Selon Radio-Canada, la Turquie déplace des blindés vers sa frontière avec la Syrie. Et des soldats.
L'information a été officieusement confirmée par un responsable gouvernemental voulant demeurer anonyme qui dit que la Turquie agit à titre préventif, une semaine après que son voisin Syrien ait abattu un avion de combat Turc et tiré sur un autre.
L'information a été officieusement confirmée par un responsable gouvernemental voulant demeurer anonyme qui dit que la Turquie agit à titre préventif, une semaine après que son voisin Syrien ait abattu un avion de combat Turc et tiré sur un autre.
L'officiel anonyme continue: Je peux confirmer que des troupes sont en cours de déploiement le long de la frontière dans la province d'Hatay. La Turquie prend des précautions après la destruction de son avion
Les médias turcs ont rapporté qu'un convoi d'une trentaine de véhicules blindés avait quitté la ville côtière d'Iskenderun sur les bords de la mer Méditerranée.
Sur des images de la chaîne de télévision publique TRT, on peut voir la colonne de blindés, escortée par des voitures de la police sur l'autoroute menant au principal port de la province d'Hatay. Et un camion tractant une batterie de missiles sol-air, et d'autres transportant des lance-roquettes.
Selon l'agence de presse officielle Anatolie, une autre colonne de blindés ferait également route plus à l'est le long de la frontière avec la Syrie, dans les provinces de Sanliurfa et Gaziantep.
Plusieurs véhicules militaires ont été déplacés jusqu'à la ville frontalière de Reyhanli dans la province d'Hatay qui abrite plus de 33 000 réfugiés syriens ainsi que l'Armée Syrienne Libre ASL opposée au régime Syrien
L'armée Turque a démenti être en état d'alerte
L'armée Turque a démenti être en état d'alerte
Ce déploiement de forces intervient alors que les tensions sont vives entre la Turquie et la Syrie à la suite de la destruction d'un chasseur F-4 Phantom Turc par l'armée Syrienne vendredi dernier.
Dénonçant un acte hostile, la Turquie avait prévenu qu'elle renforcerait sa sécurité dans la région tout en excluant un conflit armé avec la Syrie.
Il y a 2 jours, le premier ministre Turc a annoncé une modification des règles d'engagement de l'armée turque sur les 900 km de frontière qu'elle partage avec son voisin. Tout élément militaire approchant la Turquie et qui serait jugé menaçant sera traité comme une cible militaire. Il a une nouvelle fois violemment condamné le régime Syrien, le qualifiant de dictature cruelle. Sans préciser ce qu'il pensait des Kurdes ou des Arméniens sur son territoire.
Mais pour le moment, la Syrie n'a rien déclaré au sujet des éléments militaires Turcs approchant de sa frontière et qui, s'ils étaient jugés menaçants, pourraient eux-aussi être traités comme des cibles militaires.
Selon le journal Taraf, la Turquie envisagerait de créer une zone de sécurité le long de sa frontière.
La zone de sécurité pourrait s'étendre hors des frontières Turques jusqu'à l'intérieur de la Syrie. Suivie d'une zone d'interdiction de vol des avions Syriens, ce qui donnerait de nouvelles bases aux révolutionnaires Syriens, comme on avait fait pour la Libye et l'Irak. C'est ainsi qu'on grignote un pays si on ne peut pas l'attaquer directement.
Selon Radio-Canada, le médiateur spécial de l'ONU Kofi Annan propose de mettre sur pied un gouvernement de transition en Syrie afin de trouver une solution politique au conflit qui secoue le pays, une idée qui serait soutenue par les 5 membres permanents du Conseil de Sécurité de l'ONU. Ainsi que par la Ligue arabe. Le gouvernement de coalition incluerait des partisans du président Syrien ainsi que des membres de l'opposition syrienne.
En visite à Helsinki, la secrétaire d'État américaine Hillary Clinton a dit avoir transmis à M. Annan son soutien pour son plan, qu'elle a qualifié de feuille de route très concrète pour une transition politique.
