’extermination de masse (l’industrialisation de la mort comme on fait dans les abattoirs de volailles). Treblinka, Sobibór, Belzec.
Il y avait déjà des camps de prisonniers, des camps de concentration et des camps de travaux forcés pour les travailleurs esclaves en collaboration avec l'industrie. Avec des architectes, ingénieurs et urbanistes, on fit les plans des premiers camps de la mort conçus pour l’extermination de masse (l’industrialisation de la mort comme on fait dans les abattoirs de volailles). Treblinka, Sobibór, Belzec.
Pour ce genre de service, le Sten fut surnommé Plumber's Nightmare ou Plumber's Abortion.
Mais selon le principe du chameau qui serait un cheval dessiné par un comité, on n'avait pas de si mauvaises intentions au départ. Car l’arme pouvait se démanteler facilement, le canon se dévisser et les pièces détachées se cachaient et se transportaient bien.
Elle utilisait les cartouches 9mm, munitions des Allemands, qu'on pouvait prélever sur leurs cadavres. Il ne manquait pas d'Allemand partout en Europe à ce moment.
On pouvait aussi lui ajouter un silencieux. Les commandos parachutistes l'utilisèrent. Les SOE Special Operations Executive.
On en parachuta aux résistants, saboteurs, terroristes, troupes de guérilla et dans les maquis.
En contrepartie, puisqu'il y en avait tant, il est arrivé que l'Occupant arrive le premier sur les lieux d'atterrissage. On intercepta donc beaucoup d’envois et les milices collabo françaises (composées souvent d'ex-criminels reconvertis dans la lutte raciale) s’en servirent car les Allemands ne voulaient pas leur confier leurs armes dernièrs modèles.
Pour remédier à ses défauts, on recommandait de ne pas la prendre par le chargeur - idée qui vient naturellement ce qui peut dérégler le passage des cartouches - mais par le canon dont on devait tolérer la chaleur provoquée par les coups de feu.
L’équivalent Allemand fut le Schmeiser bien mieux fabriquée. Mais si on pouvait pas se servir des armes capturées (de très bonne qualité, on vient de le dire) (et il y avait tant d'Allemands) on l'évitait, parce que le son très reconnaissable amenait les autres soldats soupçonneux à tirer vers l’endroit d’où venait le bruit croyant à une attaque surprise. Des soldats moururent stupidement de cette manière.
Le Sten Mark III était encore plus simple mais fut plus apprécié. Il fut fabriqué par une usine de jouets qui comme toutes les usines étaient reconverties dans la production de matériel de guerre pour la Guerre Totale.
4 millions furent fabriqués durant la guerre.
Guerre d’Indépendance d’Israël ou nettoyage ethnique du pays. Les terroristes Juifs de la Haganah (sionistes nationalistes/indépendantistes/partisans Juifs anti Palestiniens/Arabes et Britanniques) en fabriquèrent des milliers entre 1947 et 1948 dans des ateliers clandestins. Jusqu’au départ des troupes britanniques occupant la Palestine que le Juifs envahirent et occupèrent à leur tour.
L’armée US arma des commandos avec le modèle à silencieux lors de la guerre du Vietnam.
1956 – 1962. La Sten fut utilisée par les paramilitaires Britanniques, les RUC Royal Ulster Constabulary et l’IRA provisoire lors des combats frontaliers en Irlande du Nord. Ou Les Troubles. 300 membres du RUC furent tués et 9000 blessés.
1984, Indira Gandhi, première ministre de l’Inde, fut assassinée par 2 de ses gardes du corps Sikh qui vidèrent les chargeurs de leur Sten dans son corps à bout portant. Dans ce cas, on ne pouvait pas dire que les Sten ne fonctionnaient pas.
1994. Durant la révolte médiatique Zapatiste du sous-commandant Marcos, certains des soldats guérilléros étaient armés de Sten
ODE TO A STEN GUN
By Gunner. S.N. Teed
You wicked piece of vicious tin!
Call you a gun? Don't make me grin.
You're just a bloated piece of pipe.
You couldn't hit a hunk of tripe.
But when you're with me in the night,
I'll tell you pal, you're just alright!
Each day I wipe you free of dirt.
Your dratted corners tear my shirt.
I cuss at you and call you names,
You're much more trouble than my dames.
But boy, do I love to hear you yammer
When you 're spitting lead in a business manner.
You conceited pile of salvage junk.
I think this prowess talk is bunk.
Yet if I want a wall of lead
Thrown at some Jerry's head
It is to you I raise my hat;
You're a damn good pal...
You silly gat!
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Image 6.
Photo 8. STEN Mk.III (STEN Mark 3) submachine gun.
Photo 9. http://www.documentingreality.com/forum/attachments/f181/170138d1274470662-wwii-weapons-sten.jpg
Photo 10. http://hlebooks.com/sten/pa04.htm
Photo 11. http://hlebooks.com/sten/pa09.htm
Image 12. http://hlebooks.com/sten/pa03.htm
Image 13. http://hlebooks.com/sten/pa07.htm
Image 14.
Photo 17. http://www.whq-forum.de/cms/679.0.html
Photo 18. http://hlebooks.com/sten/pa08.htm
Photo 19. http://hlebooks.com/sten/pa04.htm
Women at work at a Royal Ordnance Factory. The various parts of a breech block (the blocks, pins, extractors and springs) have arrived from all over the country and are assembled by these women at ROF Fazakerley, near Liverpool.
Source. Ministry of Information Photo Division Photographer
Imperial War Museum
http://www.iwm.org.uk/collections/item/object/205199829
Photo 24. Sten gun production in britain, 1943
Photo 23. Sten components awaiting assembly
Imperial War Museum
Photo 25. http://hlebooks.com/sten/pa09.htm
ODE TO A STEN GUN By Gunner. S.N. Teed
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22.23 sept. 2012. État 2