Ce gouvernement de transition devra exclure ceux dont la présence nuirait à la crédibilité de la transition ou aux perspectives de réconciliation et de stabilité.
On comprend que l'ex-président Syrien ne serait pas invité. Comme il est encore président, l'étape précédent sa démission et la création du nouveau gouvernement de transition est son décès.
28 juin 2012. État 1
Selon Radio-Canada, le médiateur spécial de l'ONU Kofi Annan propose de mettre sur pied un gouvernement de transition en Syrie afin de trouver une solution politique au conflit qui secoue le pays, une idée qui serait soutenue par les 5 membres permanents du Conseil de Sécurité de l'ONU. Ainsi que par la Ligue arabe. Le gouvernement de coalition incluerait des partisans du président Syrien ainsi que des membres de l'opposition syrienne.
En visite à Helsinki, la secrétaire d'État américaine Hillary Clinton a dit avoir transmis à M. Annan son soutien pour son plan, qu'elle a qualifié de feuille de route très concrète pour une transition politique.
Ce gouvernement de transition devra exclure ceux dont la présence nuirait à la crédibilité de la transition ou aux perspectives de réconciliation et de stabilité.
On comprend que l'ex-président Syrien ne serait pas invité. Comme il est encore président, l'étape précédent sa démission et la création du nouveau gouvernement de transition est son décès.
Selon l’Agence de Presse Syrienne SANA, dans le cadre de leur ciblage des compétences nationales, un groupe terroriste armé à la localité d'al-Hossen dans la banlieue de Homs a assassiné un professeur à la faculté du génie pétrochimique à l'université d'al-Baas
Une source au gouvernorat a fait noter que le groupe terroriste armé avait pris d'assaut la maison de la professeur et tiré sur elle et sur nombre de membres de sa famille, faisant, sur le coup, son assassinat avec sa mère, son père et trois enfants de sa sœur.
La source a ajouté que les habitants du quartier où vivait la professeur Iavaient informé les services concernés de cet incident qui se sont accrochés avec les terroristes qui avaient commis le massacre et ils ont tué 10 d'eux, dont deux portent des nationalités arabes, et blessé 20 autres.
À Taldaw dans la banlieue de Homs, les services compétents se sont accrochés avec un terroriste, l'ont tué et saisi les armes qui étaient en sa possession.
3 enfants martyrs et 2 autres et une femme blessés dans une explosion
Les deux enfants, 10 ans et 12 ans ont péri en martyr dans une explosion d'une charge plantée par des gangs terroristes ce soir dans la zone d'al-Makhbaz al-Ali (boulangerie automatique) à Idleb ville.
Selon le correspondant de SANA sur place, l'explosion a eu lieu au moment où des familles se trouvaient à l'endroit de la déflagration, ce qui a causé de blessures très graves aux enfants et à une femme de 21ans.
1 enfant de 6 ans a perdu la vie après avoir été atteint d'une balle tirée par un terroriste appartenant à un gang armé qui tiraient aveuglement sur les habitants.
À Homs les services spécialisés ont pu aujourd'hui mettre hors d'état de nuire un chef terroriste très recherché avec d'autres terroristes et certains ont été blessés.
Les unités du génie à Homs ont désamorcé aujourd'hui 2 charges explosives plantées à la station de gaz à Kafer Enab. Une source au gouvernorat a indiqué que chacune de ces charges pèse 40 kg environ.
3 enfants martyrs et 2 autres et une femme blessés dans une explosion
Les deux enfants, 10 ans et 12 ans ont péri en martyr dans une explosion d'une charge plantée par des gangs terroristes ce soir dans la zone d'al-Makhbaz al-Ali (boulangerie automatique) à Idleb ville.
Selon le correspondant de SANA sur place, l'explosion a eu lieu au moment où des familles se trouvaient à l'endroit de la déflagration, ce qui a causé de blessures très graves aux enfants et à une femme de 21ans.
1 enfant de 6 ans a perdu la vie après avoir été atteint d'une balle tirée par un terroriste appartenant à un gang armé qui tiraient aveuglement sur les habitants.
À Homs les services spécialisés ont pu aujourd'hui mettre hors d'état de nuire un chef terroriste très recherché avec d'autres terroristes et certains ont été blessés.
Les unités du génie à Homs ont désamorcé aujourd'hui 2 charges explosives plantées à la station de gaz à Kafer Enab. Une source au gouvernorat a indiqué que chacune de ces charges pèse 40 kg environ.
Un groupe terroriste armé a fait exploser aujourd'hui un motocycle piégé près du Centre de Recherches agricoles à Idleb. Un citoyen tombé martyr par l'explosion d'un motocycle piégé à Idleb. L'explosion a causé des dégâts matériels dans les voitures qui passaient dans le lieu de l'explosion sans enregistrer des dommages dans le centre des recherches agricoles.
Les services compétents s'accrochent avec des terroristes dans la banlieue de Daraa
Les services compétents ont pris d'assaut aujourd'hui à Kafr Chams dans la banlieue de Daraa nombre de repaires des terroristes, arrêté nombre d'eux et saisi une grande quantité d'armes.
Une source responsable du ministère des Affaires étrangères a déclaré que les groupes terroristes armés ont mis en échec pour la 5ème fois les efforts de la Croix rouge internationale, du Croissant rouge Syrien et des autorités locales à Homs pour évacuer les blessés, les malades, les enfants et les handicapés de certains quartiers de Homs, sans aucun prétexte, sinon la détermination par ces groupes à poursuivre la tuerie et les crimes contre les citoyens innocents.
Les groupes armés ont informé l'Organisation de la Croix Rouge internationale leur refus de permettre à personne de quitter les lieux qu'ils dominent.
Ces pratiques montrent la nature inhumaines et la barbarie des groupes terroristes armés qui n'ont pour souci que de se servir des innocents et de faire d'eux des boucliers humains pour exercer la tuerie et le terrorisme.
La source a appelé le Conseil de Sécurité, le Conseil des droits de l'homme et la Communauté internationale à dévoiler ce que font les groupes terroristes armés et à exercer des pressions sur eux et sur ceux qui les soutiennent et à réclamer aux pays qui financent et arment ces groupes à les obliger à arrêter leurs crimes.
La source a ajouté que la Syrie réclame aux institutions médiatiques qui procèdent à induire en erreur l'Opinion publique arabe et internationale à cesser de soutenir les groupes armés et à dévoiler leurs crimes.
La source a conclu en affirmant que la Syrie poursuivra la conjugaison de tout effort possible pour défendre son peuple et elle va assumer ses responsabilités totales pour retirer les civils innocents de leur épreuve et empêcher les groupes terroristes armés à poursuivre l'effusion du sang syrien.
Une source au gouvernorat a fait noter que les services compétents avaient découvert à l'intérieur d'un repaire les cadavres de 12 terroristes qui ont été liquidés par d'autres terroristes.
A Kafr Nassej dans la banlieue du gouvernorat, les services compétents se sont accrochés avec un groupe terroriste armé, tuant cinq d'eux et arrêtant 13 autres.
Le ministre russe des affaires étrangères, a réitéré le rejet par son pays de toute ingérence étrangère dans les affaires intérieures de la Syrie, insistant sur la nécessité de régler la crise en Syrie et d'y rétablir la stabilité.
Dans une conférence de presse tenue conjointement avec son homologue Tunisien, en visite à Moscou, le chef de la diplomatie Russe s'en est pris vivement au ciblage des mass-medias Syriens, plaidant pour la non interdiction des organes médiatiques Syriens, interdiction revendiquée récemment par certains pays européens, et pour le respect de la liberté de l'expression et de la liberté des médias.
Il a mis en garde contre les agendas et des transmissions de certaines chaînes de télévision qui pourraient passer pour des idéologies fort graves, faisant noter que différentes parties participent à la violence aux côtés des groupes de l'opposition armée en Syrie.
Au sujet de la réunion de Genève sur la Syrie, il a affirmé qu'aucun projet n'est préparé d'avance pour la réunion de Genève. Ce dont on parle n'est que des suggestions pour le document final. Laisser infiltrer par certains dont la participation est prévue à cette réunion, des idées ou des termes est une position irresponsable de ceux-ci
Il a fait noter que c'est le peuple Syrien qui a le droit de déterminer les mécanismes de la phase transitoire sur la base du dialogue national avec la participation du gouvernement syrien et des groupes d'opposition.
Il a affirmé que la Russie refusait d'imposer à la Syrie des recommandations préparé à l'extérieur, soulignant que l'objectif de la réunion de Genève est d'appuyer le plan Annan et de créer les circonstances adéquates pour lancer un dialogue national global pour résoudre la crise en Syrie.
Il a indiqué que la liste des participants à la réunion de Genève compte les principaux pays ayant un rapport avec la crise en Syrie.
Le rejet américain de la participation de l'Iran à la réunion de Genève reflète la politique de double critère des Etats-Unis, jugeant grave erreur l'exclusion de l'Iran de cette réunion qui offre l'opportunité d'unifier les positions des acteurs principaux à l'égard de la Syrie en vue de mettre fin à la violence et d'engager un processus politique.
Quant à la position de l'Otan à l'égard de la crise en Syrie, il dit : Aucun membre de l'Otan ne veut rééditer le scénario libyen. Nous communiquons avec l'Otan et nous ne permettrons pas de telles idées.
Il a appelé à l'application de la démocratie dans les relations internationales et à la souveraineté de la loi internationale.
Il a indiqué que la Russie et la Tunisie appelaient à la consolidation du rôle principal et central des Nations Unies.
Le ministre Tunisien des Affaires Étrangères a estimé que l'implication des groupes de jeunes Tunisiens et Arabes dans la crise Syrienne était inutile et destructive.
À propos de la position de la Tunisie à l'égard de la crise en Syrie, il a indiqué que les 2 parties étaient d'accord sur le lancement des politiques profondes et la satisfaction des ambitions du peuple Syrien dans la liberté, la justice et la démocratie. Les points de vue de la Russie et de la Tunisie sur la crise syrienne sont rapprochés
Selon Radi0-Canada. Au lendemain d'une attaque contre la chaîne de télévision Al-Ikhbariya, qui a fait 7 morts, un attentat a frappé jeudi le palais de justice de Damas, faisant trois blessés.
Selon Radi0-Canada. Au lendemain d'une attaque contre la chaîne de télévision Al-Ikhbariya, qui a fait 7 morts, un attentat a frappé jeudi le palais de justice de Damas, faisant trois blessés.
Selon une source policière, 2 bombes magnétiques ont explosé sous 2 voitures de magistrats dans le stationnement à ciel ouvert du palais de justice.
Des combats intensifs se poursuivent dans plusieurs régions du pays entre les rebelles et l'armée. Les pilonnages de l'armée se concentrent sur les bastions rebelles de Homs (centre), Deir Ezzor (est), Douma près de Damas, Idleb (nord-ouest), où les insurgés ripostent pour préserver leurs positions.
Selon des militants de l'opposition, la situation humanitaire est dramatique dans ces villes.
Le Haut-Commissariat aux Réfugiés HCR estime que le nombre de réfugiés doublera d'ici la fin de l'année pour atteindre 185 000 personnes.
Le coordinateur régional du HCR pour les réfugiés Syriens, a précisé que le nombre de réfugiés a atteint 96 000 personnes depuis le mois de mars.
Selon Radio-Canada, Les solutions diplomatiques toujours laborieuses
À l'initiative de Kofi Annan, l'émissaire de l'ONU et de la Ligue Arabe en Syrie, une rencontre aura lieu samedi du « groupe de contact » comprenant les cinq membres du Conseil de sécurité de l'ONU, le Koweït, le Qatar et l'Arabie saoudite.
M. Annan veut discuter de l'idée de la mise en place d'un gouvernement de coalition incluant des membres de l'opposition et des partisans du président Bachar Al-Assad.
La Russie a indiqué qu'elle maintenait sa position de refus de toute recette imposée de l'extérieur.
Le chef de la diplomatie Russe a déploré l'absence de l'Iran à cette rencontre et a réaffirmé que le sort du président syrien doit être décidé par un dialogue national.
Une option qui n'est pas du goût de la principale coalition de l'opposition syrienne, le Conseil National Syrien CNS. Celui-ci a déjà annoncé qu'il refusait de participer à tout projet politique tant qu'Al-Assad n'a pas été chassé du pouvoir.
Le CNS a annoncé une réunion le 2 juillet au Caire de toutes les composantes de l'opposition syrienne en vue d'unifier leur position sur la période de transition et l'avenir de la Syrie.
Selon son voisin de cafetière, le président Syrien essaie de défendre son pays contre une armée de dizaines de milliers de mercenaires Islamistes, majoritairement d'Al-Qaida, engagés par les pays de l'OTAN pour assassiner des civils et semer le chaos.
Un autre objecte qu'il est absurde que l'OTAN finance des mercenaire islamique d'Al-Qaïda pendant qu'ils sont en train de se ruiner pour les vaincre au Yémen, en Afghanistan et au Pakistant.
Il regarde le premier au dessus de son café allongé et dit que tout ca ressemble a la démagogie
Le premier ne se repent pas et dit que l''ONU et les médias occidentaux vont continuer à blâmer le président Syrien pour les attaques contre son propre palais présidentiel par pure mauvaise foi. Et les attaques terroristes vont se multiplier. On attaque des symboles comme la station de télévision, et maintenant le palais du Justice et le cœur de Damas. Mais c'est moins bête que de placer des autos bourrées d'explosifs dans des marchés publics ou de se faire exploser avec une ceinture de bombes au milieu des passants. Tactiques de guérilla. L'objectif est de répandre la terreur au cœur même de Damas. Et ce n'est pas une grande nouvelle. C'est juste un autre évènement dans le chaos syrien.
Les grandes puissances mondiales vont se rencontrer samedi à Genève pour parler de la Syrie mais peu d'observateurs espèrent de vrais changements. La Syrie est toujours sous la protection de la Russie, une des nations qui a droit de veto au Conseil de Sécurité de l'ONU et refuse de se soumettre aux pressions internationales.
Le ministre des Affaires Étrangères Russes a dit que la Russie n'endossera pas un appel à la démission du président Syrien. Nous ne supportons pas et ne supporterons pas les pressions extérieures. Les joueurs extérieurs ne doivent pas dicter leur conduite aux Syriens mais doivent plutôt se servir de leur influence pour convaincre toutes les parties de cesser les violences.
Il n'est pas possible de savoir pour le moment qui est derrière l'explosion de jeudi à Damas. Mais on soupçonne le président de faire sauter son propre peuple et ses propres troupes pour se donner un prétexte de réprimer l'opposition pacifique.
Une grande partie des violences qui ont brutalisé la Syrie depuis le début du soulèvement populaire a été provoquée par le gouvernement dans le but d'écraser les dissidents. Mais les combattants rebelles lancent de plus en plus d'attaques de plus en plus meurtrières sur des cibles du régime Syrien et plusieurs attaques survenues dans l'année suggère que des extrémistes d'Al-Qaïda ou d'autres se sont joints au carnage.
Selon l’Agence de Presse Arable Syrienne, 1 explosion terroriste a eu lieu aujourd'hui dans le garage du Palais de la Justice dans la région d'Al-Marjeh à Damas.
L'explosion a fait 3 blessés et causé des dégâts matériels dans 20 voitures stationnées dans le garage. Les pompiers ont réussi à maîtriser tout de suite l'incendie éclaté.
Une source de la police du gouvernorat a fait savoir au correspondant de Sana que la voiture qu'on avait fait exploser était une "Octavia" appartenant à une femme des habitants de Damas.
La source a ajouté que la deuxième explosion survenue dans le même lieu résulte de l'explosion d'un dépôt de carburants d'une autre voiture stationnée devant la voiture explosée ce qui a cause un incendie qui avait endommagé toutes les voitures stationnées dans le lieu de l'explosion.
Des citoyens qui s'y trouvaient ont indiqué que l'explosion qui a visé le garage du palais de la justice vise à faire tomber le plus grand nombre de victimes civils. Les citoyens demandent la punition de ceux impliqués dans de tels actes criminels terroristes visant la stabilité du pays et la sécurité du peuple Syrien.
Selon CBC, forte explosion dans la capitale Syrienne près du marché public et la cour suprème, blessant 3 personne. Les grandes puissances mondiales vont se rencontrer samedi à Genève pour parler de la Syrie mais peu d'observateurs espèrent de vrais changements. La Syrie est toujours sous la protection de la Russie, une des nations qui a droit de veto au Conseil de Sécurité de l'ONU et refuse de se soumettre aux pressions internationales.
Le ministre des Affaires Étrangères Russes a dit que la Russie n'endossera pas un appel à la démission du président Syrien. Nous ne supportons pas et ne supporterons pas les pressions extérieures. Les joueurs extérieurs ne doivent pas dicter leur conduite aux Syriens mais doivent plutôt se servir de leur influence pour convaincre toutes les parties de cesser les violences.
Il n'est pas possible de savoir pour le moment qui est derrière l'explosion de jeudi à Damas. Mais on soupçonne le président de faire sauter son propre peuple et ses propres troupes pour se donner un prétexte de réprimer l'opposition pacifique.
Une grande partie des violences qui ont brutalisé la Syrie depuis le début du soulèvement populaire a été provoquée par le gouvernement dans le but d'écraser les dissidents. Mais les combattants rebelles lancent de plus en plus d'attaques de plus en plus meurtrières sur des cibles du régime Syrien et plusieurs attaques survenues dans l'année suggère que des extrémistes d'Al-Qaïda ou d'autres se sont joints au carnage.
Un journaliste d'Associate Presse présent sur place au moment de l'explosion a dit que des autos ont été mis en pièces ou pulvérisées et que plusieurs pare-brise ont été soufflés.
Un témoin qui se trouvait à ce moment au marché public dit avoir entendu l'explosion mais ne pas avoir vu beaucoup de gens blessés mais les autos et les boutiques des environs ont été endommagées.
La TV d'État a déclaré que l'explosion a visé un parking du Palais de Justice. L'explosion est arrivé à 13 h. près du Marché Hamidiyeh où les familles vont faire leurs provisions pour la fin de semaine qui commence vendredi en Syrie
Des témoins affirment avoir entendu une seule explosion mais la TV d'État affirme qu'il y a eu 2 explosions. On a aussi trouvé une troisième bombe qui n'a pas explosé.
La Syrie a été frappée par une vague d'explosions massives dans les derniers mois, tuant des douzaines de personnes. La plupart de ces explosions ont eu pour cible les agences de sécurité du président qui combat depuis 15 mois pour mettre un terme au soulèvement.
Le mois dernier, une explosion cibla l'édifice du renseignement militaire au sud de Damas tuant 55 personnes. Ce fut l'explosion la plus meurtrière.
Ailleurs en Syrie, des activistes ont rapporté des escarmouches entre les troupes et les rebelles qui ont fait une douzaine de victime dans le pays. Les pires combats se sont déroulés dans la ville de Deir el-Zour, à l'est
Les activistes affirment que plus de 14,000 personnes ont été tués depuis le début du soulèvement en mars 2011.
La Turquie, un ancien allié, est devenu un des plus grands critiques du régime Syrien. La tension entre les 2 pays augmenta suite à la destruction d'un avion Turc la semaine dernière.
Les autorités Turques disent que les recherches pour trouver les 2 pilotes disparus continuent mais les expoirs de les retrouver vivants diminuent. On a trouvé des morceaux de l'avion et des pièces d'équipement appartenant aux pilotes.
Selon la TV Turque TRT, un convoie de véhicules militaires remorquant des canons anti-aériens est arrivé dans un poste frontalier près du village de Guvecci qui fait face à un poste militaire Syrien. Et des canons anti-aériens ont été déployés le long de la frontière. Des témoins disent avoir vu des camions remorquant des orgues de Staline.
Les relations entre la Turquie et la Syrie n'ont jamais été aussi tendues depuis la fin des années 90 quand les 2 pays ont failli entrer en guerre. Les tensions augmentèrent dans les années 80 et 90 lorsque la Turquie se rapprocha militairement d'Israël et que la Syrie bombarda le chef de la guérilla Kurde.
Actuellement, la Turquie abrite l'opposition civile Syrienne et plusieurs centaines de déserteurs de l'armée Syrienne qui sont affiliés avec l'Armée Syrienne Libre des rebelles. E envoie des vivres et des marchandises en contrebande à leurs camarades en Syrie.
Le président Turc a teenu un Conseil National sur la Sécurité jeudi. La réunion à laquelle assistait les ministres du gouvernement et les hauts gradés de l'armée devrait avoir pour but l'étude des tensions avec la Syrie.
Selon la CBC et la TV d'État Turque, la Turquie a déployé des canons antiaériens et d'autres types d'armes le long de ses frontière avec la Syrie, quelques jours après que la Syrie ait abatttu un avion militaire Turc ce qui a augmenté les tensions entre les 2 pays.
Le premier ministre Turc déclara mercredi que toute unité Syrienne approchant des frontières Turqe serait traitées comme une menace directe.
Les alliés de la Turquie dans l'OTAN ont exprimé leur solidarité avec la Turquie et condamné l'agression Syrienne mais ne mentionnèrent aucune mesure de représaille envers la Syrie.
Selon l'Observatoire Syrien des Droits de l'Homme OSDH, basé à Londres, 178 personnes, dont 117 civils et 58 soldats des forces du président Syrien ont péri dans les affrontements dans la seule journée de jeudi, notamment dans la ville rebelle Douma, près de la capitale.
Militairement insignifiant, l'effet est plutôt psycholoqique
On aurait utilisé des bombes collantes posés sous les autos.
La violence dans le pays a fait 21 mort selon les activistes
*
Le premier ministre Turc déclara mercredi que toute unité Syrienne approchant des frontières Turqe serait traitées comme une menace directe.
Les alliés de la Turquie dans l'OTAN ont exprimé leur solidarité avec la Turquie et condamné l'agression Syrienne mais ne mentionnèrent aucune mesure de représaille envers la Syrie.
Selon l'Observatoire Syrien des Droits de l'Homme OSDH, basé à Londres, 178 personnes, dont 117 civils et 58 soldats des forces du président Syrien ont péri dans les affrontements dans la seule journée de jeudi, notamment dans la ville rebelle Douma, près de la capitale.
Depuis une dizaine de jours, les bilans quotidiens dépassent régulièrement la centaine de morts, Mercredi, les violences avaient fait près de 150 morts, et le bilan avait déjà atteint près de 170 morts le jeudi 21 juin.
Il est cependant difficile de confirmer ces informations de source indépendante en raison des restrictions imposées par le régime syrien aux médias indépendants.
Et les informations viennent toujours d'une seule et même source: l'opposition au gouvernement Syrien ce qui est une information neutre et équilibrée
Selon la BBC, la TV d'État blame les combattants rebelle pour cette attaque au coeur de la capitale en plein jour est un coup symbolique porté au coeur de l'autorité du président. Militairement insignifiant, l'effet est plutôt psycholoqique
On aurait utilisé des bombes collantes posés sous les autos.
La violence dans le pays a fait 21 mort selon les activistes
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Selon Radio-Canada. Syrie : 180 nouveaux morts dans les violences
28 juin 2012. État 1